Ce darwiniste forcené et cocaïnomane invétéré, génial fumiste, aura été le fondateur d’une pseudo-science psychologique : la « psychanalyse », qui a la particularité de rendre névrosés ceux qui ne l’étaient pas avant de l’approcher.
Charlatanerie mêlant le vrai et l’absurde, le fatras monté par Freud et ses compères (presque uniquement ses coreligionnaires) tourne principalement autour du sexe – véritable obsession –, auquel tout est ramené.
En fait, Sigmund Freud a largement plagié le docteur Jean-Martin Charcot (un peu comme Einstein a plagié le Français Poincaré) concernant l’hystérie, l’inconscient, la suggestion par l’hypnotisme, le « ça », le « moi », etc., mais a ajouté ses délires pansexualistes.
La « théorie » fondamentale de la psychanalyse est basée sur le « complexe d’Œdipe » défini en l’occurrence comme le désir inconscient qu’aurait tout enfant de tuer son père pour entretenir des rapports sexuels avec sa mère…
Pour Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe »…
« Forger sa propre légende, c’est tout un art, maîtrisé à merveille par Jack Lang. « Je suis moi-même terrassé par la multitude des choses que j’ai été appelé à soutenir ou à imaginer », a-t-il récemment lâché, en toute humilité (France 5). Pour laisser à la postérité une trace de ce grand homme, des amis dévoués à sa cause avaient créé, en 2018, une « association de promotion pour les politiques culturelles des années 1980 à 1990 au XXe siècle ». […] »
Les Dernières Nouvelles d’Alsace précisaient en 2020 qu’à l’origine, l’association s’est constituée pour recevoir un don de 57 897 dollars du milliardaire américain Jeffrey Epstein.
C’est le seul don connu de cet homme en France, et ce, quelques mois avant son arrestation pour corruption et trafic sexuel de mineures aux Etats-Unis, puis son très étonnant « suicide » en prison.
« le film, en réalité, était tout à la gloire de Lang » se remémore un témoin du tournage. (id.)
Mais voici que « l’ancien ministre de la Culture a abandonné dans le secret » le documentaire.
Traînant déjà derrière lui des rumeurs terribles en matière de mœurs et de mineurs – c’est le moins qu’on puisse dire – Lang a dû vouloir éviter d’attirer l’attention sur lui par le biais d’Epstein…
Le Parisiena dévoilé des éléments de l’enquête concernant les agissement de Pierre-Alain Cottineau : cet « assistant familial » de la région nantaise avait organisé un véritable réseau pédo-criminel (« j’ai des enfants à disposition »).
Nous passerons sur les descriptions des actes horribles qui sont relatés : actes de sadisme et viols filmés sur des enfants de 3 ou 4 ans qui appellent au secours leur mère…
On notera que le journal de gauche choisi en photo d’illustration de son article (photo partagée sur ses réseaux sociaux) un portait extrait d’une photographie plus large :
Que donne la photo non tronquée?
Oups, on y voit la harpie communiste et député LFI Manon Aubry…
Sur internet, on trouve facilement d’autres photos illustrant les activités politiques de cet homme engagé dans les causes communistes (candidat LFI aux dernières élections départementales) et homosexualistes :
Quant au titre du Parisien…
Rappelons, comme le dit un internaute, que « quand un mec qui connaît le beau-frère du plombier d’un pote d’une personne qui a croisé Marine Le Pen roule à 53 km/h au lieu de 50 c’est un « proche du Rassemblement National », mais quand un militant LGBT encarté chez LFI dirige un réseau pédocriminel, c’est juste « Pierre-Alain Cottineau » ».
Sinon, est-ce une bonne idée de confier des enfants – comme l’a fait la sinistre ASE – à des « familles d’accueil » constituées d’un homme seul (ou de deux hommes), qui plus est ouvertement militants « LGBT » ?
