Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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C’est comme ça que ça marche

Après la trahison de De Gaulle, 20 000 familles de Harkis (musulmans pro-français) sont mises à l’abri des massacres du FLN par des officiers français, contre la volonté de leur hiérarchie.
Ces familles sont parquées dans des camps, dans des conditions indignes.

« En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des Arbres, dans le département du Gard.
Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. »

L’un d’entre eux se confie aujourd’hui à visage découvert, et nous a fait savoir l’existence de ce documentaire :

Choc des cultures en Indonésie : des punks en camp de rééducation islamique

 Une soixantaine de personnes assistant à un concert de punk ont été arrêtés samedi dernier, et mis en prison pour rééducation, dans la capitale de provinciale de Bandah Aceh, en Indonésie. Non inculpés pour un quelconque crime, mais considérés comme un danger social, ces 64 amateurs de musique punk vont suivre dix jours de rééducation, où leur cheveux doivent être rasés.

Mardi 13 décembre, le Jakarta Globe rapportait cette arrestation violente, lors d’un concert de charité donné au parc Taman Buday de Banda Aceh. Le maire adjoint de la ville, Illiza Sa’aduddin Djamal, a expliqué au média que les 64 punks étaient dangereux pour la société indonésienne car, de par leur mode de vie, ils risquent de venir perturber l’application de la Charia dans la région.
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