Cette année il y a eu de nombreux baptêmes d’adultes dans l’Eglise catholique officielle, en France.
Deux militants, pardon deux journalistes du Monde – un musulman et un juif (un vrai conte de fées) – réduisent cela à un mimétisme avec l’islam et évoquent la « radicalité » :
Effectivement la jeunesse victime de la société post-soixante-huitarde a besoin de cadre et de sens, et la radicalité n’a rien de mauvais en soi : il y a bien sûr une saine radicalité, une radicalité dans le bien, dans l’amour, dans la vérité.
Mais quand les gradés du système politico-médiatique parlent de « radicalité », c’est toujours avec une connotation négative : par exemple un musulman qui, au nom d’Allah, décapite un beau matin son voisin, a été victime de « radicalisation ». Le choix du mot est donc un acte peu bienveillant de leur part.
tracts gouvernementaux assimilant radicalité et djihadisme
Cela dit, le Christ a prévenu :
« Heureux serez-vous, lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense est grande dans les cieux ; car c’est ainsi qu’ils ont persécuté les prophètes qui ont été avant vous. » (Matt 5, 11-12)
Antoine Léaument, ancien du Modem passé à l’extrême-gauche, en plus de se battre pour le titre de député le plus bête de la Ve République, semble poursuivre sa radicalisation.
Au micro de Sud Radio, jeudi 17 avril, le député de La France insoumise (LFI) est revenu sur la volonté de certains salariés de travailler le jour de la Fête du travail. S’il s’est montré « défavorable » à la poursuite de toute activité professionnelle le 1er mai, le parlementaire a émis l’idée de supprimer certains jours fériés liés à la religion. « S’il faut supprimer des jours fériés, il y en a un certain nombre d’autres qui sont associés à la religion qu’on pourrait éventuellement modifier », a-t-il déclaré. Vise-t-il ainsi Pâques, Noël ou l’Ascension ? L’élu de gauche radicale est resté vague : « Je laisse libre. »
Antoine Léaument a en revanche proposé d’instaurer un nouveau jour férié. « J’ai déposé une proposition de loi pour rajouter un jour férié le 18 mars, le point de départ de la Commune de Paris[en 1871, NDLR]. C’est une grande date de notre histoire nationale qui n’est pas assez célébrée à mon goût », assure l’élu sur Sud Radio. (source)
Ce type est cohérent avec son gauchisme radical, haineux de l’identité française, chrétienne.
Par ailleurs, il peut aussi dire des vérités, comme tout le monde :
Opposé au travail le 1er mai, Antoine Léaument a justifié sa position en prenant l’exemple du dimanche : « C’était la même chose. Petit à petit, on a déstructuré des formes de temps de pause qui existaient dans la société et où on se retrouvait en famille. » D’après lui, les Français ne peuvent désormais plus « choisir de travailler le dimanche » : « Il y a une forme d’obligation pour certains ». « Quand on laisse le capitalisme entrer par la petite porte, il met non seulement le pied, mais il entre dans le bâtiment et casse tout à l’intérieur », insiste le député insoumis. (ibidem)
Sur ce point, il se retrouve malgré lui à défendre ce qu’il reste de civilisation ; alors qu’il n’y a pas de grand parti pour défendre le dimanche face à l’appétit insatiable du capitalisme libéral et du consumérisme égoïste. Marine Le Pen, en particulier, s’était tristement illustrée sur ce point de la libéralisation du travail le dimanche, en 2007 :
« Je ne comprends pas que l’on se pose encore la question de savoir s’il faut, par des lois coercitives, empêcher les Français de travailler comme ils ont envie de le faire. En règle générale, ceux qui travaillent le dimanche, sont contents de travailler le dimanche, sinon ils ne travailleraient pas le dimanche. Je veux bien les arguments consistant à dire « la vie de famille, le dimanche… », mais je vais vous dire, la vie de famille, s’il s’agit de se regarder en chien de faïence pour se partager un poulet divisé en douze, je ne suis pas sure que se soit ça que les Français attendent. Oui, je suis pour .» (source)
Pour en revenir à la christianophobie du député Léaument, voici deux messages qu’il a posté à deux dates différentes sur le réseau X (dont un en réponse à Ciotti), et qui illustrent la bêtise du personnage autant que sa haine du catholicisme :
C’est encore un événement d’une grande gravité qui vient de se produire, dans le silence coupable des organisations dites « nationales », mais ce n’est guère étonnant de la part du RN notamment, qui se veut plus républicain que les autres.