Nous éviterons de répondre clairement pour des raisons de censure légale. Mais quel genre d’homme rêve de s’occuper à plein temps d’un petit enfant qui n’est pas le sien ?!
Ce système est vraiment tordu, mais pour le corriger, il faut remettre en cause l’idéologie (égalitarisme, libéralisme moral, homosexualisme…) du régime…
Le rabbin orthodoxe Solomon Friedman, le plus important pornocrate du monde
Pour une fois, une mesure est allée dans le bon sens : les sites pornographiques doivent depuis quelques mois s’assurer que leurs utilisateurs résidant en France soient majeurs (contrôle de l’ARCOM, suite à la loi SREN de 2025). C’est insuffisant, et bien tardif, pour s’en prendre au fléau de la pornographie, mais c’est un pas dans la bonne direction.
Fureur du géant du domaine, qui suspend carrément l’accès à ses sites :
« Plusieurs sites pornographiques poussent un coup de gueule et ont décidé de se rendre inaccessibles ce jeudi 4 juin à la suite d’une nouvelle obligation de vérifier l’âge de leurs visiteurs. Solomon Friedman, nouveau patron de Pornhub, fait face à la difficulté imposée par cette obligation légale, et possède d’ailleurs un CV surprenant.
Pornhub, YouPorn, RedTube. Ces sites pornographiques se rendront eux-mêmes inaccessibles, ce jeudi après-midi, en France. Une page s’affichera à la place des vidéos pornographiques avec un texte illustré par « La Liberté guidant le peuple » de Delacroix.
Il s’agit ici d’un coup de gueule. Les sites dénoncent l’obligation nouvelle de vérifier l’âge de ses 7 millions de visiteurs quotidien. Youporn et compagnie prennent en fait les devants. A partir de vendredi, l’ARCOM pourrait ordonner un blocage administratif des sites à défaut de respect de la loi. (source RMC)
Qui est derrière le géant de cette industrie ignoble ?
Derrière ces mastodontes de l’industrie du X se trouve le groupe canadien Aylo, détenu par un fonds d’investissement qui compte à sa tête un certain Solomon Friedman. L’homme d’affaires vient de prendre la tête de Pornhub.
Rien dans son parcours ne prédestinait Solomon Friedman à cette industrie. L’homme a 42 ans, est Rabbin, avocat, militant pro-armes… et un patron puissant dans le porno en ligne.
Formé au sein d’un courant orthodoxe moderne, il a été ordonné rabbin à 20 ans. Il a suivi des études religieuses parallèlement à sa formation de juriste. Solomon Friedman se dit croyant. […] (idem)
Plus de la moitié des garçons de 12-13 ans consomment au moins une fois par mois de la pornographie !
Au-delà de la dimension morale du problème (aujourd’hui inaccessible à de nombreux Français du fait de la déchristianisation), la pornographie est un fléau psychologique, dont les conséquences sociales sont graves.
En bref : elle bousille durablement le cerveau et l’esprit, même à petite dose.
L’ARCOM a publié une étude réalisée en 2022, dont les chiffres sont atterrants (et encore, ils ont dû s’aggraver depuis trois ans) :
C’est toute une génération qui est ravagée mentalement, à cause de la passivité complice des gouvernants de droite et de gauche.
Les parents aussi sont coupables, en étant imprudents : les mineurs ne doivent pas avoir d’ordinateur dans leur chambre. Ce dernier doit être dans une pièce commune, écran non tourné vers le mur évidemment.
Quant à laisser leurs enfants mineurs posséder (ou accéder librement à) des smartphones : ce n’est plus de l’imprudence, c’est de la folie criminelle.
Le géant français du jeu video (19 000 employés) a misé gros pour produire le nouvel opus de son jeu d’action phare : Assassin’s creed.
Ce dernier se déroule dans le Japon du XVIe siècle, et le joueur choisit d’incarner deux personnages : un ninja et un samouraï.
Les gauchistes à la tête d’Ubisoft ont décidé, contre toute vraisemblance évidemment, que le ninja serait une femme et le samouraï un Noir-africain.
