C’était un 28 février : le massacre républicain des Lucs-sur-Boulogne. Liste des 110 petits enfants assassinés

Les « valeurs de la République ».

En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »

Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.
Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette.
Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.
Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.

Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.
Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.
L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.
Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.

Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre :

« Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »

On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »

Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :

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L’uniforme concocté par le gouvernement pour les élèves dévoilé : égalitarisme au menu

« Un polo blanc ou gris, un pull bleu marine et un pantalon gris anthracite. Et en maternelle, pour les plus petits, une blouse. Le Figaro dévoile le trousseau concocté par le gouvernement pour les élèves qui, à la rentrée 2024, seront concernés par l’expérimentation de l’uniforme dans les établissements scolaires. Avant d’être propulsé premier ministre, Gabriel Attal devait présenter ce trousseau. Il revient à la nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra d’assurer le service après-vente.
Dans sa conférence de presse du 16 janvier, le président Macron a évoqué, à ce stade, «une centaine d’établissements volontaires» pour cette expérimentation de «tenue unique» qui «efface les inégalités». Soit 20 à 25.000 élèves. Pour des collectivités qui, comme Nice, Perpignan, Metz ou la région Auvergne-Rhône-Alpes, se sont rapidement déclarées intéressées par le projet de l’exécutif, dans les tuyaux depuis un an, l’expérimentation pourrait commencer dès le printemps. Certaines ont d’ailleurs élaboré leur propre trousseau, sous réserve de répondre au cahier des charges fixé par l’Éducation nationale. […] Pour les autres collectivités intéressées, le gouvernement veut leur simplifier la vie avec ce trousseau élaboré par ses soins. La tenue sera mixte «pour éviter les polémiques qu’il risque d’y avoir malgré tout», confie un proche du dossier. Pas de choix entre le pantalon ou la jupe, donc. […] (source et suite)

 

Le gouvernement invoque un mauvais motif pour cet uniforme : « effacer les inégalités ». L’idéologie égalitariste, foncièrement contre-nature et antisociale, et fondement de la Gauche, est donc à l’œuvre.
On le voit bien au côté « unisexe » de la tenue. Il n’y a plus de différences, pour ces gens-là, entre garçons et filles, si tant est que ces malades admettent encore la réalité de cette altérité.

Or il est bien sûr important d’accompagner la structuration mentale des adolescents, y compris dans leur genre, au risque – entre autres – de créer des féministes et des déséquilibrés (la loi républicaine ne nous permet pas d’exprimer la réalité plus clairement)…

Les vertus de l’uniforme sont normalement :
– de développer l’esprit de corps dans un établissement
– d’empêcher la vanité vestimentaire
– d’empêcher les tenues indécentes (or le pantalon l’est souvent, chez les femmes)
– d’empêcher les tenues relâchées (car la tenue influe sur l’âme : ainsi, les baskets que présente le gouvernement – à défaut de les rendre obligatoire pour le moment – poussent, trop longtemps chaussées, à la mollesse).

On imagine que pour le gouvernement, en plus de l’égalitarisme malsain, les motifs sont d’effacer les différences sociales – pour ce qu’il en reste – et surtout d’empêcher les tenues religieuses.

De toute façon, il s’agit d’un pansement sur une jambe de bois, le problème de l’école française (d’où son effondrement) tient en trois choses principalement :

– des programmes lacunaires, mal orientés et mal ficelés, avec des méthodes nocives (telle la « méthode globale » pour l’enseignement du français)
– des enseignants gauchistes
– la tiers-mondisation par l’immigration de masse, entraînant une chute naturelle du niveau, et permettant à ceux qui ne veulent pas travailler d’empêcher de travailler ceux qui le voudraient, entre autres problèmes.

Froid : des voitures électriques qui perdent beaucoup d’autonomie, ou ne rechargent pas

D’autre part, certaines voitures peinent à se charger par très grand froid :

« Face à la vague de froid extrême à Chicago, où les températures ont atteint -19°C, les Tesla ont montré des limites inattendues. Les conducteurs ont rapporté des problèmes de démarrage de la charge aux Superchargers, un phénomène atypique pour ces véhicules électriques. Cette situation pourrait s’expliquer par la sensibilité des batteries lithium-ion aux basses températures, qui ralentissent les réactions chimiques internes. Et comme vu précédemment, réduisent ainsi l’efficacité de la charge. Par conséquent, la capacité des batteries à se charger rapidement diminue considérablement et entraîne une augmentation des temps d’attente aux stations de charge. » (source)

Notes moyennes au brevet en fonction du nom des collèges

[avertissement : il n’y aura pas de surprise…]

L’histogramme ci-dessous montre la note moyenne de chacun des 86 noms de collèges les plus répandus.

🇻🇳 En rouge : noms de personnalités qui se sont engagées en faveur du communisme
🏦 En rose : noms de personnalités politiques françaises post-1945
✝️ En bleu : noms religieux

« Il y a 6622 collèges dans la base de données publique des résultats au brevet 2022 (fichier IVAC). Parmi eux, 1753 collèges ont un nom récurrent, porté par au moins 10 établissements. On compte ainsi 86 noms très récurrents […] » (source)

Noël !

