Justice, monde politique et médias complices de la haine anti-chrétienne des Femen

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Ce qui devait se produire s’est produit : à force de condamnations inexistantes ou ridicules de la part des hommes politiques et de la justice de ce pays, les Femen ont recommencé.

Après avoir simulé un enlèvement de prêtre vendredi pour protester contre la venue du pape François au Conseil de l’Europe mardi, l’une d’entre elle est montée nue sur l’autel de la cathédrale de Strasbourg aujourd’hui même. Dans la cathédrale, une Femen et de nombreux journalistes, systématiquement présents et donc au courant de ces actions profanatrices de haine anti-chrétienne évidente.

Le constat est encore une fois le même : ces pauvres filles ne sont que les idiotes utiles d’un système politico-médiatico-judiciaire profondément anti-chrétien. L’acte de cette pauvre fille est triste et blessant, mais la passivité complice des journalistes l’est plus encore devant cet acte objectivement scandaleux.

Nous aimerions vivement que les réactions des autorités religieuses soient bruyantes et fermes et pointent du doigt tous les responsables directs et indirects de cette christianophobie destructrice.

Profanation et sacrilège dans la basilique de Thonon-les-Bains

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Mardi matin, vers 7h45, un homme d’origine tunisienne muni d’une barre de fer a détruit les autels, le mobilier, les objets de cultes du XVIIème siècle et des vitraux de la basilique Saint François de Sales et de l’église Saint Hippolyte à Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.

Plusieurs heures après les faits, Jacky, le sacristain de la basilique, n’en revient toujours pas : « comment, en moins de quinze minutes, un homme peut-il faire autant de dégâts ? C’est un massacre ». Alerté par les bruits, Jacky a eu le temps de mettre un homme qui priait en sécurité dans la sacristie avant d’appeler la police.

Immédiatement interpellé par les policiers dans le presbytère, l’individu a été placé en garde à vue. « C’est un acte isolé, il souffre d’un déséquilibre mental » explique le commissaire de Thonon. « Il parlait de l’enfer et du paradis » se souvient Jacky. Le dimanche 10 août, l’évêque viendra participer à la messe de réparation puisque le curé a affirmé : « il y a eu profanation mais aussi sacrilège, les saintes espèces ayant été piétinées ».

Mardi soir, il a été interné dans un hôpital psychiatrique.Pour l’heure, ses gestes n’ont pas encore reçu d’explication même s’ils ont tous les aspects d’une crise de « démence », peut-être mystique… Selon le curé Le Tué, il s’agirait d’un « jeune musulman ».

Le maire a indiqué que la ville, propriétaire des murs de la basilique et de l’église, allait porter plainte. Il a par ailleurs rappelé que l’église Saint-Hyppolite était classée monument historique depuis 1909 et que des spécialistes d’art sacré allaient donc venir pour savoir comment restaurer les objets détruits.

Source

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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Profanation d’une statue en l’église du Sacré Cœur en Vendée


Une statue de la Sainte Vierge située à l’arrière de l’église du Sacré Cœur à La Roche-Sur-Yon, en Vendée, a été profanée dans la nuit de dimanche à lundi dernier, en début de semaine sainte.

La statue a été renversée et décapitée tandis que ses mains ont été coupées. Continuer la lecture de « Profanation d’une statue en l’église du Sacré Cœur en Vendée »

Profanations antinationalistes dans un cimetière espagnol

De notre correspondant en Espagne :

« Dans une enceinte adjointe au cimetière municipal d’Aravaca, reposaient, depuis plus de 60 ans des patriotes, religieux, monarchistes, ou phalangistes, assassinés par les forces républicaines. Parmi eux se trouvent , entre autres, Ramiro de Maetzu, l’un des intellectuels les plus éminents du début du xxème siècle, Ramiro Ledesma Ramos, fondateur du national-syndicalisme et les deux frères aînés de Ramon Serrano Suner (ancien chef de la Phalange), José et Fernando.

Dans la nuit du 22 au 23 octobre, (toujours la nuit, comme le font les rats) le cimetière de nos martyrs d’Aravaca a été profané par des vandales d’extrême gauche. Les dommages sont, a première vue, condidérables, et nous craignons qu’ils le soient plus encore que nous le pensons après une estimation réelle.
Ce n’est certes pas la première fois, et les autorités sont parfaitement conscientes que lorsqu’approche la fin du mois d’octobre, les familles viennent visiter leurs tombes
. »
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Un an de prison avec sursis pour un musulman qui avait profané une trentaine de tombes chrétiennes

Un marocain clandestin, qui avait profané le 28 janvier dernier une trentaine de tombes au cimetière du village de Biéville-Beuville (Calvados), a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Caen à seulement un an de prison avec sursis.

