Les territoires d’Amérique du Nord ayant été colonisés par la France
• 1758: en Nouvelle-Ecosse, Louisbourg tombe aux mains des Anglais. Cette capitulation marque l’ultime fin de ce qui restait encore de l’Acadie française.
Malgré l’état lamentable de la forteresse (abandonnée par la France) qu’ils n’ont pu restaurer, en dépit de tous les rapports alarmants adressés à Versailles et de leur notable infériorité numérique, les assiégés (moins de 3000) ont résisté 48 jours à 15 000 hommes soutenus par une escadre de 24 vaisseaux de guerre et 18 frégates.
• 1792: à Paris, le Directoire du comité central des Fédérés prépare l’insurrection qui éclatera le 10 août. Un expert en troubles, Claude Fournier, dit l’Américain ou l’héritier, introduit pratiquement pour la première fois un drapeau rouge comme symbole de l’insurrection. Continuer la lecture de « C’était un 26 juillet… »
• 1534: Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du Roi de France. Parti le 20 avril 1534 de Saint Malo (où il a une statue tournée vers l’Ouest), Jacques Cartier atteint le golfe du Saint-Laurent et débarque à Gaspé après s’être arrêté à Terre-Neuve. Accueilli par des Indiens avec qui il échange des cadeaux, il plante une immense croix portant les armes du Roi de France, le 24 juillet.
• 1712: victoire inespérée des Français dirigés par le maréchal de Villars sur les Austro-Hollandais, commandés par le prince Eugène de Carignan-Savoie, l’un des plus grands chefs militaires de son temps. Continuer la lecture de « C’était un 24 juillet… »
En plus d’être un massacre visuel, ces constructions à l’utilité et à la rentabilité très controversées massacrent tout simplement les animaux.
« C’était la dixième baleine à s’échouer sur les plages de New York et du New Jersey en neuf semaines.
Les écologistes, les politiciens et les citoyens ordinaires se demandaient haut et fort si la construction d’éoliennes offshore était en train de les tuer.
Apostolos Gerasoulis, professeur émérite d’informatique à Rutgers et qui a co-créé le moteur de recherche qui alimente Ask.com, dit désormais que la réponse est oui.
« Absolument, à 100 pour cent, les vents offshore tuent les baleines », dit-il. » (source et détails Dailymail)
Les décès de baleines à bosse dans les eaux de New York, du New Jersey et du Rhode Island sont passés d’une moyenne de deux par an avant 2016 à 10 dans les années qui ont suivi.
Le député français (?) Caroline Yadan, successeur de l’agent israélien Meyer Habib à l’Assemblée, est visiblement au moins aussi enragé que lui !
Elle déclamait il y a quelques jours :
« Je veux que, lorsque l’on devienne français (sic), alors on signe une déclaration qui dise qu’on reconnait l’État d’Israël ».
Le sionisme, nouvelle « valeur de la République » ?
Je propose aussi de baiser les pieds du président du Crif à chaque naturalisation ainsi qu'une visite obligatoire à la Knesset. Ces gens sont malades. Le #sionisme est une pathologie. pic.twitter.com/0hz3oBOzoR
Cela illustre bien la conception purement contractuelle de la nationalité française qui prévaut parmi la caste politico-médiatique.
Ils ne savent pas ce que signifie « être français ». Ce n’est certainement pas qu’une adhésion à un ensemble de prétendues valeurs.
• – 390 : les Gaulois, sous le commandement de Brennus, s’emparent de Rome après un long siège face au mont Capitolin, où l’armée romaine s’était réfugiée.
Au moment de la pesée de la rançon (1 000 livres d’or), devant les protestations romaines, Brennus jette son épée dans la balance en proclamant « Vae victis ! » (« Malheur aux vaincus ! »)
• 64 : début de l’incendie de Rome, qui dure 9 jours et détruit la ville. Le fou et sanglant Néron, qui en est à l’origine, en accuse les chrétiens.
• 1100 : mort du duc de Basse-Lorraine Godefroi de Bouillon, le premier roi chrétien de Jérusalem (dont il avait dirigé la prise en 1099).