Après avoir, dans sa logique totalitaire, quasiment interdit l’enseignement à la maison, le régime resserre l’étau autour des écoles libres (dites « hors contrat »), surtout si elles sont catholiques. Et il va parfois plus loin, en fermant brutalement certaines car elles ne fournissent pas un endoctrinement assez gauchiste aux élèves.
Ainsi, dans le département des Vosges, un arrêté préfectoral a annoncé la fermeture immédiate et définitive du collège-lycée Frassati, et le tribunal administratif de Nancy vient de confirmer cette décision ahurissante.
« L’arrêté était tombé ce 9 avril, au milieu des vacances scolaires. Sur la base de deux rapports de l’inspection académique, de juin 2024 et février 2025, la préfecture dénonçait « des carences de l’établissement relatives à la préservation de la sécurité des mineurs, aux enseignements dispensés au regard des obligations auxquelles le Code de l’éducation le soumet ainsi qu’une gestion administrative insuffisante des élèves ». Contactée par BV, l’académie de Nancy-Metz pointe, de son côté, du doigt « des constats répétés de manquements en matière de sécurité, d’hygiène et de conformité pédagogique ». « Malgré les précédentes mises en demeure, l’établissement n’a pas apporté les mesures nécessaires pour assurer un environnement éducatif conforme aux exigences réglementaires », précise l’académie. En cause, des locaux jugés sales et des enseignements lacunaires, notamment « sur certains sujets », note le représentant du rectorat lors de l’audience. » (source BV)
Mais aussi, et nous attirons l’attention du lecteur dessus :
« Il n’y a qu’une seule opinion présentée aux élèves. […] Par exemple, dans les cours qui leur sont dispensés sur la procréation, cette dernière ne s’entend qu’entre un homme et une femme mariés. »
Derrière les tracasseries réglementaires, il y a donc bien un motif idéologique. On reproche à une école catholique de ne pas promouvoir les délires contre-nature promus ces dernières années (et condamnés depuis des millénaires).
« On a essayé d’être à l’écoute du rectorat, de faire ce qu’il demandait. On a mis en place des cours d’arts plastiques, des cours de natation, puis des cours d’éducation morale et civique. On a fait 350.000 euros de travaux… Mais à chaque inspection, ça n’allait jamais », se désole ce membre du personnel, qui rappelle que « l’année dernière encore, on a eu 100 % au brevet et au bac ». Le directeur de l’établissement, qui s’est confié à Vosges Matin, dénonce également des motifs « ridicules » pour justifier la fermeture de l’école. « J’ai le sentiment qu’on pourra mettre tous les moyens du monde, cela ne changera rien. »
Un acharnement républicain et anticatholique de la part du préfet Valérie Michel-Moreaux ?
En effet ces gens veulent tout simplement qu’il n’y ait pas d’école catholique, c’est-à-dire reprenant la morale la plus élémentaire.
Le régime veut que tous les petits Français et les Autres deviennent de bons petits soldats woke.
Le « catholique » Retailleau va-t-il lever le petit doigt ?
cet extrait de la page d’accueil de la préfecture des Vosges montre un militantisme gauchiste véhément
Saisi par la Fédération ardéchoise et drômoise de la Libre pensée (haineuse association de dinosaures gauchistes et francs-maçons), le tribunal administratif de Lyon a annulé, a posteriori, la célébration de la Sainte-Geneviève du 30 novembre 2022 à Privas, au motif qu’elle « méconnaît le principe de laïcité ».
Organisée le 30 novembre 2022 à Privas, la célébration de la sainte patronne de la Gendarmerie comportait un office religieux à l’église Saint-Thomas de Privas puis d’un vin d’honneur à la salle des fêtes du Champ-de-Mars en présence des militaires du groupement, en tenue et sur leur temps de service et des autorités civiles et militaires. Bref, une Sainte-Geneviève comme il y en a depuis près d’un siècle dans toute la France.
Plus sérieux que les évêques français, les chrétiens d’Irak – d’une ville persécutée par l’Etat islamique – entendent faire pénitence pour la cérémonie gaucho-LGBT de Paris qui a outré presque toute la planète.
« Les fidèles chrétiens de Mossoul, en Irak, ont été appelés ce lundi 29 juillet à jeûner par Younan Hano, l’archevêque syriaque catholique de la ville, en réaction à la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques de Paris du 26 juillet, qualifiée d’« insulte à la religion mais aussi à l’humanité ».
