Tiens, une bonne nouvelle pour les bébés (et les mamans), et une bonne surprise, venant de Monaco.
Une proposition de loi avait été déposée en mars dernier par les élus du Conseil national pour légaliser l’IVG sous certaines conditions.
Le prince Albert, monarque de cette petite principauté, a refusé, justifiant sa décision en se référant au catholicisme, religion d’État à Monaco, comme l’article 9 de la Constitution de la principauté le stipule. (source)
A côté de ça, en France, le FN transformé par Marine Le Pen s’accroche à l’idéologie abortive (qui recule aux Etats-Unis) et a voté, avec les rouges et les mondialistes de tout poil, pour faire inscrire un prétendu « droit à l’avortement » dans la Constitution française.
A l’issue de même pas trois semaines de séjour (alors qu’il était condamné à 5 ans) dans le quartier de la Santé réservé aux personnalités importantes, avec sa cellule individuelle tout confort, l’étranger aux manières vulgaires Sarközy se rêve en écrivain ! Peut-être aussi a-t-il flairé un filon potentiellement juteux ?
Un culot phénoménal…
Un internaute commente :
Nicolas #Sarkozy se prend pour Dostoïevski après avoir dormi trois semaines dans des draps propres fournis par l’administration pénitentiaire. Il publie «Le journal d’un prisonnier», chef-d’œuvre d’auto-apitoiement aussi théâtralement masturbatoire que littérairement indécent. Le crime de ridicule est avéré. Le châtiment, c’est que Fayard inflige au public cette punition collective sans recours ni appel.
Mais il y a peut-être encore plus saugrenu que la sortie de ce livre : le fait qu’il y aura probablement des gens pour l’acheter (peut-être les mêmes qui envoyaient de l’argent en prison à cet homme qui s’est pourtant déjà fortement enrichi au cours de sa carrière politicienne) !
C’est bien sûr à cause de l’effondrement de l’Education nationale, détruite par la gauche (avec la complicité de la fausse droite) ; c’est aussi dû à l’effacement de la notion même de France par l’idéologie européiste et cosmopolite. C’est enfin, pour les jeunes Français (ethniques) la fin de toute transmission de mémoire familiale, des connaissances et des fidélités. Plus de visite au cimetière. Loisirs et plaisirs souvent sots ont pris tout l’espace.
Un Britannique, vétéran centenaire de la 2e Guerre, était interrogé par la télévision de son pays.
Mais l’entretien du « Poppy Day », comme on appelle le 11 Novembre là-bas, ne s’est pas tout à fait passé comme prévu. Car à la question « Quel est votre message ? », Alec Penstone répond, visiblement très ému : « Je vois en pensée ces rangées et ces rangées de pierres blanches et ces centaines de mes amis qui ont donné leur vie, pour quoi ? Pour le pays d’aujourd’hui ? » Pour lui, « le sacrifice » « ne valait pas la peine », quand on voit l’état de la Grande-Bretagne aujourd’hui. « aujourd’hui [le pays] est dans une situation pire qu’à l’époque où je me suis battu pour lui »
Il est un reproche vivant.
‘What we fought for was our freedom, even now [the country] is worse than it was when I fought for it,’ says 100-year-old World War II Veteran Alec Penstone. pic.twitter.com/M9HSsS5sIW
Regardez ce représentant de l’État français s’amusant lors de l’inauguration de ce « skatepark ».
La photo n’a pas été prise à Montreuil mais au Cameroun, dans le village de Ngoulmekong, où la France a offert cet ensemble sportif d’une valeur de 500 000 euros (sans compter le transport).
Dans un pays qui compte bien peu de skaters…
Quelques semaines après, c’était devenu une déchèterie.
« Le génie James Watson est décédé [le 7 novembre]. Il avait reçu le prix Nobel pour la découverte de la structure en double hélice de l’ADN.
En 2007, il a été excommunié du monde universitaire gangrené par la gauche après avoir affirmé qu’il y avait un écart d’intelligence entre les blancs et les noirs :
« Je suis foncièrement pessimiste sur l’avenir de l’Afrique… Toutes nos politiques sociales sont fondées sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre, alors que tous les tests cognitifs montrent que ce n’est pas vraiment le cas. »
[…] Cette histoire illustre toute la médiocrité et toute la folie de l’époque actuelle. James Watson était un authentique scientifique, pour qui la recherche de la vérité était beaucoup plus importante que le risque de heurter des sensibilités.