De quoi déplaire à une grande partie du public, qu’il soit amateur d’un peu de réalisme historique ou exaspéré par cette attitude typiquement woke.
Résultat : les ventes sont loin des espérances et l’entreprise, déjà très fragilisée, est maintenant en péril.
Elle a fait passer son militantisme idéologique avant sa survie.
Le cours de l’action Ubisoft ces dernières années
La chute en bourse d’Ubisoft continue : -20 % depuis ce matin et -85 % depuis ses plus hauts.
Son chiffre d’affaires a reculé de 20 % sur l’année passée, et Assassin’s Creed Shadows serait un échec commercial, avec une estimation de seulement 2,4 millions d’exemplaires vendus.… pic.twitter.com/9Xy9w64IK4
Aveuglée par son idéologie égalitariste, la bureaucrate socialiste Elisabeth Bornstein s’apprête à détruire un peu plus le système éducatif français au nom de ses lubies.
« Encourager les filles à faire des maths, c’est le nouveau cheval de bataille d’Élisabeth Borne. La ministre de l’Éducation nationale a dévoilé mardi, dans un entretien donné aux Échos, un plan d’ampleur pour rééquilibrer la part de filles dans les filières scientifiques, du collège aux classes préparatoires, sous-représentées dans ces voies.
Il faut reconnaître que les études récentes ne sont guère encourageantes. Si, à l’entrée en CP, les filles ont un niveau en maths égal à celui des garçons, dès le CE1, leurs résultats baissent : seules 53 % des filles savent additionner contre 68 % des garçons, selon une étude du ministère de l’Éducation nationale de 2024. La dernière enquête TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study), publiée en décembre 2024, alerte sur un fossé grandissant entre filles et garçons en mathématiques dès la fin du primaire, l’un des écarts les plus élevés de l’Union européenne.
Rien ne s’arrange en terminale, où elles sont moins nombreuses à choisir le combo gagnant maths-physique (37 %), qui ouvre pourtant le plus de portes sur Parcoursup. Et même en prépa scientifique, elles choisissent plus volontiers des prépas axées sur la biologie que sur les mathématiques. Une fois dans la vie active, elles sont encore moins à s’orienter dans les domaines de l’ingénierie et de l’industrie, auxquels elles préfèrent les secteurs de la santé et du social.
C’est donc dès le collège que la ministre entend agir. Dans un entretien accordé à France Inter ce mercredi, elle a dévoilé un plan global. Il prévoit notamment des aménagements de classe en 4e et 3e, l’instauration d’une parité en spécialité mathématiques au lycée (où les filles représentent actuellement 42 % des effectifs), un encouragement accru à choisir l’option mathématiques expertes (aujourd’hui suivie par 33 % des lycéennes seulement), et surtout, des objectifs clairs pour féminiser les classes préparatoires.
Élisabeth Borne ne parle pas précisément de quotas mais d’objectifs cibles. Ce qui revient un peu au même dans la novlangue de l’Éducation nationale. Elle déclare : « Chaque classe préparatoire scientifique devra compter 20 % de filles en 2026, puis 30 % en 2030. » […] » (source Le Figaro Etudiant)
Incohérente comme tous les partisans de la Subversion – qui vantent le respect des « différences » (la diversité) quand il s’agit de faire submerger la France par l’immigration (et donc d’effacer la différence française) –, la compère de Bayrou et Retailleau ne supporte pas les différences naturelles entre hommes et femmes.
Si les filles ont – en général – moins d’appétit pour les mathématiques que les garçons, c’est notamment pour des raisons biologiques (chose insupportable à concevoir pour les gens de gauche). Et si cette différence de goût s’accentue au fil du collège, c’est simplement, et justement, parce que sous l’action grandissante des hormones à la puberté, les garçons et les filles se distinguent davantage dans leurs goûts et leurs capacités.
