Oui, vous avez bien lu…
La perle de la semaine vient d’une certaine Amélie Rosique, « reporter et
Chroniqueuse économie/société » sur BFM TV.
Mardi 18 novembre, un intervenant avait choisi de consacrer sa chronique dans «20 h BFM» à la montée de l’islamisme rigoriste chez les jeunes musulmans à la suite de la publication d’une étude de l’Ifop.
Sa consoeur Amélie Rosique a alors souhaité pointer du doigt « la montée des intégrismes en général » :« Aux États-Unis, c’est l’intégrisme catholique, c’est une vérité », a débuté la chroniqueuse économie-société de BFMTV avant que le premier intervenant réagisse : « Protestante ». « Dans les prisons françaises, c’est de l’intégrisme catholique, a-t-elle persisté. Il y a eu un rapport tout récemment de la montée dans les prisons françaises des détenus qui se réclament de cette mouvance extrémiste». Et de conclure : « Je crois qu’il y a une recherche de sens et de terreur qui, moi, me terrorise ».
La journaliste de BFMTV est « terrorisée » par la montée de l’intégrisme… catholique pic.twitter.com/PPPwd9zFDf
Quand on sait qui compose à 90% la population carcérale française…
Au fait, qui peut citer un attentat ou un crime motivé par le catholicisme ces dernières décennies ?!
Vraiment, le cosmopolitisme aboutit chez certains à la folie furieuse.
Ce mois-ci, des randonneurs, constatant le mauvais état d’une croix du XIXe siècle au sommet de la Place (Hautes-Alpes), à 2 500 mètres d’altitude, décident d’en installer une nouvelle.
« […] Mais la pose du calvaire n’est pas du goût de tout le monde. En quelques semaines, des premières dégradations apparaissent. « Le socle de la croix a été victime des coups de pied de biche », raconte l’un des randonneurs, désireux de garder l’anonymat. L’affaire remonte jusqu’aux oreilles du maire de Montgenèvre. Pour plusieurs élus municipaux, cette pose de croix est jugée attentatoire au principe de laïcité. Un avis partagé par l’édile. […]
La régie publicitaire de la SNCF et de la RATP (Mediatransports) a refusé l’apposition de l’affiche promotionnelle d’un film documentaire sur le Sacré-Coeur de Jésus, car jugée « trop prosélyte ».
Ce film, qui sort demain, retrace les apparitions du Christ entre 1673 et 1675 à Paray-le-Monial.
La régie – qui diffuse fréquemment des affiches indécentes ou même quasi-pornographiques – estime que cette campagne d’affichage porterait atteinte au principe de laïcité et refuse catégoriquement d’en assurer la promotion.
Parallèlement à cela, on découvre que les haut-parleurs de la station de métro Nation ont diffusé des versets du Coran :
— Une video fait POLÉMIQUE après la diffusion de VERSETS DU CORAN à la station Nation à Paris, alors que les voyageurs attendaient leur métro. pic.twitter.com/AvIxBAyHdP
« Un assassinat barbare de plus. Mercredi soir, un handicapé de 45 ans, de nationalité irakienne, a été tué à l’entrée de son immeuble, dans le IXe arrondissement de Lyon. Ce dénommé Ashur Sarnaya a été mortellement frappé au cou à l’aide d’une arme blanche alors qu’il était en plein live TikTok. Sur une vidéo glaçante, toujours disponible sur les réseaux sociaux, on le voit quelques instants après l’agression, agonisant, du sang coulant de son nez et sa bouche. Les secours l’ont découvert en arrêt cardio-respiratoire et n’ont pas été en mesure de le ranimer.
43 personnes, dont 9 enfants, ont été tuées à la machette dans une église catholique du Nord-Est de la République démocratique du Congo, dans la nuit de samedi à dimanche. Le groupe rebelle ougandais FDA (« Forces démocratiques alliées »), affilié à l’Etat islamique, en est à l’origine.
