C’était un 25 juillet…

1139 : Alphonse Enriques, comte du Portugal, vainc une coalition de roitelets musulmans à Ourique, dans l’actuelle province d’Alentejo, au sud du Tage.
C’est le « miracle d’Ourique », à l’origine du Portugal indépendant.
Alphonse Enrique était d’origine française. Il était fils d’Henri de Bourgogne.
Les cinq écus bleus au centre du drapeau national rappellent les cinq rois maures vaincus à Ourique. Le drapeau va-t-il être modifié pour ne plus rappeler cet épisode « xénophobe » ?

1593: à Saint-Denis, le roi Henri IV abjure le protestantisme et se convertit officiellement au catholicisme : « Je proteste et je jure à la face du Dieu tout-puissant, de vivre et de mourir dans l’Eglise catholique, apostolique et romaine, de la protéger et de la défendre envers tous, au péril de mon sang et de ma vie, renonçant à toutes hérésies contraires à la doctrine de ladite Eglise. »

1789: l’Assemblée constituante institue un comité de recherches pour déjouer les « complots aristocratiques »…

1873: l’assemblée (conservatrice) vote une loi déclarant d’utilité publique la construction d’une église à Montmartre, conformément à la demande de l’archevêque de Paris, en expiation des fautes de la patrie (notamment lors de la Commune) et pour obtenir la fin des épreuves.
Isaac Crémieux vote contre, tout comme Sadi Carnot, Gambetta, Jules Ferry, Edgar Quinet, et autres antichrétiens dont les axes parisiens portent aujourd’hui les noms…

1920: publication du règlement de la Fédération nationale des Scouts de France. Cette date est retenue comme celle de la fondation du scoutisme en France.

1934: assassinat, à Vienne, du chancelier dictateur Engelbert Dollfuss, par des nationaux-socialistes (il s’opposait à une fusion avec l’Allemagne).
Le fondateur du Vaterländische Front (Front patriotique) avait maté l’opposition armée socialiste quelques mois plus tôt et instauré un État catholique, nationaliste, autoritaire et corporatif. Il fut soutenu jusqu’à la fin par Mussolini, au grand mécontentement de Hitler. Une petite biographie est disponible ici.

1936: dans La Flambeau, journal du Parti social français, le célèbre aviateur Jean Mermoz écrit : « pour être saine et efficace, l’action sociale doit se libérer des entraves d’une politique de métier au service d’intérêts particuliers. Cette politique devra faire face une fois pour toutes à une politique purement française au service de ceux qui travaillent, sans distinction de classe, pour leur pays. »

1937: assassinat du militant du Parti social français Fernand Lafrance.
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C’était un 21 juillet…

1306: excédé par leur comportement, le roi Philippe le Bel décide l’expulsion de tous les juifs vivant en France et la confiscation de leurs biens. On parle de 100 000 exilés.

1861: première grande bataille de la guerre de Sécession, à Bull Run (Virginie), où les Confédérés battent les troupes de l’Union. Chacun comprend que la guerre sera longue et sanglante.

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1934: mort du maréchal Louis Hubert Lyautey.
Ce monarchiste légitimiste a été élu à l’Académie française (1912) et promu maréchal de France en 1921.
Sa carrière, commencée  à Madagascar, connaîtra son apogée au Maroc où il mènera une politique particulièrement intelligente, en associant l’élite marocaine au développement du pays.

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Les politiciens qui parlent d’« Etat de droit » n’y croient pas

C’était un 9 juillet…

mort de Daniel Hyacinthe Liénard de Beaujeu, héros canadien-français méconnu.

Né à Montréal le 19 août 1711 et mort près de Fort Duquesne le 9 juillet 1755, père de neuf enfants, il est officier durant la guerre de Sept Ans, commandant de Fort Niagara.

Il organise l’attaque préventive des troupes du général anglais Braddock alors que celles-ci traversent la rivière Monongahela afin d’assiéger Fort Duquesne en Nouvelle-France.

Conduisant une petite force (700 hommes) composée de soldats réguliers, de miliciens et d’une majorité d’Indiens, il parvient à défaire les troupes britanniques (2000 hommes).

Bien que tué dès le début de l’affrontement, il resta célèbre pour avoir utilisé des coutumes indiennes, tel que le port de peintures de guerre, pendant l’embuscade.
Il fut enterré sous les murs de Fort Duquesne (aujourd’hui Pittsburgh).

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C’était un 21 juin 1973…

à Paris : meeting du mouvement « Ordre nouveau » (né en 1970) contre l’immigration sauvage.

Les trotskystes de la Ligue communiste, constituées en commandos armés, se heurtent aux forces de police et mettent à sac le siège du mouvement nationaliste, rue des Lombards.

Les jours suivants, le régime profitera de ces incidents pour dissoudre Ordre nouveau (qui ne s’était pourtant pas heurté à la police) ainsi que la Ligue communiste (qui était déjà la reconstitution d’un groupe dissous et qui se reconstituera ensuite).