« Nous n’avons rien d’autre à offrir que la prière et le jeûne pour que Dieu pardonne cette grande insulte, a affirmé à l’AFP Younan Hano. Nous avons été choqués, alors que la France est un pays de laïcité et d’humanité, un pays qui respecte toutes les nationalités et toutes les religions, qu’un tel comportement offensant envers les symboles religieux vienne de ce pays. »
À la veille de cet appel, l’Église catholique chaldéenne d’Irak a aussi fait part de son émotion dans un communiqué, mentionnant que son patriarche, le cardinal Louis Raphaël Sako, principal dirigeant chrétien d’Irak, « se tient aux côtés de l’Église de France ». « Ce qui s’est passé durant la cérémonie (…) est honteux », blessant « la foi et les sentiments (…) des chrétiens dans le monde », a-t-elle mis en avant. […] » (Source)
Pour désamorcer la crise, certains avancent avec conviction une thèse qui disculperait d’un blasphème et d’une provocation antichrétienne :
Beaucoup tombent trop facilement dans le panneau, d’autant que devant le tollé international, certains organisateurs rétropédalent.
Pour ce qui concerne la théorie du tableau de Van Biljert, œuvre qui est infiniment moins connue que celle de Léonard de Vinci (et n’est pas particulièrement fameuse, alors que ceux qui l’exhument font mine de prendre pour des incultes ceux qui la méconnaissaient, ce qui est une technique de manipulation minable) :
– d’une part elle s’inspire elle-même du fameux tableau de Vinci sur la Cène, elle le reprend !
C’est même précisé dans le musée où est exposée cette toile.
– d’autre part le ventripotent peint en bleu symbolisant Dionysos durant la cérémonie apparaît près de trois quarts d’heure après le début de la séquence blasphématoire…
Ceux qui décidaient de cette mise en scène laide et répugnante (avec des travestis se frottant à des enfants en arrière-plan) savaient très bien comment serait interprété leur tableau.
A travers le monde, de très nombreux chrétiens et même non-chrétiens compatissants ont exprimé leur indignation devant cette parodie antichrétienne. Même Mélenchon a déploré, avec une sincérité que nous ne connaîtrons qu’au Jugement dernier, cette attaque.
Même la lamentable et très mollassonne Conférence des Evêques de France a réagi, c’est dire !
La gauche la plus tarée, elle, se réjouit ouvertement, comme le « philosophe » médiatique Raphael Enthoven, qui parle de « Cène enwokée » :
D’autre part, tous les gros médias (le Monde, le Figaro, etc.) ont évoqué la Cène, en parlant de cette séquence.
France Télévision, le diffuseur de la cérémonie, se pâmait, en parlant de « mise en Cène » :
Quand absolument tout le monde comprend la même chose, c’est que le message est clair.
D’autre part, des intervenants directs ont eux-mêmes présentés leur ignoble prestation comme une représentation de la Cène !
Un travesti qui avait un rôle de premier plan et particulièrement indécent assumait au micro de BFMTV :
L’activiste subversive Barbara Butch a repris fièrement sur sa page Instagram un message (le supprimant plus tard) assumant la moquerie :
Elle avait repris un autre message, plus blasphématoire encore, que nous ne retranscrirons pas.
Damien Gabriac, l’un des organisateurs de la cérémonie d’ouverture des JO, confirme la question de France Inter qui lui parle de « la Cène » :
Damien Gabriac sur le tableau de la « Cène » : « Y avait tout ce qu’est la France : tout le monde ensemble, des petits, des grands, des gros, des maigres, des noirs, des blancs, des arabes, tous ensemble sur des danses de leurs cultures… » #le69inter#ceremoniedouverturepic.twitter.com/QTzCd9SedZ
Bref tout le monde a compris ce qu’il y avait à comprendre ; les tentatives de diversion relèvent de la mauvaise foi, et le rétropédalage de certains organisateurs, devant le tollé qu’ils ont suscité, ne fait qu’ajouter à leurs graves méfaits la lâcheté et le mensonge.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a mis en œuvre de très importants moyens techniques et a duré quatre heures…
On pouvait s’attendre à du mauvais goût et quelques provocations, mais les organisateurs y sont allés fort, avec plusieurs séquences brutalement wokistes (c’est-à-dire gauchistes), obscènes, perverses ou carrément blasphématoires…
En termes politiques, le mélenchonisme et le macronisme qui dominent les sphères médiatique, politique et culturelle, sont pleinement satisfaits.