L’église de la Sainte-Famille de Gaza, attaquée le 17 juillet 2025 • L’ŒUVRE D’ORIENT
Dans la matinée du jeudi 17 juillet, l’armée israélienne a frappé l’église de la Sainte-Famille, la seule paroisse catholique latine de la bande de Gaza.
Le père Gabriel Romanelli, curé de la paroisse, est blessé, annonce le Patriarcat latin de Jérusalem. Dans l’après-midi, le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa, a confirmé la mort de trois personnes. […]
Les murs de l’église ont été endommagés. Selon le patriarche latin de Jérusalem, «un tank a directement frappé l’église». De nombreux médias parlent d’une attaque aérienne. «Les informations sont encore partielles, la communication avec Gaza n’est pas facile, surtout aujourd’hui», ajoute le cardinal Pizzaballa. (source Vaticannews)
Le Patriarcat latin de Jérusalem précise ce que vous n’entendrez pas sur Cnews :
«Les personnes qui vivent dans le complexe de la Sainte-Famille ont trouvé refuge dans l’église, espérant que les horreurs de la guerre épargneraient au moins leur vie, après avoir déjà perdu leurs maisons, leurs biens et leur dignité», note le communiqué du Patriarcat latin de Jérusalem, partagé dans l’après-midi du jeudi 17 juillet, avant d’ajouter […] : [qu’il] « condamne fermement cette tragédie et ces attaques visant des civils innocents et un lieu sacré». Cependant, ajoute la note, «cette tragédie n’est pas plus grave ni plus terrible que les nombreuses autres qui ont frappé Gaza. De nombreux autres civils innocents ont également été blessés, déplacés et tués. La mort, la souffrance et la destruction sont omniprésentes.» «Le moment est venu pour les dirigeants d’élever la voix et de faire tout ce qui est nécessaire pour mettre fin à cette tragédie qui est injustifiable sur le plan humain et moral», peut-on également lire dans le communiqué. (idem)
Ca change du fanatisme pro-israélien qu’on entend chez presque tous les médias et influenceurs de « droite » en France, fussent-ils chrétiens !
L’église Saint-Georges (Ve siècle!) à Taybeh, menacée par les flammes. (DR)
Le village de Taybeh, qui lance aujourd’hui un appel à l’aide, était déjà évoqué dans la Bible :
Depuis ce jour, ils délibérèrent sur les moyens de le faire mourir. C’est pourquoi Jésus ne se montrait plus en public parmi les Juifs ; mais il se retira dans la contrée voisine du désert, dans une ville nommée Ephrem, et il y séjourna avec ses disciples. (Ev. selon St Jean, Chap XI, v. 53-54)
L’agence Fides rapporte :
« Aujourd’hui, Ephraïm s’appelle Taybeh. Il s’agit d’un village palestinien de Cisjordanie situé à quelques kilomètres au nord-est de Jérusalem. La communauté chrétienne y est présente depuis deux mille ans. Seuls des chrétiens arabes y vivent.
Hier, mardi 8 juillet, des groupes de colons israéliens ont allumé plusieurs incendies près du cimetière municipal et de l’ancienne église Al-Khader (Saint-Georges), datant du Ve siècle, menaçant l’un des plus anciens lieux d’intérêt religieux de Palestine. C’est ce qu’ont rapporté les prêtres Daoud Khoury, Jacques-Noble Abed et Bashar Fawdeh, appartenant aux trois communautés chrétiennes de Taybeh (grecque orthodoxe, catholique latine et catholique grecque-melkite).
Dans un message commun, publié ces dernières heures et rédigé « au nom de la population de notre ville et de nos paroissiens », les trois prêtres décrivent une situation d’urgence marquée par « une série d’attaques graves et répétées contre notre ville, qui menacent sa sécurité et sa stabilité et portent atteinte à la dignité de ses habitants et à ses lieux saints ».
« Sans l’attention des habitants et l’intervention des pompiers », peut-on lire dans le texte, « une grave catastrophe aurait eu lieu. Dans un contexte marqué par des provocations quotidiennes, les colons continuent de faire paître leurs vaches sur les terres agricoles de Taybeh, au cœur des champs appartenant aux familles de la ville et même à proximité de leurs maisons, sans aucune dissuasion ni intervention de la part des autorités compétentes ».