Le monde académique contemporain (qui est de plus en plus féminisé) prend exactement le chemin inverse : la recherche de la vérité y est moins importante que le fait de prêcher la bonne parole conforme à l’idéologie gauchiste.
C’est absolument catastrophique.
Que James Watson repose en paix, en espérant que le courage qu’il avait d’énoncer des vérités même quand elles pouvaient fâcher, redevienne un jour la norme à l’Université. »
• 1659: signature du traité des Pyrénées, entre Mazarin et le Premier ministre de Philippe IV, mettant fin à la guerre franco-espagnole qui durait depuis 1636. En signe de réconciliation, Louis XIV épousera l’infante Marie-Thérèse. Ce traité est avantageux pour la France, qui récupère l’Artois, le Roussillon et des places en Hainaut et en Flandres.
• 1936: début des massacres de Paracuellos à Madrid.
Des communistes et républicains, contents d’eux…
« Durant les premières semaines de la bataille de Madrid (novembre-décembre 1936), lors de la guerre d’Espagne, les bolcheviques Républicains espagnols se lancent dans des massacres de masse de leurs prisonniers politiques, suspects d’approuver le soulèvement nationaliste du 18 juillet 1936.
Sac de luxe à 3000€, boîte de nuit en micro-jupe, maquillée comme une voiture volée, le tout étalé sur les réseaux sociaux où elle parade…
Sarközy éduque sa fille aussi qu’il a gouverné la France.
Et pourtant ce n’est pas comme si ce riche retraité manquait de temps pour s’occuper de la malheureuse petite.
Dans les Ardennes, la Chartreuse du Mont-Dieu, un ancien monastère (les moines chartreux y ont été exclus durant la Révolution française) datant du XIIe siècle, classé monument historique depuis 1946, a été ravagée par les flammes. La toiture, la charpente et plusieurs peintures du XVIIe siècle ont été complètement détruites.
La cause de l’incendie n’a pas encore été déterminée, mais le bâtiment n’était pas raccordé à l’électricité.
Un homme haineux et hargneux, qui fut particulièrement nuisible à la France
Le « Panthéon », qui est – rappelons-le – une église volée, confirme un peu plus son statut de déchetterie républicaine, avec la venue triomphale de Robert Badinter.
Enfin, venue symbolique, car c’est un cercueil vide qui a été porté solennellement dans l’édifice, la dépouille de ce « saint » du Système (mort en février 2024 à l’âge de 95 ans) repose toujours au carré juif du cimetière de Bagneux ; en effet, sa femme, la très malfaisante Elisabeth Badinter (riche socialiste, fille du fondateur de Publicis Marcel Bleustein), n’a pas voulu qu’elle soit déplacée. Elle a avancé un motif romantique (être enterrée avec lui à sa mort), mais le doute est permis : est-ce par exemple la croix qui s’élève encore au sommet du Panthéon qui gêne cette farouche « laïcarde » ?
La tombe du « grand homme » du moment a d’ailleurs été souillée d’un graffiti ce jeudi, provoquant une grande indignation médiatique. Or, si effectivement cet acte est lamentable (mais qui est l’auteur ? On n’est pas à l’abri, une nouvelle fois, de provocations), on ne se souvient pas d’un tel émoi à propos du véritable saccage de la tombe de Jean-Marie Le Pen (attaquée à la masse, la croix étant brisée en plusieurs morceaux), trois semaines après son inhumation ; d’ailleurs, depuis, l’enquête n’a pas avancé d’un centimètre…
Il faut rappeler en quelques mots qui était ce Robert Badinter. Fils d’immigrés juifs de Moldavie tout juste « naturalisés français » et sans attaches particulières, Robert Badinter devint professeur de droit et avocat, en droit commun et des affaires, faisant fortune dans ce deuxième domaine.
Mais il se rendit célèbre en tant qu’avocat de meurtriers, en combattant dans ses plaidoiries, avec grandiloquence, la peine de mort.
Il défendit notamment, avec succès, plusieurs assassins d’enfants… leur évitant la peine capitale.
Parmi ses dernières victoires, il y a le sauvetage de Patrick Henry, en 1977, qui avait enlevé et assassiné un garçonnet de 7 ans (l’étranglant, de face, tandis qu’il appelait son père à l’aide), ainsi que Mohamed Yahiaoui, en 1978, qui avait assassiné un couple de boulangers (défigurés au couteau et égorgés), ou encore, en 1980, Norbert Garceau, qui avait assassiné une jeune femme (alors qu’en 1953, il avait déjà étranglé une jeune fille de quinze ans et avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, puis libéré en 1972 !)…
Très hostile à la liberté de recherche historique et à la liberté d’expression, il consacra son dernier procès avant de devenir ministre de la Justice, à faire condamner Robert Faurisson, en 1981.