Il s’agit évidemment de tendances générales, il y aura toujours un nombre non négligeable de filles qui seront intéressées par les mathématiques par exemple, et y seront douées.
Une nouvelle polémique a éclaté sur internet après la cérémonie d’ouverture, après que cette séquence a été repérée.
Lors de cette mise en scène soigneusement préparée, l’« artiste » subversif mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant?
Déjà, rien que le fait de mêler des enfants à ces travestis et militants homosexuels (qui les enlaceront à un moment de la séquence) devrait révolter tout le monde et déclencher des enquêtes.
Pour désamorcer la crise, certains avancent avec conviction une thèse qui disculperait d’un blasphème et d’une provocation antichrétienne :
Beaucoup tombent trop facilement dans le panneau, d’autant que devant le tollé international, certains organisateurs rétropédalent.
Pour ce qui concerne la théorie du tableau de Van Biljert, œuvre qui est infiniment moins connue que celle de Léonard de Vinci (et n’est pas particulièrement fameuse, alors que ceux qui l’exhument font mine de prendre pour des incultes ceux qui la méconnaissaient, ce qui est une technique de manipulation minable) :
– d’une part elle s’inspire elle-même du fameux tableau de Vinci sur la Cène, elle le reprend !
C’est même précisé dans le musée où est exposée cette toile.
– d’autre part le ventripotent peint en bleu symbolisant Dionysos durant la cérémonie apparaît près de trois quarts d’heure après le début de la séquence blasphématoire…
Ceux qui décidaient de cette mise en scène laide et répugnante (avec des travestis se frottant à des enfants en arrière-plan) savaient très bien comment serait interprété leur tableau.
A travers le monde, de très nombreux chrétiens et même non-chrétiens compatissants ont exprimé leur indignation devant cette parodie antichrétienne. Même Mélenchon a déploré, avec une sincérité que nous ne connaîtrons qu’au Jugement dernier, cette attaque.
Même la lamentable et très mollassonne Conférence des Evêques de France a réagi, c’est dire !
La gauche la plus tarée, elle, se réjouit ouvertement, comme le « philosophe » médiatique Raphael Enthoven, qui parle de « Cène enwokée » :
D’autre part, tous les gros médias (le Monde, le Figaro, etc.) ont évoqué la Cène, en parlant de cette séquence.
France Télévision, le diffuseur de la cérémonie, se pâmait, en parlant de « mise en Cène » :
Quand absolument tout le monde comprend la même chose, c’est que le message est clair.
D’autre part, des intervenants directs ont eux-mêmes présentés leur ignoble prestation comme une représentation de la Cène !
Un travesti qui avait un rôle de premier plan et particulièrement indécent assumait au micro de BFMTV :
L’activiste subversive Barbara Butch a repris fièrement sur sa page Instagram un message (le supprimant plus tard) assumant la moquerie :
Elle avait repris un autre message, plus blasphématoire encore, que nous ne retranscrirons pas.
Damien Gabriac, l’un des organisateurs de la cérémonie d’ouverture des JO, confirme la question de France Inter qui lui parle de « la Cène » :
Damien Gabriac sur le tableau de la « Cène » : « Y avait tout ce qu’est la France : tout le monde ensemble, des petits, des grands, des gros, des maigres, des noirs, des blancs, des arabes, tous ensemble sur des danses de leurs cultures… » #le69inter#ceremoniedouverturepic.twitter.com/QTzCd9SedZ
Bref tout le monde a compris ce qu’il y avait à comprendre ; les tentatives de diversion relèvent de la mauvaise foi, et le rétropédalage de certains organisateurs, devant le tollé qu’ils ont suscité, ne fait qu’ajouter à leurs graves méfaits la lâcheté et le mensonge.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a mis en œuvre de très importants moyens techniques et a duré quatre heures…
On pouvait s’attendre à du mauvais goût et quelques provocations, mais les organisateurs y sont allés fort, avec plusieurs séquences brutalement wokistes (c’est-à-dire gauchistes), obscènes, perverses ou carrément blasphématoires…
En termes politiques, le mélenchonisme et le macronisme qui dominent les sphères médiatique, politique et culturelle, sont pleinement satisfaits.
