
Cette lettre ouverte publiée le 21 avril soulève une certaine émotion dans le monde politicien.
Il est certes rare que des officiers généraux (quoiqu’ici à la retraite) s’expriment, surtout collectivement, à propos des problèmes de notre pays.
La gauche et la macronie font mine de s’émouvoir, pourtant cette lettre est d’une grande modération.
On y parle de problèmes de « haine entre les communautés [ethniques] » à cause de « certains [qui] parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais, à travers ces termes, c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques ».
Bref : sécurité, assimilation (désormais impossible) et vivre-ensemble dans un « patriotisme du drapeau » (c’est-à-dire à l’américaine, et non charnel).
Cette lettre ne parle pas du problème le plus énorme qu’affronte la France, la menace la plus grave, la plus mortelle qu’elle ait jamais connue : la disparation de son identité ethnique à cause de l’immigration massive et du métissage. Justement, donc, la France a surtout besoin qu’on protège ses « indigènes » (rappelons qu’en France, les indigènes sont les « Français de souche », les Gaulois quoi), et qu’on la décolonise elle. Des mots (indigène, décolonisation…) qu’utilisent des gauchistes immigrés en les dénaturant au détriment, encore une fois, des Français.
Cela dit, une telle lettre (et surtout le nombre et la qualité de ses signataires) reste une bonne surprise : ne boudons pas notre plaisir.
Les gens sentent que la France va très mal, à défaut de bien identifier le problème.
C’est un bon début.
Beaucoup de militaires, bien qu’en accord avec le fond de cette lettre, trouvent qu’il est maladroit de la publier, que cela nuit à l’armée, créé une agitation nocive pour elle, etc. Ou que les militaires n’ont pas pour rôle de faire ce genre de choses.
C’est oublier que, avant d’être au service du pouvoir, l’armée est censée défendre la nation. C’est son but ultime. Or, la menace ne vient actuellement pas de l’extérieur, mais est dans les murs. Et nous ne parlons pas des banlieues envahies, mais du pouvoir politique antifrançais : tout le reste, tous les maux, dérivent de ce pouvoir politique cosmopolite.
LETTRE OUVERTE A NOS GOUVERNANTS
Mesdames, Messieurs du Gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
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