Parallèlement à sa carrière d’avocat, ce riche homme de gauche fut militant au parti socialiste et, cette même année, devint ministre de la Justice, sous Mitterrand.
Il s’illustra alors en présentant à l’Assemblée le projet de loi abolissant la peine de mort, qui fut adopté cette même année 1981.
Rappelons que la peine de mort n’était plus appliquée, dans les faits, depuis plusieurs années. Mais c’est une victoire symbolique forte pour Badinter, qui décapita ainsi l’échelle des peines traditionnelle.
Les assassins furent soulagés. Tant pis pour les victimes (en particulier celles qui seront victimes de récidivistes, et qui auraient donc été sauvées par la peine de mort)…
Cet homme imprégné d’idéologie cosmopolite s’est aussi, à ce poste, signalé par un renforcement de la domination du droit européen sur le droit français, ou encore par son soutien à l’homosexualisme le plus sordide : il a fait supprimer la disposition légale pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur… !
Oui : Badinter et ses compères socialo-communistes ont voulu que les mineurs puissent légalement (à partir de 15 ans) se faire sodomiser par des adultes…
Ils détruisirent ainsi un peu plus la civilisation et les protections qu’elle permettait envers les jeunes.
Devenu président du Conseil constitutionnel en 1986, il en a fait un bastion de la gauche (c’est toujours le cas, avec le sinistre Fabius à sa tête) et une arme du « gouvernement des juges » face au politique (et surtout, évidemment, face à la politique de droite). Charles Pasqua mit d’ailleurs à l’époque, déjà, en cause son impartialité lorsque le Conseil annula huit articles de sa loi sur l’immigration…
Derrière le masque du super-républicain, il y avait un communautariste véhément et vigilant, soucieux du bien-être des siens et endogame, mais qui parallèlement a passé son temps à culpabiliser les Français en dénonçant un fumeux racisme, incitant ainsi au génocide par métissage du peuple qui l’avait accueilli et enrichi ; c’était un faux gentil, dont le visage exprimait facilement la haine la plus féroce, la hargne la plus tenace, dès qu’il s’agissait des causes communautaires, qui prévalaient pour lui par-dessus tout ; c’était un faux humaniste, qui fut avec sa réforme le bienfaiteur des pires criminels, au mépris des victimes et au détriment des citoyens innocents ; c’était, évidemment, un faux sage, militant pour les pires causes et verrouillant le système au profit de la gauche, contre le principe démocratique.
Une belle canaille, un « saint » convenable pour ce régime désastreux à bout de souffle.
PS : ayons une pensée pour les victimes oubliées de l’affaire du talc Morhange, en 1972, quand 36 bébés moururent empoisonnés par du talc toxique, et que près de 200 autres furent gravement intoxiqués, certains restant lourdement handicapés. Badinter fut l’avocat du puissant PDG fautif, et au procès, s’en prit avec brutalité (dixit le JT de l’époque) aux parents dans l’épreuve, prétendant qu’ils étaient là pour l’argent, et ne manifestant aucune empathie envers ces membres endeuillés de la France populaire, laborieuse et honnête.
Dans la série : « où partent les impôts des Français ? »
Le Comité interentreprises de FranceTélévision – l’agglomérat de plusieurs chaînes de propagande gaucho-mondialiste payé par le contribuable – est propriétaire de ce château en Dordogne : 115 hectares de terrain et une piscine privée qui, comme l’a révélé la Cour des comptes, a couté à elle seule 1 000 000 € !
La fête de l’archange Saint Michel est très populaire chez les Chrétiens.
C’est le plus grand des anges, vainqueur de Lucifer, chef de la « milice céleste », « défenseur de la foi », mais aussi… ange protecteur de la France !
Il est le patron des soldats (et en particulier des parachutistes) et de nombreux corps de métier.
Ci-dessous un article de présentation de l’archange paru dans l’excellente revue L’Héritage.
L’ancien président de la République a été condamné à 5 ans de prison, qu’il va devoir effectuer prochainement malgré son appel, pour « association de malfaiteurs », dans le cadre de l’enquête sur le financement libyen de sa campagne électorale de 2007. Il a été disculpé d’autres accusations, faute d’éléments tangibles (l’homme d’affaires Ziad Takieddine, mort il y a quelques jours, affirmait avoir remis 5 millions d’euros à Sarközy et Claude Guéant).