Il faut garder en tête que cette cérémonie a été vue par environ un milliard de téléspectateurs… Ils considèreront logiquement la France comme un pays d’homosexuels, de pervers et de blasphémateurs antichrétiens.
Signalons en vrac :
▬ un clip débile montrant la formation d’un couple futile (interracial évidement), qui devient rapidement un trio libertin avec le renfort d’un type maquillé de façon très malsaine. Baisers sur la bouche et regards libidineux. Nous ne mettrons pas d’illustration… Cette scène et d’autres ont d’ailleurs été coupées lors de la diffusion dans certains pays moins dégénérés.
Evidemment le métissage est promu et généralisé.
▬ une diva chantant « les aristocrates on les pendra », déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée, en un tableau effrayant (combien d’enfants traumatisés à travers le monde?) :
le bon goût et les méthodes républicaines exposés fièrement à un milliard de spectateurs…
Si l’idée était de faire de la cérémonie un hommage à la République française, qui s’est illustrée dans la barbarie autant que Daesch, c’est en effet réussi.
▬ des personnages à l’allure horriblement contre-nature s’exposant avec obscénité :
Il faut vraiment être malade pour s’afficher ainsi, ou pour organiser, ou apprécier, ce genre de spectacle.
▬ la chanteuse africaine Aya Nakamura déclamant ses paroles obscènes (heureusement incompréhensibles par 99% des gens) en se touchant ostensiblement l’entrejambe. A ce propos :
« Le spectacle poussif (play-back raté) d’Aya Nakamura, chanteuse présentée peut-être rapidement comme francophone, a été l’occasion d’une forte démonstration d’hostilité gauchiste. En effet, en plus d’un ridicule et d’un mauvais goût souvent communs au reste de la cérémonie, la prestation de cette vedette qui piétine et massacre la langue française a été placée par les organisateurs devant le bâtiment de l’Académie française, comme un doigt d’honneur aux amis du français et plus généralement aux « conservateurs » (les gens sains d’esprit). De plus, on a contraint la fanfare de la Garde républicaine à se mêler maladroitement aux gesticulations d’épileptiques des danseuses africaines, à joindre sa musique à ce bruit. Ce groupe d’hommes blancs en uniforme (l’ordre) incarne symboliquement l’ennemi du moment. Il convenait de l’humilier. » (source)
▬ Une atroce scène de parodie du célèbre tableau de Léonard de Vinci représentant la Cène du Christ, entouré de ses apôtres :
Ici, on a eu droit à des drag-queens (hommes travestis caricaturalement en femmes et prenant des postures provocantes), à la place de Jésus et ses disciples :
Les gens qui ont fait cela le regretteront amèrement au jour du jugement.
Ils ont par ailleurs blessé de très nombreux croyants à travers le monde.
Mais il ne faudra pas compter sur la Conférence des évêques de France, serpillère du pouvoir mondialiste, pour réagir virilement. Elle préfère ouvrir sa bouche pour dénoncer les patriotes lors des élections.
Après un long moment, lors de cette ignoble scène, un chanteur ventripotent vaguement connu (Philippe Katerine) s’est exposé quasiment nu et couvert de bleu. Il représentait Dyonisos, dieu grec, patron des amateurs d’orgies. On comprend que Macron et les siens le préfèrent au Christ, mais il ne symbolise pas encore vraiment la France, non ?
D’autres divinités païennes étaient représentées, telle Sequana, la déesse antique de la Seine.
Notez en arrière-plan les travestis et femmes à barbe qui se collent à des enfants !
Par prudence légale, nous ne dirons pas à quoi tout cela nous fait penser, mais vous en êtes sûrement arrivés aux mêmes conclusions.
