La police n’a-t-elle que ça a faire dans ce pays qui devient un coupe-gorge et où les plaintes des citoyens ne sont souvent pas enregistrées ?
Avec cette utilisation de la police par le Régime, on se croirait en URSS !
Rappel à Dieu de Jean-Claude Pérez, l’un des principaux chefs de l’OAS

Jean-Claude Pérez avait 95 ans.
Médecin diplômé en 1954, il exerça son métier d’abord à Alger dans le quartier de Bab El-Oued, puis à Paris jusqu’en 1995.
N’appartenant à aucun parti politique, mais sensible aux événements se déroulant en Algérie, il s’impliqua dès 1953 dans la défense de cette province française où il faisait bon vivre pour toutes les populations.
Alors qu’il était totalement étranger à l’attentat, il fut incarcéré quelques mois en 1957 dans le cadre de l’enquête sur l’« affaire du Bazooka » (tentative de meurtre du général Salan, vraisemblablement manigancée par les milieux gaullistes).
Il devint plus tard l’un des chefs de l’Organisation Armée Secrète.
Il fut incarcéré encore de façon épisodique dans diverses prisons algériennes et métropolitaines jusqu’en 1965, et fut condamné à mort par contumace pour son rôle au sein du commandement national de l’OAS. Il fut amnistié en 1968 en même temps que les autres résistants patriotes encore condamnés.
Sa deuxième fille, Emmanuelle, a épousé Ali Boualam, un des fils du bachagha Boualam.
► Voici l’émouvant témoignage de l’un de ses cousins :
« Mon cousin, le docteur Jean-Claude Pérez, vient de nous quitter et c’est une partie de ma jeunesse qui est partie avec lui. Pas un seul homme ne fut un aussi grand défenseur de l’Algérie Française que Jean-Claude. Est-il nécessaire de rappeler qu’il fut le « patron » des commandos « Delta » et eu sous ses ordres le lieutenant Degueldre et, bien avant, l’organisateur des « Barricades » en janvier 1960 avec Pierre Lagaillarde. J’étais alors à ses côtés.
Jean Claude était le « docteur » de Bab-el-Oued, de tout ce petit peuple qui un jour du mois de Mars 1962 s’éleva contre l’abandon de la France et fut bombardé et assiégé par l’armée française, sous les ordres de De Gaulle et du général Ailleret.
Je me souviens d’une anecdote qui m’a beaucoup marqué : une bombe avait éclaté boulevard de Provence, à l’arrêt du tram.
Continuer la lecture de « Rappel à Dieu de Jean-Claude Pérez, l’un des principaux chefs de l’OAS »
Le nouveau Premier ministre de l’Écosse est islamiste (et pro-LGBT…)
Un véritable conte de fées cosmopolite sorti d’Hollywood !

« Humza Yousaf a été élu lundi 27 mars par les membres du parti indépendantiste écossais SNP pour succéder à Nicola Sturgeon à la tête du gouvernement local et reprendre ainsi le combat pour l’autodétermination, selon les résultats officiels.
Agé de 37 ans, ce proche allié de Nicola Sturgeon, dont il était ministre de la Santé, devient chef du parti indépendantiste et doit être élu mardi Premier ministre par le Parlement local. Il devient également le premier musulman à la tête d’un important parti politique au Royaume-Uni. […] » (France TV Info)
« A 37 ans, Humza Yousaf est le premier ministre de haut rang du gouvernement écossais à ne pas être blanc et le premier à être de confession musulmane. Quand il est devenu député, il a prêté serment en anglais et urdu. Il a été responsable de plusieurs portefeuilles au sein du gouvernement, dont les transports et la justice.
En plus du combat pour l’indépendance, il a promis de continuer la politique sociale progressiste de Nicola Sturgeon, notamment concernant le mariage de couples de même sexe, l’interdiction des thérapies de conversion et la simplification de la reconnaissance des changements de genre, à laquelle s’oppose Londres. » (20 minutes)
Ce parti indépendantiste écossais devient grotesque : à quoi sert de préserver le contenant (Etat libre) s’il n’y a plus de contenu spécifique (peuple donné) ?
C’est comme nos souverainistes français, façon Asselineau ou Philippot, qui n’ont aucun souci de l’identité française. L’indépendance pour quoi faire ?
