Hyères : les pervers insultent la religion de leurs pères

Nouveau scandale à Hyères, dans le Var : un flyer assez singulier a été diffusé pour annoncer une soirée organisée hier dans la discothèque Le Pink. La religion, l’image du crucifix en fond d’affiche et le nom des organisateurs qui empruntent des appellations cléricales, est associée à une soirée où sont mêlés sexe, perversion et pornographie. Instrumentaliser ainsi la religion pour faire une publicité aussi malsaine, tourner en dérision la religion en plein carême, et à deux jours de la renonciation du pape, voilà qui suscite bien légitimement l’indignation des catholiques.

L’abbé Benoit Moradei, curé  d’Hyères, a réagi dans le journal Var matin, afin de faire entendre sa voix, entendant faire son « devoir de responsable de la communauté catholique d’Hyères« . Il résume lui-même la situation :  « Un crucifix en image de fond, les noms des organisateurs (Père Roman, DJ Père MattG et Père Djoche Lopez) annoncent une parodie – l’Eglise catholique est visée, ainsi que les prêtres. La veille du jour où Benoît XVI quitte sa charge. Pour faire le buzz, je pense. (…) Comme disait Jésus sur la Croix : “Ils ne savent pas ce qu’ils font”. Mais, il me fallait dire mon “coup de gueule” non violent devant un acte moins anodin qu’il n’y paraît. »

La parodie est scandaleuse quand elle touche à la Foi, c’est à dire à ce qu’il y a de plus intime et de plus précieux dans la personne humaine. Ne pas respecter cette dimension intérieure et spirituelle, c’est nier l’homme ou bien le réduire à la matière. Une telle grossièreté est d’autant plus blessante qu’elle vise évidemment la religion de nos ancêtres, celle qui est intrinsèquement liée à l’essor de la civilisation occidentale qui nous a engendré et qui a fait de nous ce que nous sommes, nous constituant héritiers d’un immense patrimoine spirituel.

Décidément, le carême sera là encore l’occasion d’un nouveau chemin de croix pour les catholiques. Mais ce qui est en jeu, ce ne sont pas simplement des susceptibilités -après tout, le catholique doit être prêt à mourir pour sa Foi-, mais l’honneur de l’Église et de Notre-Seigneur. Voilà ce qui motive notre indignation et justifie notre réaction.

Femen : en 2013, il vaut mieux être féministe que catholique !

Après leur interpellation, les Femen ont été relâchées immédiatement, sans avoir été placées en garde à vue, alors que les faits sont punissables par la loi.

Les huit activistes Femen, après avoir agressé les fidèles de la cathédrale de Paris, en paraissant dénudées, ont été conduites par les forces de police au commissariat du IVe arrondissement : «simplement pour la forme», assure une source de la Préfecture de police de Paris, pour «vérifier leurs papiers d’identité» et «elles ont été relâchées dans la foulée, sans garde à vue».

Les faits sont pourtant tous des délits punissables par la loi, tant du point de vue civil que pénal. «Exhibition sexuelle dans un lieu accessible au public» (article 222-32 du Code pénal), «atteinte à l’affectation cultuelle» et «atteinte à la liberté d’exercice du culte» (loi de 1905), «injure commise envers (…) une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée» (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), «coups et blessures», «destruction ou profanation d’objet sacré»…

Maître Laurent Delvolvé, avocat de l’archevêché de Paris, lequel a porté plainte, s’interroge sur cette procédure : «Et avec tout ça, on juge seulement bon de vérifier leurs papiers? On ne les prie pas de s’expliquer? Au regard de la gravité des faits et du lieu dans lequel ils ont été commis, on peut s’interroger sur le traitement policier de cette affaire… À situations égales, on a vu des traitements bien différents».
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Libération : quand le blasphème le dispute à la bêtise…

Voici la “une” du Mercredi des Cendres du quotidien Libération : jour où les catholiques sont entrés dans le saint Carême !

On se passerait presque de commentaires. Deux choses cependant :

D’une part, il y a toujours eu dans l’histoire de l’humanité une quête métaphysique : la recherche, derrière le provisoire et l’éphémère, du définitif ; derrière le contingent, du nécessaire. Cette quête du sens, cette reconnaissance d’une transcendance, a le droit d’être considérée. Le rapport de l’homme au Mystère et à l’Être est infiniment respectable parce qu’il touche à ce qu’il y a en l’homme de plus intime. C’est pourquoi ce dogmatisme athée, cette violence verbale contre la religion de nos ancêtres, laquelle a façonné la culture de notre pays, est insupportable : notamment lorsqu’elle vient de ceux qui, à longueur de temps, nous parlent d’écoute et d’ouverture à l’autre. Alors qu’ils ne sont même pas capables d’être réceptif à ce dont ils sont pourtant les héritiers. Ce sont manifestement les mêmes qui parlent en permanence de tolérance qui la pratiquent le moins.