Nous souhaitons aux lecteurs de ce site ainsi qu’à leurs proches un très bon et joyeux Noël !

Dieu vous garde !

« Levez vos portes, ô princes; haussez-vous, portails antiques: le Roi de gloire va faire son entrée. » (Offertoire de la Vigile)

« Aujourd’hui, pour nous le Roi des cieux a daigné naître d’une Vierge, afin d’appeler de nouveau au royaume des cieux l’homme qui s’était perdu. » (Matines)

Un exemple de juge incompétent, inhumain et odieusement condescendant (video)

Alors que la France subit « le gouvernement des juges », il est intéressant d’avoir une bonne vision de ce que peuvent être ces gens aujourd’hui.

À part répéter toutes les trois secondes « Monsieur » pour se donner les faux airs d’un respect appuyé de son interlocuteur, l’intelligence de son argumentation semble aussi inversement proportionnelle à l’estime qu’il a de sa petite personne.

Finalement, l’élection des juges par les citoyens donnerait peut-être de meilleurs résultats, en attendant un système plus sain.

29 septembre : la saint Michel !

La fête de l’archange Saint Michel est très populaire chez les Chrétiens et la liturgie de ce dimanche lui rend hommage.
C’est le plus grand des anges, vainqueur de Lucifer, chef de la « milice céleste », « défenseur de la foi », mais aussi… ange protecteur de la France !

Il est le patron des soldats (et en particulier des parachutistes) et de nombreux corps de métier.

Ci-dessous un article de présentation de l’archange paru dans l’excellente revue L’Héritage.

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11e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Les miracles du Sauveur sont plus qu’un simple signe de sa puissance et de sa bonté ; ils sont en même temps le symbole de ce que sa grâce opère à l’intime des âmes. L’ « Ephphetha » qui a guéri le sourd-muet, l’Église le redit sur chacun de nous au baptême : ouvre-toi pour entendre les promesses de Dieu, ouvre-toi pour les proclamer.
L’Église nous fait encore chanter aujourd’hui la toute-puissance et l’infinie bonté de Dieu, qui rassemble et réjouit son peuple par la protection qu’il lui donne (intr., offert.). Il nous a faits pour lui et connaît les besoins profonds de nos âmes ; il nous exauce au-delà même de nos désirs (coll.). C’est également la grâce divine qui  donne aux ministres de l’Évangile des possibilités d’influence et de rayonnement surnaturels qui ne peuvent venir que de l’Esprit de Dieu (Ép.). »

Dom G. Lefebvre

 

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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Macron décore la piqueuse d’enfants et de nourrissons Buzyn, ainsi que Belloubet

Emmanuel Macron a remis ce 8 mars la Légion d’honneur à Agnès Buzyn , une des responsables du fiasco de la gestion de la crise du Covid19 en France.

L’ex-ministre de la Justice, Nicole Belloubet qui avait ordonné la libération de milliers de détenus en raison du confinement – tandis qu’une large partie de la population était cloîtrée de force –, était également du pince-fesses élyséen.

En remettant ainsi l’insigne honneur à celle qui a menti sur toute la ligne et dès le début du coronavirus, qui a interdit l’hydroxychloroquine (sauf, étrangement, pour les armées), interdit aux médecins de prescrire à bon escient et donc de soigner, et qui quelques années auparavant avait fait passer les vaccins obligatoires pour les nourrissons de 3 à 11 (dont une MST!), c’est une nouvelle provocation que signe Emmanuel Macron.
Mais rien que de très logique après tout. Les crapules s’entrefélicitent et Buzyn a bien mérité du Système.

Voir aussi, sur Buzyn :
Gestion du Covid-19 : la Cour de cassation annule la mise en examen d’Agnès Buzyn
► L’empoisonneuse Agnès Buzyn, ancien ministre de la Santé, nommée à la Cour des comptes
► « Le diesel doit clairement disparaître aujourd’hui de nos axes routiers » affirme Agnès Buzyn
Agnès Buzyn (ministre) : « Un père, ça peut être une femme, évidemment »
11 vaccins obligatoires à partir du 1er janvier, sous peine de prison
Agnès Buzyn menace : les enfants non vaccinés ne rentreront pas à l’école
► Le ministre de la Santé Agnès Buzyn favorable à l’euthanasie et à la chasse aux trisomiques
► Agnès Buzyn démarre sa campagne pour Paris sous une photo blasphématoire

Anne Hidalgo contrainte de révéler qu’elle a dépensé près de 9000 € d’argent public en vêtements de luxe en 2017

Seulement pour l’année 2017.