Christianophobie ordinaire sur le service public, dans l’indifférence des animateurs.
Fabien Roussel, président du Parti Communiste dit « Français », évoque le fortuné Pierre-Edouard Stérin, qui commet le crime de vouloir « la promotion du Christ » : « cet homme est dangereux » ose ce bas du front de Roussel.
“Cet homme est dangereux“, déclare Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, à propos de Pierre-Édouard Stérin, milliardaire conservateur proche de l’extrême droite. pic.twitter.com/KisySaKPtq
Roussel parle de danger alors qu’il est lui-même le porte-drapeau de l’idéologie ayant le plus massacré !
Il ne supporte pas qu’un catholique défende ses convictions, par contre ça ne l’a jamais gêné (ni peut-être même intrigué) que tous les milliardaires jusqu’à récemment défendent (en achetant des médias notamment) la même vision cosmopolite que lui !
Ce dinosaure communiste, avec son athéisme méprisant et sa haine de la France française, est vraiment pitoyable.
Lundi, au retour du pèlerinage de Paris à Chartres, des milliers de personnes, encore dans l’enthousiasme de trois jours de chrétienté joyeuse, déambulaient dans la gare parisienne de Montparnasse pour rentrer chez eux. De nombreux d’entre eux, jeunes, chantaient, naturellement.
Les contrôleurs de la SNCF n’étaient pas vraiment d’humeur charitable ce lundi de Pentecôte, en gare de Montparnasse. Alors qu’ils entonnaient un chant chrétien à leur retour de Chartres, plusieurs pèlerins ont été rappelés à l’ordre par des agents. L’un d’eux se serait même vu infliger une amende, selon des informations de Frontières, confirmées par le JDD.
« C’était à quelques pas du quai, devant les escalators. Huit membres de la sûreté ferroviaire nous ont encerclés, et l’un d’eux a verbalisé l’un des plus jeunes pour “tapage” », rapporte l’un des pèlerins à nos confrères. Et de regretter : « Il ne chantait que Jubilate Deo ! » […] (source)
Ce zèle soigneusement dirigé est évidemment révoltant : imagine-t-on les bruyants supporters ramasser des amendes à tire-larigot les soirs de match alors qu’ils chantent à tue-tête, sans parler de manifestants divers qui répètent les slogans jusque sur les quais ?!
Et comment se fait-il qu’on ne voit jamais de racailles étrangères, qui importunent tout leur voisinage avec leur téléphone crachant à tue-tête une pseudo-musique, se faire verbaliser ?!
C’est plus facile et rentable d’aller s’en prendre au jeune Augustin (c’est son prénom)…
« Le nerf de la guerre, c’est l’argent, nous expliquait mi-mai un ancien agent de la régie parisienne. Les contrôleurs ont des objectifs de verbalisation. Et certains ne font preuve d’aucun état d’âme pour les atteindre. » Pire : certains ciblent « ceux qui sont susceptibles de payer tout de suite ». « Une personne bien habillée, qui a probablement une carte bleue sur elle », de l’aveu d’un agent sous couvert d’anonymat. […] (idem)
Il faut savoir que les contrôleurs touchent une commission sur les amendes réglées de suite.
Tout cela est minable. On attend de la SNCF des excuses, un remboursement, et un ajustement radical de sa politique pour que les vrais fauteurs de trouble soient réellement sanctionnés.
Le préfet de police franc-maçon Laurent Nunez, devant sa préfecture pavoisée selon l’idéologie LGPD
Les milliers de pèlerins qui marcheront, durant cette fin de semaine de la Pentecôte, de Chartres vers Paris (avec la FSSPX), devaient aboutir lundi sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris, pour leur messe de clôture.
Mais, à trois jours de l’événement, alors que tout était organisé de longue date, le très républicain et maçonnique préfet de police de Paris, Laurent Nunez, fait volte-face et décide de priver ces catholiques de l’usage (des abords seulement!) de la cathédrale !