D’autre part, cette hostilité à la religion est nuancée : elle est plus marquée à l’endroit de celle que nos pères nous ont transmise. Mais les mêmes qui crachent dessus sont plus indulgents avec des religions étrangères, quelquefois pourtant plus violentes dans leur dogme. Un exemple : Libération aurait-elle fait la même « une » à l’entrée du Ramadan, titrant : « Allah démission ! » ? La réponse est dans la question…

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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La justice russe poursuit les Pussy Riot pour blasphème

Hier, le parquet de Moscou a adressé au tribunal un acte d’inculpation visant les trois filles punks membres du groupe «Pussy Riot» qui avaient, à la veille de l’élection présidentielle, interprété une danse anti-Poutine dans le chœur de la grande cathédrale moscovite du Christ-Sauveur. Extrait de cet acte : elles

« ‘ont causé des dommages considérables aux valeurs sacrées du culte chrétien, attenté au mystère sacramentel de l’église et, refusant de répondre aux appels d’une employée de l’église de stopper ce sacrilège, sont entrées illégalement dans la partie clôturée de la basilique, destinée à effectuer les rites sacrés religieux. Par cela, elles ont humilié, d’une manière blasphématoire, les fondements séculaires de l’Église orthodoxe russe. »

Le Figaro qualifie cet acte d’inculpation de « plutôt stupéfiant ». Le journaliste en aurait-il consommé ?

Source

Réactions et répression autour du spectacle blasphématoire

Mise-à-jour 20h
Les interpellés de samedi soir viennent d’être libérés après pas moins de 48h de garde-à-vue : de vrais criminels !
Des gardés-à-vue de dimanche soir sont poursuivis pour – ne riez pas – atteinte à la liberté d’expression !
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Depuis jeudi dernier, les actions de jeunes Français scandalisés à juste titre par la pièce scatologique antichrétienne de Castellucci (ci-contre des gamins lançant des projectiles sur le portrait du Christ au cours de la pièce) n’ont pas cessé.
En effet, chaque soir, des jeunes ont perturbé la représentation.
La répression ne faiblit pas, et des gardes-à-vue tombent tous les soirs.
Vendredi soir, 20 personnes ont été interpellées pour « jets de projectiles » et « manifestation non déclarée ».
Samedi soir, un groupe de partisans de la décence a investi la scène, comme jeudi.
Le spectacle a là encore été bien retardé.
A la suite de quoi, 5 personnes étaient toujours en garde-à-vue à 12h ce lundi ! Ils vont avoir droit à 48h…
Ils échappent à la comparution immédiate mais auront droit à un procès plus tard.

La « justice » a ses priorités…

Contre-info poursuit ses investigations et nous vous tiendrons au courant dès que nous aurons des nouvelles ou des détails.

Nouvel outrage ignoble contre le Christ à Avignon !

Selon l’abbé de Cacqueray (FSSPX) :

Avignon avait abrité il y a trois mois, une œuvre d’art outrancière à l’égard de Notre Seigneur : la collection Lambert présentait la photographie d’un crucifix dans un vase d’urine.

Aujourd’hui, dans le cadre du festival annuel de la ville, une pièce dénommée « Opéra théâtre », aussi vulgaire que blasphématoire, fait jouer successivement un vieillard indigent dont on retire la couche et dont on présente pendant plusieurs minutes les excréments devant le public et une bande d’enfants lançant des grenades sur un grand portrait de Jésus Christ, formant le décor.
Par la suite, ce grand visage est lacéré par des effets techniques qui font dégouliner de ces déchirures une couleur « évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang » rapporte un journaliste.
A la fin de la scène, un message apparaît aux yeux de tous : « You are not my shepherd » (« Tu n’es pas mon berger »).

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Le Renouveau Français sera à Avignon samedi

Des militants d’île de France, d’Anjou, de Touraine, du Lyonnais et de Bourgogne comptent assurer le déplacement.

Blasphème dans le diocèse de Nancy-Toul ?

A l’occasion de l’appel au don annuel, le diocèse de Nancy-Toul a lancé une campagne de publicité avec une idée « marketing » qui risque de créer la polémique.

Deux jeux de mots douteux, blasphématoires jugeront certains, sur le visuel en question : « JESUS CRISE » à la place de « JESUS-CHRIST » suivi de « Donnez que Diable ! ».