Il faut garder en tête que cette cérémonie a été vue par environ un milliard de téléspectateurs… Ils considèreront logiquement la France comme un pays d’homosexuels, de pervers et de blasphémateurs antichrétiens.
Signalons en vrac :
▬ un clip débile montrant la formation d’un couple futile (interracial évidement), qui devient rapidement un trio libertin avec le renfort d’un type maquillé de façon très malsaine. Baisers sur la bouche et regards libidineux. Nous ne mettrons pas d’illustration… Cette scène et d’autres ont d’ailleurs été coupées lors de la diffusion dans certains pays moins dégénérés.
Evidemment le métissage est promu et généralisé.
▬ une diva chantant « les aristocrates on les pendra », déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée, en un tableau effrayant (combien d’enfants traumatisés à travers le monde?) :
le bon goût et les méthodes républicaines exposés fièrement à un milliard de spectateurs…
Si l’idée était de faire de la cérémonie un hommage à la République française, qui s’est illustrée dans la barbarie autant que Daesch, c’est en effet réussi.
▬ des personnages à l’allure horriblement contre-nature s’exposant avec obscénité :
Il faut vraiment être malade pour s’afficher ainsi, ou pour organiser, ou apprécier, ce genre de spectacle.
▬ la chanteuse africaine Aya Nakamura déclamant ses paroles obscènes (heureusement incompréhensibles par 99% des gens) en se touchant ostensiblement l’entrejambe. A ce propos :
« Le spectacle poussif (play-back raté) d’Aya Nakamura, chanteuse présentée peut-être rapidement comme francophone, a été l’occasion d’une forte démonstration d’hostilité gauchiste. En effet, en plus d’un ridicule et d’un mauvais goût souvent communs au reste de la cérémonie, la prestation de cette vedette qui piétine et massacre la langue française a été placée par les organisateurs devant le bâtiment de l’Académie française, comme un doigt d’honneur aux amis du français et plus généralement aux « conservateurs » (les gens sains d’esprit). De plus, on a contraint la fanfare de la Garde républicaine à se mêler maladroitement aux gesticulations d’épileptiques des danseuses africaines, à joindre sa musique à ce bruit. Ce groupe d’hommes blancs en uniforme (l’ordre) incarne symboliquement l’ennemi du moment. Il convenait de l’humilier. » (source)
▬ Une atroce scène de parodie du célèbre tableau de Léonard de Vinci représentant la Cène du Christ, entouré de ses apôtres :
Ici, on a eu droit à des drag-queens (hommes travestis caricaturalement en femmes et prenant des postures provocantes), à la place de Jésus et ses disciples :
Les gens qui ont fait cela le regretteront amèrement au jour du jugement.
Ils ont par ailleurs blessé de très nombreux croyants à travers le monde.
Mais il ne faudra pas compter sur la Conférence des évêques de France, serpillère du pouvoir mondialiste, pour réagir virilement. Elle préfère ouvrir sa bouche pour dénoncer les patriotes lors des élections.
Après un long moment, lors de cette ignoble scène, un chanteur ventripotent vaguement connu (Philippe Katerine) s’est exposé quasiment nu et couvert de bleu. Il représentait Dyonisos, dieu grec, patron des amateurs d’orgies. On comprend que Macron et les siens le préfèrent au Christ, mais il ne symbolise pas encore vraiment la France, non ?
D’autres divinités païennes étaient représentées, telle Sequana, la déesse antique de la Seine.
Notez en arrière-plan les travestis et femmes à barbe qui se collent à des enfants !
Par prudence légale, nous ne dirons pas à quoi tout cela nous fait penser, mais vous en êtes sûrement arrivés aux mêmes conclusions.
Le régime de Paris poursuit sa course en avant totalitaire…
« Alors que le ministre de l’Éducation a été mis en cause dans l’affaire Lindsay par les parents de la défunte adolescente de 13 ans, qui accusent aussi l’établissement et l’académie de Lille de non-assistance à personne en danger, on apprend que ces dernières semaines, des inspections massives, façon « commando », ont été diligentées… dans des écoles catholiques hors contrat.
Les dinosaures maçonniques antichrétiens de « la Libre pensée » ont obtenu une mesquine victoire auprès de la justice.