Qui aurait pu imaginer un tel spectacle il y a 20 ans, à part les nationalistes les plus lucides ?
Après la victoire que des Français et chrétiens non-reniés ont obtenu en exigeant fermement l’abandon d’un projet scandaleux, certaines réactions valent d’être mises en valeur :
Deux envahisseurs sont à la tête d’importants ministères (ministères auxquels la gauche s’est toujours accroché à juste titre pour son combat culturel, et dont l’un – la culture – lui fut offert par De Gaulle avec des conséquences terribles).
Ces deux funestes personnages brandissent les armes du « politiquement correct », avec des mots sensés tuer tout débat (et qui font hélas encore effet sur les esprits faibles), pour défendre le projet d’un concert quasi-pornographique donné par un travesti maghrébin dans une église désacralisée.
Vraiment, quel symbole de cette benne à ordures qu’est devenue la France !
Et bravo aux résistants qui ont empêché ce répugnant spectacle, a fortiori dans un édifice qui, même s’il est désacralisé, fut érigé pour la gloire de Dieu, dans une époque de foi et de progrès moral (le vrai « progrès »).
Dans la série des « cahiers de vacances nature » pour enfant des éditions Hatier en collaboration avec la fondation Nicolas Hulot, les couvertures font quasi toujours la promotion du métissage : c’est le minimum syndical chez ces gens-là.
Mais on nous signale une illustration, parue il y a déjà quelques temps, qui frappe encore plus fort, avec ce que presque tous les internautes considèrent sous-entendu obscène peu discret.
Au premier plan de la réforme des retraites, le ministre du Travail Olivier Dussopt a rendu public, dans un magazine homosexualiste obscène, ce qui a toujours été considéré dans notre civilisation comme un affreux vice.
« Dans une interview donnée à Têtu et parue vendredi 24 mars au soir, le ministre du Travail a indiqué avoir été la cible de «nombreuses remarques homophobes», révélant par la même occasion publiquement son homosexualité pour la première fois. […]
Au cours de cet entretien, Olivier Dussopt a également tenu à rappeler ses combats politiques des dernières années. «Mon engagement, c’est l’énergie que j’ai consacrée à défendre le mariage pour tous et la PMApour les couples lesbiens, dès 2012», explique-t-il. Le ministre souligne aussi être «favorable à la GPA», même s’il se sait «minoritaire sur cette position au sein de la majorité présidentielle». (source)
Un vrai destructeur de civilisation, qui aura à rendre compte des malheurs de nombreux enfants que se seront offerts certains prétendus « couples ».
Cette citation est savoureuse :
« S’il considère que celle-ci «n’est ni un secret ni un sujet», l’ancien socialiste estime qu’«être homosexuel n’est jamais neutre». «Mais on a le droit de défendre des causes, de militer, de participer au débat sans faire de sa situation personnelle un élément politique en soi», s’est-il défendu. »
Quelle hypocrisie…
La France sous régime républicain est un Etat particulièrement liberticide : il y a tout un tas de causes pourtant naturelles, honorables et légitimes que les lois votées par ces politiciens interdisent de défendre clairement !
On ne peut par exemple plus parler franchement de l’homosexualité, d’un point de vue moral, religieux ou psychiatrique, comme on l’a pourtant fait pendant des siècles (et ce comportement n’a cessé d’être considéré officiellement comme une pathologie psychiatrique, en France, qu’en 1992).
Mais quand les gens de gauche (au sens large) parlent de « libertés », nous savons bien qu’ils pensent seulement à celles qui leur sont favorables.
En tout cas, avec (entre autres?) les ministres Gabriel Attal, Franck Riester, Clément Beaune, on a une belle brochette…
Sans parler de Macron lui-même qui prête le flanc aux rumeurs les plus choquantes.
Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi – et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.
Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?
C’est cela le féminisme ?
Pour rappel, Jean-Paul Sartre :
Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.
Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.