Ce petit immeuble n’aura pas survécu à la soirée suivant le match PSG-Inter de Milan, lors de laquelle la racaille immigrée s’est déchaînée à travers la France.
« Le patrimoine thérésien, qui est un vecteur économique d’Alençon, perd un site. » Cette phrase est signée Jean-David Desforges, historien bien connu sur la place alençonnaise. L’immeuble percuté par une voiture puis dévoré par les flammes dans la nuit de samedi à dimanche à Alençon, après la victoire du PSG, n’a pas toujours abrité un cabinet d’assurance au rez-de-chaussée et des logements à l’étage. Car avant d’être divisée en plusieurs espaces, cette maison, située 17, rue du Pont-Neuf, à Alençon (Orne), était celle de la famille Martin.
[…] C’est là que Louis Martin, le père de Sainte-Thérèse de Lisieux, avait installé sa bijouterie et son horlogerie. C’est aussi dans cette maison que tous les enfants sont nés, à l’exception de Thérèse. (source)