Le motif ? Le risque sécuritaire…
Autrement dit, l’Etat, par son représentant, affirme ne pas pouvoir assurer la sécurité des gens dans la capitale !
Le motif invoqué est ainsi non seulement choquant (l’aveu d’une impuissance de l’Etat à assurer sa première fonction, à cause de l’immigration), mais il a aussi tout d’un prétexte fallacieux : la marche de la honte, dite Gay Pride, par exemple, ne sera pas empêchée pour cause de sécurité, alors que les islamistes ont davantage de motifs de s’y intéresser.
Il est très probable que le très antinational et totalitaire Nunez se soit plutôt fait plaisir en essayant de pourrir la vie des cathos tradis.
Rappelons-nous tout de même que cet individu est allé jusqu’à faire empêcher par la police un rassemblement de quelques personnes devant une tombe pour commémorer la mort d’un homme (le nationaliste Pierre Sidos) décédé un an plus tôt ! Avec l’argument délirant et totalitaire que des « risques de propos ou de gestes contraires aux lois de la République justifient cette interdiction ». De même qu’il interdit de simples colloques, pour cause de divergence idéologique avec lui…
Il est possible d’autre part – et une source proche nous l’a soufflé – que le très moderniste évêque de Paris, « Mgr » Ulrich (celui qui a essayé d’enlaidir Notre-Dame de Paris lors de sa rénovation, et l’a inaugurée avec des vêtements clownesques) ait demandé au préfet d’empêcher ces tradis en rupture avec les autorités officielles de l’Eglise de célébrer cette messe sur le parvis.
Il faut dire que l’évêque a interdit, peu avant, même à l’autre pèlerinage de cette fin de semaine (de Paris à Chartres) regroupant près de 20 000 personnes et en règle avec l’Eglise officielle pour sa part, de célébrer sa messe de départ dans la cathédrale !
Parce que la messe traditionnelle ressemble trop à ce qu’a connu la cathédrale pendant presque toute son existence?
Quel manque de charité de la part de ce prélat, qui abuse de son pouvoir pour opprimer ses ouailles, et pour dénaturer et salir la cathédrale millénaire !
Cette année il y a eu de nombreux baptêmes d’adultes dans l’Eglise catholique officielle, en France.
Deux militants, pardon deux journalistes du Monde – un musulman et un juif (un vrai conte de fées) – réduisent cela à un mimétisme avec l’islam et évoquent la « radicalité » :
Effectivement la jeunesse victime de la société post-soixante-huitarde a besoin de cadre et de sens, et la radicalité n’a rien de mauvais en soi : il y a bien sûr une saine radicalité, une radicalité dans le bien, dans l’amour, dans la vérité.
Mais quand les gradés du système politico-médiatique parlent de « radicalité », c’est toujours avec une connotation négative : par exemple un musulman qui, au nom d’Allah, décapite un beau matin son voisin, a été victime de « radicalisation ». Le choix du mot est donc un acte peu bienveillant de leur part.
tracts gouvernementaux assimilant radicalité et djihadisme
Cela dit, le Christ a prévenu :
« Heureux serez-vous, lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense est grande dans les cieux ; car c’est ainsi qu’ils ont persécuté les prophètes qui ont été avant vous. » (Matt 5, 11-12)
Antoine Léaument, ancien du Modem passé à l’extrême-gauche, en plus de se battre pour le titre de député le plus bête de la Ve République, semble poursuivre sa radicalisation.
