
Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.
Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».
Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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Le journaliste de la radio publique russe Maïak, Sergueï Aslanian, avait déclaré à l’antenne le 14 mai dernier que Mahomet n’était « pas un personnage religieux mais un homme d’affaires ».
Les autorités de Moscou ont interdit pour la septième année consécutive le défilé sodomite dans la capitale, prévue le 27 mai, estimant que ce défilé risquait de provoquer une « réaction négative » des habitants, ont indiqué vendredi les organisateurs. La société y verra une « provocation qui fait moralement du tort aux enfants et adolescents », a déclaré aux organisateurs un responsable de la mairie de Moscou, Vassili Oleïnik, selon un communiqué de l’association GayRussia. Les organisateurs ont expliqué avoir demandé l’autorisation pour un défilé d’un millier de personnes dans la rue principale de la capitale suivi d’un rassemblement sur la place de la Révolution, près du Kremlin. Les autorités ont refusé même après « notre accord pour tout autre endroit et notre promesse qu’il n’y aurait ni obscénité ni nudité », a écrit Nikolaï Alexeïev, président de GayRussia, sur sa page Twitter.

Comme magnifique pied de nez aux invertis russe, La mairie de Moscou a annoncé hier, lors de « la Journée mondiale contre l’homophobie », que la « Gay Pride » prévue le 28 mai devant les bureaux de la Commission Européenne de la capitale était annulée. Les motifs avancés sont les suivants :
La mairie de Moscou a autorisé pour la première fois une «gay pride», prévue fin mai. Jusqu’à présent les autorités russes refusaient les rassemblements revendicatifs des invertis. Nikolaï Alexeïev, président de l’association GayRussia déclare «Après cinq ans de lutte nous avons obtenu l’autorisation de la mairie d’organiser une gay pride le 28 mai».
Le 18 avril, le tribunal de Moscou a rendu sans surprise son verdict : le DPNI (« Mouvement contre l’immigration illégale », principale organisation nationaliste russe) a été déclaré « extrémiste » et, à ce titre, interdit.