Deux de ses proches (Brice Hortefeux et Guéant) étaient secrètement aller rencontrer Abdallah Senoussi, numéro 2 du régime de Kadhafi, mais aussi terroriste d’État responsable de la mort de 140 Français dans le vol UTA 772 en 1989. Pour manigancer quoi ?
C’est ce point qui a permis la condamnation de Sarközy.
De nombreux commentateurs médiatiques et politiques s’étonnent de la condamnation et de sa sévérité au regard de la faiblesse des éléments recevables, l’enquête n’ayant pas réussi à établir beaucoup de faits.
D’autres évoquent le cas d’Al Capone, le célèbre parrain maffieux italo-américain, qui, inattaquable pour ses meurtres, est tombé finalement pour « fraude fiscale ».
Les droitards sont en tout cas effondrés. Quel peuple d’éternels cocus !
Car même si Sarközy n’était pas formellement un « malfaiteur », c’est un malfaisant de la pire espère !
Il fut l’un des dirigeants les plus catastrophiques de l’histoire (en passe de se terminer, sauf sursaut) de France, comme nous allons le rappeler brièvement pour les Français à la mémoire si faible.
Aussi, même si dans cette affaire il était condamné à tort par une caste judiciaire haineuse et partiale, qui prend de plus en plus de pouvoir, en plus d’être à gauche, et qui doit être combattue, Sarközy mériterait les travaux forcés à perpétuité pour le tort qu’il a fait au pays dont il a eu l’honneur d’être responsable, et qu’il méprisait en réalité.
Rappels sur l’activité de Nicolas Sarközy :
Politique intérieure :
– le Traité constitutionnel européen : refusé par référendum en 2005, ce projet d’asservissement de la France à l’Union européenne a été, sous l’impulsion de Sarközy, ressuscité sous forme du traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans consultation populaire.
– Immigration : sous Sarközy, l’immigration légale a atteint un pic de 250 000 titres de séjour annuels, malgré sa rhétorique de fermeté. Sa loi de 2006 sur “l’immigration choisie” a été un échec, avec seulement 14% d’immigration professionnelle contre un objectif de 50 %.
– « Discrimination positive » : Sarközy bafoua le principe de lutte contre les discriminations – déjà scandaleux – et mit en place officiellement une discrimination contre les Français de souche, en l’appelant de la façon la plus mensongère « discrimination positive ».
– Partisan résolu du grand Remplacement, il affirma publiquement que le métissage, “Ce n’est pas un choix, c’est une obligation”.
Une véritable obsession :
Contrairement à ce que prétend ce bonimenteur, la consanguinité n’a jamais tué une société ou un peuple : elle est problématique dans le cadre d’union entre membres d’une même famille ou dans un cadre très restreint (un village, au fil des générations). Strictement rien à voir avec un peuple ou une race.
Ajoutons qu’en 2010, Carla Bruni, son épouse, parla en privé d’un « vieux sang pourri » qui coule dans les veines des Français, en référence à leur supposée frilosité face à l’immigration et au métissage…
Rarement dans l’histoire de l’humanité un peuple a été dirigé par des gens qui le méprisaient autant, et souhaitaient si fortement sa disparition.
En 2021, après une condamnation, Sarközy expliquait de façon délirante que les juges avaient été méchants avec lui car il leur avait grosso modo reproché autrefois d’être trop blancs :
J’ai toujours dit, et je le maintiens, qu’il est nécessaire d’avoir plus de diversité dans le recrutement des magistrats. J’ai rappelé un jour que j’étais moi-même un « petit Français de sang mêlé » : j’aimerais que ces « Français de sang mêlé » soient mieux représentés dans toutes les corporations. Les civilisations disparaissent sous l’effet de la consanguinité, pas sous celui de la diversité. C’est ce que j’avais voulu dire à l’époque. Et c’est cela qui justifierait une vengeance ?
Comme si les magistrats de gauche avaient eu un réflexe ethnique français ! Quelle défense indigne… Quelle indignité…
– Ruine d’EDF avec la loi NOME : adoptée en 2010 sous l’impulsion de François Fillon et Sarközy, elle a imposé à EDF de vendre son électricité nucléaire à un prix sous-évalué à ses concurrents via l’Arenh (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique), qui eux n’avaient pas investi dans ses infrastructures. EDF a dû vendre à de simples entreprises commerciales à un coût inférieur à ses coûts de production.