Au micro de Sud Radio, jeudi 17 avril, le député de La France insoumise (LFI) est revenu sur la volonté de certains salariés de travailler le jour de la Fête du travail. S’il s’est montré « défavorable » à la poursuite de toute activité professionnelle le 1er mai, le parlementaire a émis l’idée de supprimer certains jours fériés liés à la religion. « S’il faut supprimer des jours fériés, il y en a un certain nombre d’autres qui sont associés à la religion qu’on pourrait éventuellement modifier », a-t-il déclaré. Vise-t-il ainsi Pâques, Noël ou l’Ascension ? L’élu de gauche radicale est resté vague : « Je laisse libre. »
Antoine Léaument a en revanche proposé d’instaurer un nouveau jour férié. « J’ai déposé une proposition de loi pour rajouter un jour férié le 18 mars, le point de départ de la Commune de Paris[en 1871, NDLR]. C’est une grande date de notre histoire nationale qui n’est pas assez célébrée à mon goût », assure l’élu sur Sud Radio. (source)
Ce type est cohérent avec son gauchisme radical, haineux de l’identité française, chrétienne.
Par ailleurs, il peut aussi dire des vérités, comme tout le monde :
Opposé au travail le 1er mai, Antoine Léaument a justifié sa position en prenant l’exemple du dimanche : « C’était la même chose. Petit à petit, on a déstructuré des formes de temps de pause qui existaient dans la société et où on se retrouvait en famille. » D’après lui, les Français ne peuvent désormais plus « choisir de travailler le dimanche » : « Il y a une forme d’obligation pour certains ». « Quand on laisse le capitalisme entrer par la petite porte, il met non seulement le pied, mais il entre dans le bâtiment et casse tout à l’intérieur », insiste le député insoumis. (ibidem)
Sur ce point, il se retrouve malgré lui à défendre ce qu’il reste de civilisation ; alors qu’il n’y a pas de grand parti pour défendre le dimanche face à l’appétit insatiable du capitalisme libéral et du consumérisme égoïste. Marine Le Pen, en particulier, s’était tristement illustrée sur ce point de la libéralisation du travail le dimanche, en 2007 :
« Je ne comprends pas que l’on se pose encore la question de savoir s’il faut, par des lois coercitives, empêcher les Français de travailler comme ils ont envie de le faire. En règle générale, ceux qui travaillent le dimanche, sont contents de travailler le dimanche, sinon ils ne travailleraient pas le dimanche. Je veux bien les arguments consistant à dire « la vie de famille, le dimanche… », mais je vais vous dire, la vie de famille, s’il s’agit de se regarder en chien de faïence pour se partager un poulet divisé en douze, je ne suis pas sure que se soit ça que les Français attendent. Oui, je suis pour .» (source)
Pour en revenir à la christianophobie du député Léaument, voici deux messages qu’il a posté à deux dates différentes sur le réseau X (dont un en réponse à Ciotti), et qui illustrent la bêtise du personnage autant que sa haine du catholicisme :
C’est encore un événement d’une grande gravité qui vient de se produire, dans le silence coupable des organisations dites « nationales », mais ce n’est guère étonnant de la part du RN notamment, qui se veut plus républicain que les autres.
Après avoir, dans sa logique totalitaire, quasiment interdit l’enseignement à la maison, le régime resserre l’étau autour des écoles libres (dites « hors contrat »), surtout si elles sont catholiques. Et il va parfois plus loin, en fermant brutalement certaines car elles ne fournissent pas un endoctrinement assez gauchiste aux élèves.
Ainsi, dans le département des Vosges, un arrêté préfectoral a annoncé la fermeture immédiate et définitive du collège-lycée Frassati, et le tribunal administratif de Nancy vient de confirmer cette décision ahurissante.
« L’arrêté était tombé ce 9 avril, au milieu des vacances scolaires. Sur la base de deux rapports de l’inspection académique, de juin 2024 et février 2025, la préfecture dénonçait « des carences de l’établissement relatives à la préservation de la sécurité des mineurs, aux enseignements dispensés au regard des obligations auxquelles le Code de l’éducation le soumet ainsi qu’une gestion administrative insuffisante des élèves ». Contactée par BV, l’académie de Nancy-Metz pointe, de son côté, du doigt « des constats répétés de manquements en matière de sécurité, d’hygiène et de conformité pédagogique ». « Malgré les précédentes mises en demeure, l’établissement n’a pas apporté les mesures nécessaires pour assurer un environnement éducatif conforme aux exigences réglementaires », précise l’académie. En cause, des locaux jugés sales et des enseignements lacunaires, notamment « sur certains sujets », note le représentant du rectorat lors de l’audience. » (source BV)
Mais aussi, et nous attirons l’attention du lecteur dessus :
« Il n’y a qu’une seule opinion présentée aux élèves. […] Par exemple, dans les cours qui leur sont dispensés sur la procréation, cette dernière ne s’entend qu’entre un homme et une femme mariés. »
Derrière les tracasseries réglementaires, il y a donc bien un motif idéologique. On reproche à une école catholique de ne pas promouvoir les délires contre-nature promus ces dernières années (et condamnés depuis des millénaires).