Quoiqu’en dise, la guerre religieuse menée par les laïcards depuis plus de deux cents ans contre le christianisme (avec des pauses selon les régimes) n’est pas terminée.
« La cour administrative d’appel de Bordeaux a ordonné à la commune de La Flotte-en-Ré, sur l’Île de Ré, le déplacement hors du domaine public d’une statue de la Vierge située au milieu d’un carrefour, en vertu de la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, a appris l’AFP vendredi 13 janvier.
Confirmant une première décision du tribunal administratif de Poitiers, en mars dernier, elle a par ailleurs enjoint cette commune de Charente-Maritime de 2800 habitants de «procéder à son enlèvement dans un délai de six mois», dans un communiqué de presse.
On traîne devant les tribunaux des Français parce qu’ils ont un mot désagréable envers l’invasion de leur pays, on met même en prison des historiens dissidents. En revanche, les provocations blasphématoires les plus ignobles, les plus ouvertement démoniaques dans les lieux de culte catholique : pas de problème.
de Sabine de Villeroché :
« Plus grave qu’un nouveau coup de canif à la souveraineté française, la décision du 13 octobre de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’homme) est le signe évident de l’impunité des mouvements activistes comme le groupe Femen à condition qu’ils s’attaquent à la religion chrétienne.
Rappel des faits : en 2013, Héloïse Bouton, alors membre des Femen, « performe » à l’église de la Madeleine à Paris. Une mise en scène ignoble et blasphématoire. Seins nus, la jeune femme voilée de bleu pour imiter la Vierge Marie mime un avortement en expulsant un morceau de viande censé représenter l’enfant Jésus. Sur son dos était inscrit : « Christmas is cancelled » (Noël est annulé). Poursuivie par la justice française pour « exhibition sexuelle », elle sera très légèrement condamnée à un mois de prison avec sursis et 2.000 euros d’amende. Un jugement désavoué à l’unanimité par la CEDH qui vient de sanctionner l’Etat français. La France est condamnée à régler à Héloïse Bouton 9.800 euros et 2.000 euros (préjudice moral). Nos juges, en prononçant une peine « pas nécessaire dans une société démocratique« , ont, selon la Cour, violé le droit à la liberté d’expression de la militante (article 10 de la Convention européenne des droits de l’Homme).
La chapelle Saint-Joseph de Saint-Pol-de-Léon, dans le Finistère, a été saccagée à coups de hache alors qu’elle venait d’être restaurée par les Ouvriers de Saint Joseph.
La haine républicaine contre la religion catholique porte toujours ses fruits.
« La municipalité vient d’adresser aux commerçants participant à Strasbourg Capitale de Noël la liste des produits interdits et autorisés pour l’édition 2022. Et la colère gronde déjà sur les réseaux sociaux, internautes et marchands déplorant le caractère arbitraire et/ou absurde des « nouveautés ». » (DNA)
Il serait légitime qu’on maintienne dans une certaine mesure, par la règlementation, au marché de Noël de Strasbourg son caractère alsacien par les produits présentés, par leur lieu de fabrication, par l’ethnie de ses vendeurs.
Mais la gauche au pouvoir (et les escrologistes d’Europe Ecologie les Verts sont les plus tarés) font ça à leur façon…
On découvre que bizarrement certains produits sont interdits, le plus incroyable étant (« sous réserves ») … le crucifix !!
Oui, vous avez bien lu, au marché de Noël (en alsacien Christkindelsmärik : « marché de l’enfant Jésus »), la Croix du Christ serait de trop.
Difficile d’afficher plus clairement son antichristianisme…
Secondairement, si le champagne, les serre-têtes (trop classique ?), « bottes de Noël » et articles de Noël pour animaux sont franchement interdits, les loukoums et samoussas par exemple sont autorisés !!
« Alors qu’il attendait à une station-service de se fournir en carburant, notre ami le très dévoué père Jean-Paul Argouarc’h a été d’abord l’objet, en raison de son habit, de graves injures racistes, proférées par un individu de type maghrébin hurlant sa fierté d’être un fils de fellagha.
Après quoi, ce forcené s’en est pris physiquement au père, lui portant notamment un très violent coup de poing au bras gauche.
Après cela, le père Argouarc’h a fait l’objet d’un constat médical et a déposé plainte dans le commissariat de police le plus proche.