– En 2009, il a impulsé la départementalisation de Mayotte, effective en 2011 : une catastrophe économique et démographique pour la France.
– Théorie du genre à l’Éducation nationale : en 2011, sous son mandat, des manuels scolaires de SVT ont commencé à intégrer des chapitres sur « le genre », prétendant que l’identité sexuelle était socio-culturelle autant que biologique.
– Fin de la double peine : la réforme de 2003, impulsée par Sarközy comme ministre de l’Intérieur, a limité les expulsions automatiques d’étrangers délinquants. Il fallait donc garder ici des malfaiteurs administrativement étrangers, leur laissant loisir de nuire encore. Peu de pays acceptent une telle folie.
– Saccage de l’Hôpital public : les réformes hospitalières de 2009 (loi HPST) ont abouti à des budgets rognés et fermetures de lits.
– Vente de 20% des réserves d’or : en 2004, comme ministre, Sarközy a vendu près de 600 tonnes d’or de la Banque de France pour 4,67 milliards d’euros. Une très mauvaise opération (voir ici).
– Ouverture à gauche et promotion du remplacisme : sitôt élu sur une ligne de droite dure, Sarközy a ouvert son gouvernement à des figures comme le socliaste Bernard Kouchner aux Affaires étrangères, le socialiste Éric Besson à la Prospective, Rachida Dati (Justice), Fadela Amara (politique de subventions des quartiers ethniques), ou Ramatoulaye Yade. Application de la « discrimination positive ».
– Suppression du crime de haute trahison : la révision constitutionnelle de 2007, sous son impulsion, a remplacé la “haute trahison” par un vague “manquement aux devoirs”. Une protection pour l’avenir ?
– Maintien des Accords d’Évian : Sarközy a préservé les facilités d’immigration algérienne issues des accords de 1962, malgré les appels à leur renégociation, favorisant un flux migratoire incontrôlé.
– Enterrement du rapport sur le financement des syndicats : en novembre 2011, sous son mandat, un rapport parlementaire explosif sur les financements opaques des syndicats et patronat (plus de 5 milliards d’euros annuels, avec des abus via les comités d’entreprise et des publicités suspectes dans les publications) a été rejeté et “enterré” par l’Assemblée, malgré six mois de travail et 45 auditions. Cette décision, prise à la veille des élections présidentielles de 2012, visait à se concilier la gauche syndicale en vue de la réélection de Sarközy.
– Constructions de mosquées : en 2006, le rapport Machelon, commandé par Sarközy, ministre de l’Intérieur, a permis l’autorisation des subventions indirectes communales aux lieux de culte, et encouragé les baux emphytéotiques (souvent à 1 euro/an), contournant la loi de 1905. Cela a accéléré surtout, évidemment, la construction de mosquées (près de 2 500 en 2012), souvent financées par des fonds étrangers, notamment qataris.
– Débat truqué sur l’identité nationale lancé en novembre 2009 par Éric Besson, ministre de l’Immigration avec le “grand débat sur l’identité nationale”. Ce sujet crucial a été transformé en un exercice de communication pro-multiculturaliste et pro-immigrationniste.
– Soupçons de collusion avec Bernard Tapie : en 2007, alors président, Sarközy est soupçonné d’avoir influencé la décision de recourir à un arbitrage privé (« simulacre d’arbitrage » dixit le juge d’instruction) en faveur de Bernard Tapie (qui empochera 400 millions d’euros) plutôt qu’à une procédure judiciaire classique pour régler son différend avec l’entité publique gérant les dettes du Crédit Lyonnais…
— Flicage et racket des Français : tout en développant l’invasion migratoire, il mit en place un système de surveillance et de restrictions des libertés des Français, au nom de la sécurité. Sur internet : « la propagation et l’apologie d’idéologies extrémistes [sic] seront réprimées par un délit figurant au code pénal, avec les moyens qui sont déjà ceux de la lutte antiterroriste ». (2012)
A l’Intérieur, il a fait installer des centaines de radars contre les automobilistes : « Ces radars ne seront plus annoncés par des panneaux et ne pourront plus être signalés en tant que tels par les systèmes d’avertissement entre automobilistes ». Heureusement, ce dernier point sera invalidé en justice.
– Explosion de la dette publique française : de 2002 à 2006 (Sarközy ministre de l’Economie puis de l’Intérieur) : augmentation de 299 milliards d’euros. De 2007 à 2012 (Président) : augmentation de 682 milliards d’euros.