Quelques images des affrontements :

Le quotidien de gauche La Croix publie une tribune collective bidon

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Ce quotidien national – aujourd’hui de gauche et vaguement chrétien progressiste – publie une tribune contre la prétendue « extrême-droite » revendiquant la signature de 6 000 chrétiens… mais il ne fait aucune vérification sur les-dits signataires.
Sans parler du fond inepte, relevons l’œuvre de petits farceurs parmi les signatures :
• Jean Raspail, écrivain
• Jawad Bendaoud, aubergiste.
• Jean-Michel Trogneux, professeur
• Jacques Mesrine, troubadour

Sans parler des noms apparaissant plusieurs fois.
Bref, ce genre de tribune ne vaut rien, ne représente rien.

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16 juin 1883 : fondation de la « La Croix », « le journal catholique le plus anti-juif de France »

Ce jour-là donc, le RP Vincent-de-Paul Bailly et le comte Henri de l’Epinois font paraître le premier numéro du quotidien La Croix, journal catholique (« radicalement catholique » même), antiparlementaire, qui sera farouchement antidreyfusard et antisémite.

En 1890, par exemple, La Croix s’offusquait qu’on le soupçonne d’avoir la moindre complaisance envers les Juifs et se vantait même d’être « le journal catholique le plus anti-juif de France »…

Ce titre sous perfusion financière est aujourd’hui un insipide papier gaucho-moderniste : c’est peut-être l’embarras qui le pousse désormais à en faire « des tonnes » dans l’idéologie dominante ?

C’était un 12 juin 1792 : destruction de la généalogie française

Ce jour-là, un décret était adopté (complété par un autre le 19, promulgué avec signature de Louis XVI) dans l’optique d’« abolition des privilèges ».

Selon le décret, tous les papiers généalogiques des dépôts publics ont été brûlés !

Les républicains causèrent alors une perte irréparable pour l’histoire et la généalogie. La tabula rasa

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10 juin 1951 : mort de Hansi

Sous ce pseudonyme s’éteignait Jean-Jacques Waltz, à Colmar, où il était né en 1873 (alors que l’Alsace et la Moselle étaient occupées depuis peu par l’Allemagne).

Amoureux de son Alsace et patriote français, Hansi fut un caricaturiste, peintre et dessinateur de grand talent. Parmi les plus grands du XXe siècle en France.

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C’était un 9 juin 721 : à Toulouse, victoire écrasante mais mal connue contre les Arabo-musulmans

Ce jour-là, près de Toulouse, le duc Eudes d’Aquitaine écrase les Arabo-musulmans : une victoire au moins aussi importante que celle de Charles Martel à Poitiers.
Après avoir réglé leurs problèmes en Espagne avec les Wisigoths et installé leur suprématie dans l’Al-Andalus – ensemble des péninsules ibériques (Espagne plus Portugal) musulmanes -, les Omeyyades avaient décidé de se tourner vers la Gaule.
Mais la grande victoire chrétienne de Toulouse (lors de laquelle le gouverneur arabe d’Al Andalus fut tué) porta un coup d’arrêt à l’expansion de l’islam en Occident, tout juste dix ans après le franchissement du détroit de Gibraltar par les premiers musulmans…

PS : sur le mythe de l’heureuse et paisible Andalus, que nous vendent aujourd’hui islamistes et cosmopolites, on peut lire Al Andalus, l’invention d’un mythe, de Serafin Fanjul.

C’était un 8 juin 1959 : mort de La Varende

C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.

Monarchiste, La Varende dut démissionner de l’Académie Goncourt lors de la « Libération », victime de l’épuration comme une bonne partie de l’élite de notre pays.

Un grand auteur français qui mérite d’être connu.
Attention, le virus La Varende s’attrape facilement et l’on ne peut refréner ensuite l’envie de dévorer toute l’œuvre !

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7 juin… 1962 : exécution d’Albert Dovecar et Claude Piegts

Ci-dessous le récit de la mort de ces deux militants patriotes, l’un militaire, l’autre civil, qui, engagés dans les commandos Delta de l’OAS, avaient exécuté le commissaire Gavoury – responsable de la répression antipatriotique (avec des méthodes ignobles) et complice de fait du FLN terroriste –, considéré comme un traître à la France et aux musulmans pro-français par le mouvement de résistance.

« En ce jour du 4 Juin 1962, Albert DOVECAR (24 ans) vit sa 66ème journée de condamné à mort.
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C’était aussi un 30 mai…

1778 : mort de François-Marie Arouet, dit Voltaire, écrivain et « philosophe » antichrétien forcené, qui eut une influence considérable sur son temps.
On peut se procurer une solide biographie de lui par l’abbé Ulysse Maynard ici, ainsi que deux livres évoquant certains aspects peu connus du bonhomme, par Xavier Martin : Voltaire méconnu et par Marion Sigaut : Voltaire, une imposture au service des puissants.

1814 : premier traité de Paris : la France, qui déplore plusieurs centaines de milliers de morts, revient à ses frontières de 1792.

1899 : après sa tentative de coup d’État raté, les jurés du tribunal de la Seine acquittent Paul Déroulède.
Il leur avait déclaré : « si vous me condamnez, vous ne ferez que retarder l’heure du réveil, si vous me rendez ma liberté, je recommencerai. »

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