Notez au passage que ce pseudo « Écossais », musulman fervent et fier (donc islamiste selon le mot français traditionnel), n’est pas gêné par les prétentions délirantes du lobby homosexualiste ; au contraire, il les soutient.
Une leçon pour tous les naïfs qui rêvent d’un « front de la foi » [sic] face aux menées des partisans de la décadence…
On avait d’ailleurs déjà pu observer en France que les musulmans à papiers français avaient voté à plus de 90% pour Hollande en 2012, bien que ce dernier ait annoncé son projet de pseudo-mariage homosexuel. On n’en a quasiment pas vus non plus dans les manifestations de 2013 contre la loi Taubira.
C’était un 29 mars…
• 1791 : émeutes contre-révolutionnaires à Toulon.
• 1796 : mise à mort, à Nantes, du général vendéen François-Athanase baron de Charette de la Contrie.
Après avoir longuement et courageusement combattu les armées terroristes républicaines en Bretagne et en Vendée, à la tête de dizaines de milliers de contre-révolutionnaires (il était surnommé « le Roi de la Vendée »), il finit capturé dans les bois de la Chabotterie avec seulement 32 fidèles à ses côtés.
Conduit à Nantes, il est condamné à mort et fusillé ce 29 mars place Viarme. Peu avant le moment fatidique, il déclare : « Seigneur, entre tes mains je remets mon esprit. » Refusant d’avoir les yeux bandés, il commande lui-même le peloton d’exécution, après avoir lancé aux soldats : « Lorsque je fermerai les yeux, tirez droit au cœur ! »
Pour des livres sur Charette, voir ici.
• 1880 : en France, décret annonçant la dispersion des Jésuites et des congrégations non reconnues par l’Etat. C’est le début d’une nouvelle vague de lutte et de persécutions contre l’Eglise – par la République –, qui va durer plusieurs décennies.
Etats-Unis : une femme « transgenre » commet une tuerie dans une école chrétienne
Commentaire à la fin.
« Les images sont d’une rare violence. Ce lundi, trois enfants et trois adultes ont été abattus dans une école primaire de Nashville, dans le sud des Etats-Unis, un drame dont les circonstances sont peu à peu dévoilées par les autorités locales.
Ancien élève de « The Covenant School », l’individu ayant commis le bain de sang, rapidement abattu par les agents arrivés sur les lieux, a été identifié comme une personne transgenre de 28 ans, répondant au nom d’Audrey Hale, mais son profil LinkedIn semble indiquer une volonté d’utiliser des pronoms masculins.
A propos du « politiquement correct », par Guillaume Faye
« Le « politiquement correct » n’est pas fondé sur des sentiments éthiques sincères, ni sur la peur physique d’une répression, mais sur un réflexe de snobisme intellectuel et de lâcheté sociale. Il s’agit en réalité d’un politiquement chic. Les journalistes et les « penseurs » du système actuel reproduisent de manière « soft » et bourgeoise le mécanisme de soumission de l’époque stalinienne : on ne risque plus d’être envoyé en camp, mais de ne pas être invité au restaurant, de n’être plus admis chez Castel, de se faire exclure des cénacles branchés et des médias, de déplaire aux jolies femmes, etc., en émettant des idées hors-système. C’est la mésaventure qui est arrivée à Jean Baudrillard. Etre politiquement correct, ce n’est pas une question d’idées, mais d’insertion sociale. »
Guillaume Faye, L’archéofuturisme
Le ministre macroniste du Travail révèle être adepte des mœurs de Sodome
Encore un !

Au premier plan de la réforme des retraites, le ministre du Travail Olivier Dussopt a rendu public, dans un magazine homosexualiste obscène, ce qui a toujours été considéré dans notre civilisation comme un affreux vice.
« Dans une interview donnée à Têtu et parue vendredi 24 mars au soir, le ministre du Travail a indiqué avoir été la cible de «nombreuses remarques homophobes», révélant par la même occasion publiquement son homosexualité pour la première fois. […]
Au cours de cet entretien, Olivier Dussopt a également tenu à rappeler ses combats politiques des dernières années. «Mon engagement, c’est l’énergie que j’ai consacrée à défendre le mariage pour tous et la PMA pour les couples lesbiens, dès 2012», explique-t-il. Le ministre souligne aussi être «favorable à la GPA», même s’il se sait «minoritaire sur cette position au sein de la majorité présidentielle». (source)
Un vrai destructeur de civilisation, qui aura à rendre compte des malheurs de nombreux enfants que se seront offerts certains prétendus « couples ».