• 1793: à Torfou, victoire des Vendéens, commandés par Charette, face à l’armée dite « de Mayence », des soldats républicains commandés par Kleber.
► pour des livres, bandes dessinées et DVD sur la chouannerie et les guerres de Vendée,voir ici.
• 1812 : mort à Francfort, de Meyer Amschel Rothschild, le fondateur de la puissance financière de la famille.
Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permit de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
Il gagna la confiance du Landgrave de Hesse et devait rendre des services à l’Angleterre en lutte contre la France.
Il laissa cinq fils, anoblis par l’empereur Habsbourg d’Autriche en 1815 et faits barons en 1822. Son fils Nathan se constitua une énorme fortune en manipulant les cours de la bourse à l’occasion de la bataille de Waterloo.
• 1826: disparition de William Morgan, ancien franc-maçon qui menaçait de dévoiler les secrets de la maçonnerie américaine. Le 10 septembre précédent, l’imprimerie qui devait publier son ouvrage fut incendiée. Le lendemain, Morgan fut arrêté sous un prétexte fallacieux. Rapidement disculpé, il fut à nouveau arrêté pour une dette de 2,68 dollars remontant à plus de cinq mois. Un inconnu régla sa dette le 12 septembre et emmena Morgan.
Il disparut finalement le 19 et ne fut jamais retrouvé vivant, ayant été très certainement tué par des « frères ». En octobre 1827, son corps fut repêché dans le lac Ontario. Le scandale fut énorme.
Dès 1828 fut fondé le « Parti anti-maçonnique ». Son candidat obtint, aux élections de 1832, plus de 1 300 000 suffrages et le parti compta jusqu’à 25 représentants à la Chambre, l’année suivante.
Entre 1827 et 1830, le nombre de loges de New York passa de 480 à 30 et celui de leurs membres de 20 000 à 3 000. Les loges ne reprirent leur essor qu’à partir de 1840.
• 1846: apparition de la Sainte Vierge à la Salette (Isère), devant Maximin Giraud (11 ans) et Mélanie Calvat (14 ans).
« On ne respecte plus le dimanche, jour du Seigneur, on jure sans cesse en ne respectant pas le nom de mon Fils. Si mon peuple ne se convertit pas, il lui arrivera de grands malheurs. Je ne peux plus retenir le bras de mon Fils »
• 1870: début du siège de Paris par l’armée prussienne.
• 1914: bombardement de la cathédrale de Reims par l’artillerie allemande.
Le toit, la charpente et le clocher de l’ange sont détruits. Le retentissement est mondial et Reims, déjà bombardée plusieurs fois, acquiert le statut de ville martyre.
la cathédrale de Reims en feu après le bombardement.
• 1946: appel de Churchill, à Zurich, pour une union européenne. Ce jour peut être considéré comme la date de lancement de l’UE.
Le 2 septembre, à Marseille, un Arabe de 35 ans attaquait et blessait 5 personnes à coups de couteau, avant de menacer une patrouille de police qui était venue à sa rencontre.
Il s’est avancé vers elle en brandissant ses grands couteaux, malgré les avertissements. Les policiers ont été évidemment contraints de lui tirer dessus. On peut voir la video de la fusillade sur internet, et elle ne laisse aucun doute sur le bien-fondé des tirs des policiers.
Il n’a pas survécu, ce qui a épargné aux Français une longue et coûteuse procédure judiciaire, ainsi qu’un coûteux séjour en prison, avant qu’il soit relâché pour pouvoir recommencer.
Mais ce qui s’est passé ensuite est ahurissant :
Le ministère des affaires étrangères tunisien a annoncé, dans un communiqué, avoir convoqué le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis pour lui faire part de sa « vive protestation ». Le ministère a précisé lui avoir demandé « de transmettre aux autorités de son pays le fait que la Tunisie considère cet incident comme un meurtre injustifié, et attend de la partie française toute la rigueur et la célérité nécessaires dans l’enquête ». (source)
Pour qu’un petit pays ose ainsi – au lieu de se confondre en excuses – se plaindre de la mise hors d’état de nuire de ses criminels les plus furieux en dit long sur la considération dont jouit la France dans le monde : un paillasson pour ceux qui la submergent et pour ceux qui la voient de l’extérieur.
Il aurait fallu le laisser tuer les policiers et poignarder d’autres personnes jusqu’à ce qu’il se lasse ?!
Cela en dit aussi long sur la mentalité des dirigeants de ce petit pays musulman présentés comme raisonnables…