• 1936 : début de la guerre d’Espagne, 5 jours après l’assassinat du chef de l’opposition monarchiste au parlement. Les généraux nationalistes appellent au soulèvement et tentent un coup d’Etat pour renverser la gauche radicale au pouvoir. La guerre durera 3 ans et fera un million de morts. Robert Brasillach et Maurice Bardèche ont écrit à ce sujet un livre assez complet.
Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.
Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste : Dean Mamas, docteur en physique nucléaire américain.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.
C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution – et il en annonçait bien d’autres…
« Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)
Les croisades constituent l’une des plus belles manifestations de la générosité de l’âme française.
Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés libèrent la ville de Jérusalem des mains des musulmans. Ils ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt et effectué une interminable et périlleuse marche pour répondre à l’appel du pape Urbain II, reprendre aux Infidèles le tombeau du Christ et y permettre à nouveau les pèlerinages.
Pendant le siège, plusieurs tentatives avaient été faites, mais furent toutes repoussées. Trois machines de siège furent terminées et amenées près des murs dans la nuit du 14 juillet. Elles permirent la conquête de la ville sainte.
Godefroy de Bouillon devient Advocatus Sancti Sepuchri (Avoué du Saint Sépulcre) le 22 juillet, refusant d’être « roi » dans la ville où mourut le Christ. Continuer la lecture de « C’était un 15 juillet : la libération de Jérusalem par les Croisés »
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.
L’homme riche et son intendant malhonnête
« Tout l’enseignement de l’évangile de ce dimanche se ramène à une leçon de zèle surnaturel : c’est le ciel qui importe et c’est vers lui qu’il faut tendre, en utilisant les situations transitoires d’ici-bas pour aller de tout notre élan vers l’au-delà. Nous devrions être aussi industrieux et actifs pour assurer notre avenir éternel, que les fils des ténèbres le sont dans leurs affaires temporelles. On trouvera dans l’épître de S. Paul la raison profonde de ce dégagement des choses de la terre et le secret de cette aspiration puissante qui doit soulever et entraîner les fils de la lumière vers les choses du ciel. C’est avant tout l’œuvre de Dieu, qui vient transformer nos vies humaines et nous donner une âme de fils, pour être cohéritiers de son propre Fils dans son royaume céleste. C’est le Saint-Esprit lui-même qui nous fait crier vers Dieu : « Père ! » »
La place de la Bastille à Paris le 14 juillet 1880 (1ère fête nationale fêtée un 14 juillet) avec les drapeaux tricolores, chromo
« Après un oubli de près de 100 ans depuis la prise de la Bastille, le 14 juillet devient fête Nationale en 1880, sous la IIIe République.
La République toute nouvelle se cherche des symboles. Là encore, comme souvent en cette période de notre Histoire Nationale, l’action des francs-maçons sera importante.
C’est le frère Benjamain Raspail, député de la Seine pour la gauche républicaine (fils aîné de François-Vincent Raspail, candidat malheureux à la présidence de la République en 1848, carbonaro et franc-maçon au sein de la célèbre loge parisienne Les Amis de la Vérité), qui dépose le 21 mai 1880 la loi faisant du 14 juillet la fête nationale. Ce projet de loi, signé par 64 députés, sera adopté par l’Assemblée le 8 juin et par le Sénat le 29 juin. Elle sera promulguée le 6 juillet 1880. Continuer la lecture de « 14 juillet : fête nationale ou fête maçonnique ? »
• 1223 : mort de Phillipe II « Auguste », qui fut comme son nom l’indique l’un des plus grands rois de France. Il avait remporté la victoire capitale de Bouvines en 1214, après quoi « jamais depuis ne fut personne qui osa faire la guerre au roi Philippe, mais il vécut depuis en grande paix et toute la terre fut en grande paix », nous dit un chroniqueur anonyme.
• 1555: bulle du pape Paul IV, Cum nimis absurdum, défendant aux juifs de vivre en commun avec les chrétiens et d’exercer aucune industrie.