Cette citation est savoureuse :
« S’il considère que celle-ci «n’est ni un secret ni un sujet», l’ancien socialiste estime qu’«être homosexuel n’est jamais neutre». «Mais on a le droit de défendre des causes, de militer, de participer au débat sans faire de sa situation personnelle un élément politique en soi», s’est-il défendu. »
Quelle hypocrisie…
La France sous régime républicain est un Etat particulièrement liberticide : il y a tout un tas de causes pourtant naturelles, honorables et légitimes que les lois votées par ces politiciens interdisent de défendre clairement !
On ne peut par exemple plus parler franchement de l’homosexualité, d’un point de vue moral, religieux ou psychiatrique, comme on l’a pourtant fait pendant des siècles (et ce comportement n’a cessé d’être considéré officiellement comme une pathologie psychiatrique, en France, qu’en 1992).
Mais quand les gens de gauche (au sens large) parlent de « libertés », nous savons bien qu’ils pensent seulement à celles qui leur sont favorables.
En tout cas, avec (entre autres?) les ministres Gabriel Attal, Franck Riester, Clément Beaune, on a une belle brochette…
Sans parler de Macron lui-même qui prête le flanc aux rumeurs les plus choquantes.
C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly
Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.
Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.
Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.
A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
« dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».
Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.
Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.
Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.
Plus de détails sur ce site notamment.
Premier dimanche de la Passion – textes et commentaire
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.

« Rien n’est saisissant, dans la liturgie du Temps de la Passion, comme le contraste où l’Église nous montre le Christ, d’une part, dans sa butte à la haine croissante de ses adversaires, d’autre part, dans sa grandeur divine, maître des événements et réalisant notre rédemption.
L’évangile de ce dimanche le fait bien voir. L’épître également ; au seuil de ces grandes semaines, elle nous montre en Jésus non seulement la victime sans tache du sacrifice qui se prépare, mais aussi le grand prêtre de la nouvelle alliance ; porteur de son propre sang, il pénètre dans le ciel en Rédempteur triomphant. »
Dom G. Lefebvre
COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :
Continuer la lecture de « Premier dimanche de la Passion – textes et commentaire »
C’était un 25 mars…
• 1351 : à Ploërmel, en pleine Guerre de succession de Bretagne, un grand tournoi est organisé afin d’éviter une guerre générale : c’est le « combat des Trente ».
Face à face, trente chevaliers anglo-bretons, partisans du duc Jean de Montfort, et trente franco-bretons qui apportent leur soutien à Charles de Blois.
La victoire reviendra au parti français et Charles de Blois prendra le duché de Bretagne. Récit de la bataille en fin d’article.
• 1847 : naissance, à Nantes, du colonel Georges de Villebois-Mareuil, officier nationaliste, cofondateur de l’Action française, engagé volontaire dans l’armée bœr en 1899, et assassiné dans une embuscade par les Anglais en 1900, après avoir été trahi par son guide.
De nombreuses rues ou places en Bretagne (et l’une à Paris) portent encore son nom.
• 1914 : à Maillane, mort du poète provençal, Frédéric Mistral, auteur de Mireille, fondateur du Félibrige, prix Nobel de littérature en 1904. Son disciple et ami Charles Maurras écrit dans l’Action française :
Continuer la lecture de « C’était un 25 mars… »
Macron décore la piqueuse d’enfants et de nourrissons Buzyn, ainsi que Belloubet
Emmanuel Macron a remis ce 8 mars la Légion d’honneur à Agnès Buzyn , une des responsables du fiasco de la gestion de la crise du Covid19 en France.
L’ex-ministre de la Justice, Nicole Belloubet qui avait ordonné la libération de milliers de détenus en raison du confinement – tandis qu’une large partie de la population était cloîtrée de force –, était également du pince-fesses élyséen.
En remettant ainsi l’insigne honneur à celle qui a menti sur toute la ligne et dès le début du coronavirus, qui a interdit l’hydroxychloroquine (sauf, étrangement, pour les armées), interdit aux médecins de prescrire à bon escient et donc de soigner, et qui quelques années auparavant avait fait passer les vaccins obligatoires pour les nourrissons de 3 à 11 (dont une MST!), c’est une nouvelle provocation que signe Emmanuel Macron.