L’ensemble de la mandature de cette atroce politicienne gauchiste, qui a saccagé Paris, devrait contenir de nombreuses autres surprises…

« La communication des notes de frais d’Anne Hidalgo et de celles de son cabinet a été concédée de mauvaise grâce par la mairie au terme d’une bataille judiciaire de plus de cinq ans, engagée par le journaliste Stefan de Vries.  […]

Enfin le détail des notes de frais de la [sic] maire mentionne l’achat, grâce à l’enveloppe des indemnités de frais de représentation, de plusieurs vêtements de grandes marques, pour un montant de plus de 8800 euros entre janvier et septembre 2017. Le JDD en mentionne l’inventaire : «l’achat de trois robes Dior (1188, 1840 et 1440 euros), une robe Courrèges noire (720 euros), deux robes Diane Von Fürstenberg et leurs accessoires (1660 et 895 euros), ou encore des bottines venant du BHV (320 euros), des chaussures Minelli rouges (109 euros), un manteau Apostrophe bleu marine (650 euros), des pulls, pantalons et autres chemisiers. On trouve même dans cet inventaire des collants achetés au Monoprix».

«La [sic] maire de Paris incarne la France à l’étranger, argue son cabinet. Elle se doit de représenter la culture française et la haute couture, à l’instar de la première dame ou des ministres. Mais il ne s’agit pas là de robes à 10.000 euros. En plus, elle les réutilise», tient-on à préciser. » (source)

Oh ! Elle les réutilise ! Madame le maire est trop bonne ! Il faut probablement la remercier de cet usage de l’argent des contribuables ?

Le socialisme, quelle (mauvaise) farce…

Le profil éloquent de la gauchiste à la tête de Wikipedia France

L’encyclopédie en ligne Wikipedia devient de plus en plus une chasse gardée de la gauche (écriture prétendument « inclusive », bannière LGBT, articles mensongers, bannissement du « mgr » pour les évêques évoqués…).

On ne s’en étonnera pas en jetant un coup d’oeil au profil de la présidente de la fondation Wikimedia France (qui gère Wikipedia).

Capucine-Marin Dubroca-Voisin est une vraie gauchiste comme en témoignent sa présentation sur Twitter, avec ses « pronoms » délirants, et son fil Twitter.

 

Hécatombe chez les enseignes d’habillement

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« L’enseigne de chaussures aux 600 salariés, San Marina, actuellement en redressement judiciaire, fermera définitivement ses magasins samedi prochain.
Les boutiques de San Marina, actuellement en redressement judiciaire, fermeront définitivement samedi prochain. L’enseigne de chaussures aux 600 salariés est en redressement judiciaire.
Selon 20 Minutes, San Marina a annoncé la nouvelle à ses salariés lors d’une séance du comité social et économique (CSE) de l’entreprise. Depuis septembre, San Marina fait l’objet d’une procédure judiciaire de redressement ouverte par le tribunal de commerce. La fin de l’observation, obligeant une décision, est fixée au 22 mars 2023.
Depuis plusieurs mois, des enseignes iconiques du secteur (Kookaï, Cop.Copine, Pimkie…) sont dans la tourmente, avec parfois des liquidations judiciaires à la clef, comme pour Camaïeu. » (source)

L’une des principales causes de cette série noire pour ces enseignes, vous ne la verrez pas, ou presque, dans les grands médias.
C’est tout simplement que suite à la politique de haine anti-automobiliste des différentes autorités locales gaucho-escrologistes (dont Paris est l’archétype), il n’est plus possible de circuler sereinement et encore moins de se garer dans les centres-villes, là où se trouvent ces magasins.
C’est donc une part importante de la clientèle qui a dû renoncer à faire ses achats en centre-ville, au profit d’internet ou des centres commerciaux, dotés de parking.
De nombreux autres commerces souffrent de cet état de fait et périclitent petit à petit.

Les bons résultats de « Vaincre ou mourir » par rapport au cinéma gaucho-français habituels

 

« « Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».

Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+… du groupe Bolloré ajouteront certains.

Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.

Le Monde, Libération, l’Obs, France Inter, France Info, Télérama… Bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.

Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.

A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.

Par comparaison, une série de films bien-pensants à l’affiche ces derniers temps connaissent des bides retentissants. Ainsi :

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Rappel à Dieu de l’abbé Philippe Guépin

L’abbé Guépin est mort ce 7 février, subitement, chez lui, à l’âge de 72 ans.
S’étant activement dépensé pendant des décennies pour prodiguer les sacrements, la fatigue aura vraisemblablement eu raison de sa santé.

Traditionaliste convaincu, il avait été l’un des premiers prêtres ordonnés dans la Fraternité Saint Pie X par Mgr Lefebvre, en 1977.
Il avait ensuite poursuivi son ministère de façon indépendante, car de tendance sédévacantiste, en étant basé à Nantes.

Très militant, il avait été durant de longues années l’aumônier du Cercle National des Combattants dirigé par Roger Holeindre, et se déplaçait pour officier où l’on avait besoin de prêtre (cérémonie-anniversaire de la mort du Maréchal Pétain, Congrès nationaliste, etc.).

Qu’il repose en paix.