• 1683: l’armée turque s’installe devant Vienne pour en faire le siège. Les boulangers de la ville prennent une part importante dans sa défense et fabriquent des brioches en forme de croissant (symbole de l’islam), en signe de résistance.
• 1789: prise de la Bastille, qui ne s’est pas réellement défendue, mais l’épisode donnera naissance à un mythe républicain très grossi… Dès 5 heures du soir, les démolisseurs de Pierre-François Palloy sont en action, s’attaquant au haut d’une tour. Pendant ce temps, les révolutionnaires portent sur une pique la tête du gouverneur et massacrent ses adjoints. Dès son début, la Révolution est sanguinaire (contre ceux qui veulent séparer 89 et 92).
• 1793: mort, à Saint-Florent-le-Vieil, de Jacques Cathelineau, 34 ans, surnommé « le saint de l’Anjou », homme de simple condition devenu généralissime des armées vendéennes (« l ‘Armée catholique et royale », 80 000 hommes). Il avait été blessé deux semaines plus tôt en tentant de prendre Nantes, après avoir libéré Angers. Ses trois frères mourront aussi face aux Républicains.
« Les Vendéens demandent à Cathelineau de prendre la tête de l’insurrection », peinture de Jules Gabriel Hubert-Sauzeau. , 1900.
• 1789: Réunion maçonnique en l’église saint Antoine, où l’insurrection du lendemain contre la Bastille est décidée, ainsi que sa démolition.
Parmi les participants les plus actifs, figure Pierre-François Palloy, un entrepreneur qui tentait depuis plusieurs mois d’obtenir l’attribution de la démolition de la Bastille, décidée par Louis XVI. (Source)
• 1793: Charlotte Corday assassine le chef républicain Jean-Paul Marat, coresponsable de grands massacres et dont la soif de « châtiments » et de sang semblait inextinguible.
« Marat pervertissait la France. J’ai tué un homme pour en sauver cent mille, un scélérat pour sauver des innocents, une bête féroce pour donner le repos à mon pays… » dira la jeune femme de 24 ans devant le Tribunal révolutionnaire.
« Adieu mon cher papa, je vous prie de vous réjouir de mon sort. N’oubliez pas ces vers de Corneille : « Le crime fait la honte et non pas l’échafaud » » écrira-t-elle quelques heures avant d’être guillotinée le 17 juillet suivant.
Le poète André Chénier (guillotiné le 25 juillet 1794, 3 jours avant Robespierre) écrira dans son ode « A Charlotte Corday » :
« Belle, jeune, brillante, aux bourreaux amenée, Continuer la lecture de « C’était un 13 juillet… »
• 1758: au Fort Carillon (à la frontière entre les Treize Colonies britanniques et la Nouvelle-France), victoire des 3 600 hommes (dont les 400 Canadiens du Chevalier de Lévis) de Montcalm sur les 15 000 Britanniques et leurs alliés aux les ordres du major général James Abercromby. ce dernier avait levé pour cette attaque la plus grande armée jamais vue en Amérique du Nord. Après la défaite (500 morts, 1000 blessés), ses troupes se retirent vers le lac du Saint-Sacrement abandonnant armes, munitions et blessés. Les derniers assauts anglais ont été repoussés par un féroce combat à la baïonnette, au couteau et au sabre.
• 1814 : Louis XVIII annule le changement de nom des 3 000 communes renommées par les sans-culottes.
Statue de Surcouf à saint Malo
• 1827: mort, à Saint Malo, du grand marin et corsaire Robert Surcouf.
Engagé dans la marine à l’âge de treize ans, capitaine à vingt ans, il mena à partir de 1795 une guerre de course contre les Anglais, dans les mers européennes mais aussi dans l’Océan indien, et poursuivit ses exploits audacieux jusqu’à la chute de l’Empire. Il fut l’un des derniers héros de la marine à voiles.
• 1892: grand meeting boulangiste réunissant à la fois des militants socialistes (dont le gendre de Karl Marx, Paul Lafargue, et Jules Guesde) et des antisémites comme Drumont, Morès ou Guérin.