Mais rien que de très logique après tout. Les crapules s’entrefélicitent et Buzyn a bien mérité du Système.
Voir aussi, sur Buzyn :
► Gestion du Covid-19 : la Cour de cassation annule la mise en examen d’Agnès Buzyn
► L’empoisonneuse Agnès Buzyn, ancien ministre de la Santé, nommée à la Cour des comptes
► « Le diesel doit clairement disparaître aujourd’hui de nos axes routiers » affirme Agnès Buzyn
► Agnès Buzyn (ministre) : « Un père, ça peut être une femme, évidemment »
► 11 vaccins obligatoires à partir du 1er janvier, sous peine de prison
► Agnès Buzyn menace : les enfants non vaccinés ne rentreront pas à l’école
► Le ministre de la Santé Agnès Buzyn favorable à l’euthanasie et à la chasse aux trisomiques
► Agnès Buzyn démarre sa campagne pour Paris sous une photo blasphématoire
L’icône féministe Simone de Beauvoir abusait de ses élèves mineures et les rabattait sur le pervers Sartre
Pour un public averti…
Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi – et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.
Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?
C’est cela le féminisme ?
Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.
Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.
Anne Hidalgo contrainte de révéler qu’elle a dépensé près de 9000 € d’argent public en vêtements de luxe en 2017
Seulement pour l’année 2017.
L’ensemble de la mandature de cette atroce politicienne gauchiste, qui a saccagé Paris, devrait contenir de nombreuses autres surprises…
« La communication des notes de frais d’Anne Hidalgo et de celles de son cabinet a été concédée de mauvaise grâce par la mairie au terme d’une bataille judiciaire de plus de cinq ans, engagée par le journaliste Stefan de Vries. […]
Enfin le détail des notes de frais de la [sic] maire mentionne l’achat, grâce à l’enveloppe des indemnités de frais de représentation, de plusieurs vêtements de grandes marques, pour un montant de plus de 8800 euros entre janvier et septembre 2017. Le JDD en mentionne l’inventaire : «l’achat de trois robes Dior (1188, 1840 et 1440 euros), une robe Courrèges noire (720 euros), deux robes Diane Von Fürstenberg et leurs accessoires (1660 et 895 euros), ou encore des bottines venant du BHV (320 euros), des chaussures Minelli rouges (109 euros), un manteau Apostrophe bleu marine (650 euros), des pulls, pantalons et autres chemisiers. On trouve même dans cet inventaire des collants achetés au Monoprix».
«La [sic] maire de Paris incarne la France à l’étranger, argue son cabinet. Elle se doit de représenter la culture française et la haute couture, à l’instar de la première dame ou des ministres. Mais il ne s’agit pas là de robes à 10.000 euros. En plus, elle les réutilise», tient-on à préciser. » (source)
Oh ! Elle les réutilise ! Madame le maire est trop bonne ! Il faut probablement la remercier de cet usage de l’argent des contribuables ?
Le socialisme, quelle (mauvaise) farce…
C’était un 22 mars : la lettre de sainte Jeanne d’Arc aux Anglais
« Je suis ici envoyée de par Dieu, le Roi du ciel, pour vous bouter hors de toute la France »

Nous sommes en 1429, et, avant d’entamer sa campagne militaire, la jeune Lorraine écrit ces lignes puissantes et visionnaires…
Sainte Jeanne d’Arc, du haut du Ciel, sauvez à nouveau la France !
Roi d’Angleterre et vous duc de Bedford, qui vous dites régent du royaume de France, vous Guillaume de La Pole, comte de Suffolk, Jean sire de Talbot et vous Thomas sire de Scales, qui vous dites lieutenants du dit duc de Bedford, faites raison au Roi du ciel, rendez à la Pucelle qui est envoyée ici par Dieu, le Roi du ciel, les clés de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est ici venue de par Dieu pour réclamer le sang royal. Elle est toute prête à faire la paix, si vous voulez lui faire raison, en abandonnant la France et payant pour ce que vous l’avez tenue.
Continuer la lecture de « C’était un 22 mars : la lettre de sainte Jeanne d’Arc aux Anglais »