Naturellement l’AGRIF, saisie par le père en la personne de son avocat, se constitue partie civile pour que la plainte aboutisse. »
Voilà où nous en sommes, en France envahie : les Français se font attaquer parce qu’ils sont français, les prêtres attaqués par qu’ils sont prêtres…
Jusqu’à quand le peuple français va-t-il tolérer cela ?!
Les vieux francs-maçons haineux de la « Libre Pensée » ont obtenu à nouveau gain de cause auprès de leurs compères de la cour administrative d’appel, qui fait feu de tout bois pour lutter contre cette statue, défendue (honorablement, il faut le dire) par la mairie.
Très mauvaise idée pour eux que de s’en prendre à saint Michel…
« La cour administrative d’appel de Nantes a confirmé, ce vendredi 16 septembre 2022, le jugement qui avait ordonné en décembre 2021 à la ville des Sables-d’Olonne de démonter la statue de Saint-Michel qu’elle avait fait installer sur le parvis de l’église éponyme suite à la destruction de l’école Saint-Elme (ex-Saint-Michel).
[…] toute statue représentant l’archange « fait partie de l’iconographie chrétienne » et « de ce fait présente un caractère religieux ».
La ville des Sables d’Olonne ne niait pas ce point mais considérait que sa statue pouvait « revêtir une pluralité de significations » : en l’occurrence, ici, il fallait la voir comme « un emblème du quartier » et « le saint patron des parachutistes ».
Mais la bénédiction de la statue sablaise « par un prêtre catholique » le jour de son installation le 6 octobre 2018 a bien « le sens spirituel d’une invocation de Dieu par un représentant du clergé », objecte la cour administrative d’appel de Nantes.
« La circonstance que cette bénédiction ait été demandée par l’association des parachutistes et non par la commune ne change rien à cette signification », soulignent les juges. « Un article du 10 octobre 2018 du Journal des Sables, produit par [la commune] elle-même, mentionne ainsi qu’après l’allocution du maire « la bénédiction a permis de rappeler qui était l’Archange, saint patron du catholicisme ». »
La cour administrative d’appel de Nantes juge aussi que le parvis de l’église où est implanté la statue ne peut pas être assimilé à une « dépendance de l’édifice du culte » qui lui aurait permis d’échapper à la loi de séparation des Eglises et de l’Etat. « Même si les fidèles sortant de l’église à l’occasion des cérémonies (…) convergent vers la place (…), celle-ci ne saurait être regardée comme constituant par elle-même un édifice servant au culte », explique-t-elle dans son arrêt.
[…] Lors de l’audience, l’avocat de la Fédération nationale des associations parachutistes (FNAPARA) avait pourtant rappelé que l’association était « extrêmement attachée à la figure de Saint-Michel ». L’archange a été désigné comme le saint patron des parachutistes « à l’initiative des hommes de troupe et non de l’Eglise catholique » après la Seconde Guerre mondiale, avait-il souligné. « C’est quelque chose qui est extrêmement vif et tenace chez les parachutistes, quelle que soit leur religion : ce personnage ailé venant du ciel présente une vraie analogie avec leur métier ».
La ville des Sables-d’Olonne devra au final payer 1 500 € de frais de justice à la Fédération de Vendée de la Libre Pensée, l’association de défenseurs de la laïcité à l’origine de la procédure et qui « récuse toute intervention des religions dans les affaires publiques » au nom de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat de 1905. La loi française interdit en effet aux communes d’installer des « emblèmes religieux » sur l’espace public au nom de la liberté de conscience, hormis dans les cimetières et sur les « dépendances » des édifices religieux. […] » (source)
Hormis ceux qui sont réellement civilisés par le christianisme, les Nigérians sont particulièrement [autocensuré]. Voir à Marseille par exemple : même les immigrés ayant déjà colonisé la ville ces dernières décennies sont traumatisés.
Ils vont contribuer eux aussi à « enrichir » la France, selon le credo des immigrationnistes.
de Marc Baudriller :
« Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigéria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables. A l’heure où nous écrivons, le nombre exact des victimes de ce massacre perpétré le jour de la Pentecôte reste inconnu. Plusieurs dizaines de Nigérians chrétiens, dont de nombreux enfants, auraient péri, selon plusieurs sources. Le Monde fait état de 21 morts. L’AFP évoque sur Twitter un « nombre indéterminé de personnes (…) tuées par des hommes armés dans une église catholique au Nigéria durant la messe de la Pentecôte ».