
Cette socialiste de toujours a osé avec un grand culot attaquer frontalement la notion d’héritage, matériel du moins.
Mais on comprend qu’il y a chez elle cette haine gauchiste de la transmission et de la famille.
Mercredi dernier, elle déclarait sur France 2 :
« Les héritages qui, comme ça, passent de génération en génération, vous savez, le truc qui vous tombe du ciel, il y a un moment où ça suffit, ça peut se poursuivre comme ça sur des générations et des générations ; donc oui, moi je pense qu’il faut en tout cas taxer davantage les héritages, mettre ce sujet en débat » […] « la circulation des richesses de génération en génération ne se fait pas bien dans notre pays et ça n’est pas sain ». [source]
Une véritable folle furieuse communiste.
Rappelons quelques faits…
Taux maximum sur les droits de succession :
• France : 45% pour les enfants, 60% en ligne non-directe
• Portugal : 10%
• Italie : 4%
• Suède : 0%
• Autriche : 0%
• Estonie : 0%
• Lettonie : 0%
• Slovaquie : 0%
• Roumanie : 0%
• Algérie : 0%
• Maroc : 0%
• Australie : 0%
• Nouvelle-Zélande : 0%
Quand Braun déclare que « la circulation des richesses de génération en génération ne se fait pas bien dans notre pays », c’est d’abord à cause de l’étatisme !
De plus, les droits de successions sont immoraux et contreproductifs, car ils portent sur des biens ou de l’argent qui ont déjà été lourdement taxé. Tout argent épargné est déjà un rescapé de l’impôt. Le Français moyen paie entre 60 et 70% d’impôts sur l’argent qu’il gagne !
Et la République s’arroge le droit de vous retaxer lorsque vous mourrez. Une taxe sur la mort.
D’autre part, personne n’est motivé par l’idée de travailler pour l’Etat. Léguer quelque chose à ses enfants est une motivation très forte pour la grande majorité des gens non-atteints de phase terminale de gauchisme. Tout léguer à l’Etat à sa mort est un tue-l-amour. Il n’y a pas meilleur moyen pour démoraliser les gens, particulièrement ceux capables de créer des richesses.
Troisièmement : les droits de succession détruisent le tissu de PME.
Les PME ne peuvent en effet être léguées aux enfants facilement. Ces derniers n’ayant pas les liquidités pour acquérir ces structures ou payer les droits de succession, les propriétaires de PME sont forcés de vendre. Ils vendront à des entreprises plus grosses ou à de gros fonds financiers. Souvent, les PME doivent même être fermées, faute de repreneur. Ces droits de succession sont une catastrophe pour notre tissu économique local. La loi Dutreil aide dans certains cas, mais cela reste très restreint.
Quatrièmement : les droits de succession ralentissent très fortement l’économie.
Les parents n’étant pas capables de léguer leurs biens à leurs enfants de leur vivant sans être surtaxés, ils gardent cet argent pour eux. C’est autant d’argent qui ne se retrouve pas dans l’économie pour l’investissement et la consommation.
Cinquièmement : le succès se construit souvent sur plusieurs générations.
Les gauchistes et certains libéraux sont obsédés par une remise à zéro des compteurs à chaque génération. Il n’y a pas plus individualiste et nombriliste comme idéologie. La plupart des grands succès se construisent sur plusieurs générations.
D’ailleurs, combien de familles se saignent pour permettre à leurs enfants de faire de bonnes études ou investir dans l’affaire de leurs enfants?
Cette vision du monde où on ne travaille que pour soi et sa propre consommation est triste, démoralisante, presque laide.
Sixièmement, les Français sont déjà le peuple le plus taxé au monde.
Ils sont devenus les serfs d’une machine bureaucratique qui, de surcroît, fait n’importe quoi de ce qu’elle leur prend (administration pléthorique, commissions douteuses sur les travaux, financement du tiers-monde, des actes pseudo-médicaux contre-nature (avortements, mutilations sexuelles pour « transgenres »…), des associations de gauche, de l’immigration de remplacement, etc.)
Source
Cette femme au prénom étranger, petite-fille d’un immigré polonais « ayant fui l’antisémitisme » dans les années 30, qui réside dans la zone bourgeoise du Vésinet (78), s’est déjà souvent illustrée par une idéologie cosmopolite délirante et mensongère :