« On a essayé d’être à l’écoute du rectorat, de faire ce qu’il demandait. On a mis en place des cours d’arts plastiques, des cours de natation, puis des cours d’éducation morale et civique. On a fait 350.000 euros de travaux… Mais à chaque inspection, ça n’allait jamais », se désole ce membre du personnel, qui rappelle que « l’année dernière encore, on a eu 100 % au brevet et au bac ». Le directeur de l’établissement, qui s’est confié à Vosges Matin, dénonce également des motifs « ridicules » pour justifier la fermeture de l’école. « J’ai le sentiment qu’on pourra mettre tous les moyens du monde, cela ne changera rien. »
Un acharnement républicain et anticatholique de la part du préfet Valérie Michel-Moreaux ?
En effet ces gens veulent tout simplement qu’il n’y ait pas d’école catholique, c’est-à-dire reprenant la morale la plus élémentaire.
Le régime veut que tous les petits Français et les Autres deviennent de bons petits soldats woke.
Le « catholique » Retailleau va-t-il lever le petit doigt ?
cet extrait de la page d’accueil de la préfecture des Vosges montre un militantisme gauchiste véhément
Saisi par la Fédération ardéchoise et drômoise de la Libre pensée (haineuse association de dinosaures gauchistes et francs-maçons), le tribunal administratif de Lyon a annulé, a posteriori, la célébration de la Sainte-Geneviève du 30 novembre 2022 à Privas, au motif qu’elle « méconnaît le principe de laïcité ».
Organisée le 30 novembre 2022 à Privas, la célébration de la sainte patronne de la Gendarmerie comportait un office religieux à l’église Saint-Thomas de Privas puis d’un vin d’honneur à la salle des fêtes du Champ-de-Mars en présence des militaires du groupement, en tenue et sur leur temps de service et des autorités civiles et militaires. Bref, une Sainte-Geneviève comme il y en a depuis près d’un siècle dans toute la France.
Plus sérieux que les évêques français, les chrétiens d’Irak – d’une ville persécutée par l’Etat islamique – entendent faire pénitence pour la cérémonie gaucho-LGBT de Paris qui a outré presque toute la planète.
« Les fidèles chrétiens de Mossoul, en Irak, ont été appelés ce lundi 29 juillet à jeûner par Younan Hano, l’archevêque syriaque catholique de la ville, en réaction à la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques de Paris du 26 juillet, qualifiée d’« insulte à la religion mais aussi à l’humanité ».
« Nous n’avons rien d’autre à offrir que la prière et le jeûne pour que Dieu pardonne cette grande insulte, a affirmé à l’AFP Younan Hano. Nous avons été choqués, alors que la France est un pays de laïcité et d’humanité, un pays qui respecte toutes les nationalités et toutes les religions, qu’un tel comportement offensant envers les symboles religieux vienne de ce pays. »
À la veille de cet appel, l’Église catholique chaldéenne d’Irak a aussi fait part de son émotion dans un communiqué, mentionnant que son patriarche, le cardinal Louis Raphaël Sako, principal dirigeant chrétien d’Irak, « se tient aux côtés de l’Église de France ». « Ce qui s’est passé durant la cérémonie (…) est honteux », blessant « la foi et les sentiments (…) des chrétiens dans le monde », a-t-elle mis en avant. […] » (Source)