
Alors que se déroule le procès de l’attentat de Charlie Hebdo et que tout le monde n’a que les mots « liberté d’expression » à la bouche, nous apprenons que l’écrivain Hervé Ryssen vient d’être à la prison de Fleury-Mérogis, pour une peine de 17 mois, consécutive à des publications !
Il a été incarcéré vendredi 18 septembre « en exécution de trois condamnations à des peines de prison ferme pour des propos antisémites ou négationnistes », a indiqué le parquet de Paris.
Il avait été convoqué jeudi par la police judiciaire puis présenté à un magistrat qui a ordonné l’exécution de ces peines prononcées entre 2017 et 2020, pour un total restant de 17 mois d’emprisonnement, a précisé le parquet à l’AFP.
Il faut bien sûr le défendre et le soutenir – nous y reviendrons – et plus que jamais dénoncer l’hypocrisie de ce Système qui se targue de « liberté d’expression » – Macron plaidant encore il y a quelques jours pour le « droit au blasphème » – mais qui, en même temps, emprisonne les opposants, les dissidents, pour des publications.
Au pays des 100 000 peines d’emprisonnement non exécutées, alors même que l’on vide les prisons pour cause de Covid-19, on prend la décision – politique – d’enfermer un écrivain patriote.
Hervé Ryssen a étudié dans plusieurs livres le judaïsme politique – mais il est des sujets qui visiblement ne souffrent pas le « blasphème ». Il fut condamné essentiellement pour des tweets, des couvertures de livres, ses écrits (présentant de très nombreuses citations d’intellectuels juifs) étant inattaquables à quelques phrases près. Il n’a jamais eu d’écrits révisionnistes envers la version officielle de l’histoire de la 2e Guerre mondiale, mais il a simplement partagé sur facebook un dessin caricatural. Mais les gros médias qui évoquent dans un entrefilet son incarcération le présentent surtout comme un « négationniste ».
Cette République maçonnique, dominée par le CRIF, est odieuse non seulement car elle emprisonne pour délit d’opinion dans l’indifférence médiatique, mais encore plus par son hypocrisie.
Un des trois chefs de division de la prison de Fresnes et un surveillant « sont soupçonnés d’avoir touché de l’argent en échange d’un traitement de faveurs accordé à des détenus majoritairement membres de la communauté juive », indiquent des sources proches de l’enquête.
Le nouvel outil statistique, présenté comme « plus fiable et impartial », montre que tous les indicateurs étudiés, hormis les homicides, sont à la hausse. Ce panorama, encore parcellaire, ne prend pas en compte les viols, les actes de vandalisme ou les délits économiques et financiers. Personne ne sera surpris de ces statistiques, tant la politique actuellement menée par Valls-Taubira est ahurissante, politique de permissivité qui vise à chercher systématiquement des excuses aux délinquants et surtout qui vise, sous le verbiage de réinsertion, à leur octroyer toutes les faveurs.
Ses conditions de détention pourraient être responsables de son état.






Il relatait ainsi, dans un passage de son journal de la guérilla censuré par les autorités cubaines, qu’il s’était porté volontaire pour réaliser la première exécution décidée par les guérilleros, et décrivait lui-même avec complaisance la scène : « J’ai résolu le problème en lui tirant dans l’hémisphère droit du cerveau une balle de calibre 32, qui est ressortie par la tempe gauche.


A Liège, en Belgique, un immigré maghrébin dénommé Nordine Amrani a 