L’« humoriste » Jean-François Dérec, accusé d’injure raciste par un agent de sécurité, a été condamné jeudi à une amende de 2 000 euros avec sursis et un euro de dommages et intérêts à la partie civile.
L’agent de sécurité assure en effet que Dérec l’a traité de « sale nègre » à l’issue d’un spectacle au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, le 21 novembre dernier, alors qu’il venait de lui refuser l’accès à la loge de Guy Carlier.
Le comédien, « scandalisé par ce jugement », nie farouchement les faits, estimant que « se voir traiter de raciste, c’est la pire des choses ». A souligner que Jean-François Dérec est un juif polonais, parrain de SOS racisme.
Voilà donc les chantres de l’« antiracisme » rattrapés eux-mêmes par le système qu’ils ont mis en place. Dans son malheur, cet agent de sécurité a de la chance quelque part : s’il avait été blanc, et traité de « sale blanc », sa plainte eût été irrecevable.
Et pour cause, le racisme anti-blanc n’existe pas officiellement, comme le confirme cet ancien cadre de SOS-racisme :

Le vieil hebdomadaire « d’extrême-droite » s’est retrouvé plusieurs fois au tribunal ces semaines-ci. Voici les nouvelles :
«L’israélite et vedette médiatique Michaël Benayoun (dit Michael Youn) a été reconnu coupable d’avoir agressé, insulté et frappé des policiers alors qu’il conduisait un deux-roues en sens interdit, sans papiers et sans casque. Malgré la gravité des faits, s’il a été finalement reconnu coupable et a reconnu les faits après les avoir niés durant des semaines, la justice l’a totalement dispensé de peine. Le parquet n’avait requis que six mois avec sursis et une très légère amende – pour lui – de 2 000 euros.