Le jeune homme âgé de 23 ans n’était pas présent à l’audience. En situation irrégulière, il a été gentiment reconduit au Maroc après les faits.

Il avait été interpellé par les gendarmes après avoir été aperçu par des riverains intrigués d’entendre du bruit dans le cimetière de cette commune de 2.700 habitants. Plusieurs croix et plaques avaient été cassées.

Lors de son interpellation, le jeune homme avait reconnu les faits et avait déclaré aux gendarmes avoir entendu des voix lui demandant de casser des croix.

Face aux actes anti-chrétiens, le quasi silence des gros médias est scandaleux.

Source (Merci à Pierrot)

Suite à la profanation de la tombe d’Edouard Drumont par les pouvoirs publics…

…qui avaient attaqué au burin la pierre tombale en 2006 pour en modifier l’épitaphe, une pétition avait été lancée par l’association Les amis d’Edouard Drumont. Réponse du secrétariat de la Commission Parisienne du débat public, que nous a transmise l’association :

« De: ddatccpdp@paris.fr
A: association.drumont@hotmail.fr
Date: 23 Avril 2010 
Sujet: Avis de la commission parisienne du débat public
 
Monsieur,
Pour faire suite à votre demande de pétition : « Profanation légale de la tombe d’Edouard Drumont », je vous prie de trouver ci-dessous l’avis rendu par la Commission Parisienne du Débat Public du mois d’avril 2010 :
– Contexte : En mai 2006, la Ville de Paris a modifié l’épitaphe du tombeau d’Édouard Drumont au Cimetière du Père-Lachaise, considérée comme constituant « un trouble à l’ordre public ». On pouvait y lire : «Édouard Drumont homme de Lettres auteur de l’œuvre immortelle de La France juive ».
– Avis préalable du Président de la CPDP, Monsieur PEYLET : « les motifs qui ont conduit la Ville de Paris à prendre la décision de 2006 demeurent valables pour rejeter la mise en ligne de cette pétition »
– La commission décide à l’unanimité de rejeter la pétition pour le motif suivant : « apologie d’un ouvrage incitant à la haine raciale»
Compte tenu de cet avis, nous vous informons que votre pétition n’a pu être retenue.
Cordialement.
Le secrétariat de la Commission Parisienne du débat public »

Chronique de la christianophobie – 19/04/2010

«L’athéisme en France est une religion et l’anticléricalisme une église.» E.Berl

Chers internautes,

l’actualité de la christianophobie ayant été largement relayée cette semaine (chroniques de mercredi et jeudi dernier), je vous propose de revenir sur l’un des terreaux de la christianophobie en France et dans le monde, à savoir le satanisme. Lorsqu’on évoque la christianophobie, il est important d’en identifier les différents acteurs et de comprendre leur divergence de « mobiles ».

Le satanisme, terme désignant le culte de Satan, est un phénomène particulièrement difficile à définir, de par la diversité de ses courants internes notamment. Certains le considèrent comme une religion à part entière alors que d’autres ne lui accordent que le rang de « courant religieux » et/ou « philosophique ». Vigilance mes amis, vigilance ! Ces débats autour du statut à accorder au satanisme ne doivent pas nous détourner de la funeste menace qu’il représente. Outre l’encouragement à des pratiques décadentes (homo-bi-hétéro-sexualité débridée, écoute des instincts, exploration des sept péchés capitaux), le satanisme trouve bon nombre de ses fondements dans la haine du christianisme. On identifie deux courants principaux au sein de la mouvance funèbre que constitue le satanisme.

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Exclusivité : vandalisme sur St Nicolas du Chardonnet (comme ailleurs)

2 mars 2010 – Paris (Contre-info.com) –
L’église St Nicolas du Chardonnet (Paris 5ème) a été à nouveau vandalisée, dans la soirée du 1er mars.
Autocollants et même affiche du Front de Gauche et du PC«F» ont été  collés sur la façade et le portail de l’église-phare du catholicisme traditionnel. Plus tôt dans la soirée, se tenait dans la toute proche salle de la Mutualité un meeting dudit Front de Gauche, coalition regroupant communistes et socialistes. On imagine mal les vandales faire la même chose sur une synagogue ou une mosquée.

Par ailleurs, les dégradations et profanations d’églises se multiplient toujours dans le silence assourdissant des médias et « élites » politiques.
2 sanctuaires catholiques ainsi profanés à Nantes en une semaine, l’église  de Morangis (91) vandalisée et son saint Sacrement profané le 12 février (Mgr Dubost, évêque du lieu, réagissant d’ailleurs dans un communiqué au ton excédé), etc. Quand les catholiques feront-ils entendre leur colère ?