Un proche de Filippetti retrouvé mort

Les médias français ont annoncé la mort, à Venise, de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du cabinet du ministre de la Culture, Aurélie Filippetti.
Rue89 s’émeut longuement de sa disparition…

Le « délicat » Gilles Le Blanc est mort en Italie d’un arrêt cardiaque, à l’âge de 43 ans. Ce qui est tôt pour décéder d’une telle mort, sauf dans les milieux de la politique et du show-business, où les modes de vie ne sont pas très « sains »…

D’ailleurs, les médias français ont jusqu’ici passé sous silence certaines informations pourtant diffusées par leurs homologues italiens, à l’image du quotidien Corriere Veneto : dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne.

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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