• 1086: le roi du Danemark Canut II le saint (« Knut II ») est assassiné par des rebelles, dans une église. Devenu roi en 1080, soutenant activement l’Eglise et prétendant au trône d’Angleterre, il s’était rendu impopulaire en procédant à une levée d’homme pour une nouvelle expédition vers ce pays, et en essayant de mettre en place la dîme en faveur de l’Eglise. Il sera canonisé et proclamé saint patron du Danemark.
• 1547: lors d’un duel, le champion du roi Henri II est tué à la grande surprise du monarque et de l’assistance, par un adversaire moins réputé à tous points de vue, mais qui triompha grâce à un coup habile, du revers de l’épée : le baron de Jarnac. Naquit ici l’expression « coup de Jarnac ». Le roi n’autorisa ensuite plus les duels.
• 1851: mort, à Bry-sur-Marne, de Louis-Jacques Daguerre, Français inventeur du premier système photographique « grand public » (le daguerréotype) en 1839.
• 1899: parution du premier numéro d’une petite revue grise, le Bulletin d’Action française, sous la direction d’Henri Vaugeois. Sous l’influence de Charles Maurras, elle deviendra monarchiste, un mouvement politique s’y accolera et elle se transformera en quotidien en 1908.
Fabien Gay est un sénateur, et le « rapporteur de la commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises et à leurs sous-traitants ».
C’est plus précisément un militant communiste, c’est-à-dire quelqu’un de très à l’aise avec le mensonge et, de nos jours, un bas-du-front.
Il vient de s’illustrer en déclarant, en tant que rapporteur, que l’Etat avait versé 211 milliards d’euros d’aide aux entreprises en 2023.
Peut-être essaye-t-il de faire diversion alors que les Français sont toujours plus nombreux à prendre conscience du caractère spoliateur du régime actuel, du niveau délirant – et confiscatoire – de sa fiscalité ?
En effet, on entend de plus en plus de Français s’étonner, ou s’indigner, du montant infernal des taxes et impôts (souvent camouflés, comme avec les PV en tout genre par exemple).
Le propos du militant rouge est repris avec gourmandise par les médias (voir le bandeau de BFM par exemple) :
« Un des premiers budgets de l’État »
L’État a versé 211 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises
en 2023, selon la commission d’enquête sénatoriale #BFM2pic.twitter.com/wXuDb8g9oG
Or il s’agit d’un gros bobard, d’une honteuse manipulation.
En effet, quand on se penche sur les chiffres « d’aides publiques aux entreprises » pour 2023 (dans le rapport lui-même) :
→ 110 milliards sont des réductions d’impôts ou de charges sociales, donc de l’argent qui n’est pas pris aux entreprises : c’est très différent d’une somme qui aurait été versée (donc prise aux Français pour être donnée) aux entreprises.
Leur logique : « quand on te vole moins d’argent c’est une subvention ! »
Précisons, pour voir le niveau de cette supercherie, que sur les 110 milliards de « dépenses fiscales », le rapport comptabilise entre 45 et 50 milliards de manque à gagner sur la TVA à taux réduit (restauration, culture, travaux dans le logement etc.) !
→ 31 milliards sont des prêts remboursables (essentiellement du PGE) et des garanties publiques.
→ 40 milliards sont effectivement des subventions directes aux entreprises. Mais dont une grande partie (entre 70 et 80%) aux entreprises appartenant à l’Etat (SNCF, RATP, EDF, etc.) !
L’arrêt du dépouillement des Français par un Etat aussi obèse que ce Gay est une urgence morale et économique !
• 117: mort de l’empereur Trajan, au cours d’une campagne en Cilicie, à l’âge de 63 ans. Il avait été un grand bâtisseur et administrateur, et avait vaincu les Parthes deux ans plus tôt. Il fut persécuteur des chrétiens.
monnaie à l’effigie d’Avitus
• 455: ancien préfet du prétoire des Gaules et généralissime romain, Avitus, noble arverne et successeur d’Aetius, est proclamé empereur romain d’Occident, à Arles, par les Wisigoths et les sénateurs gaulois. Il reçoit la torque gauloise. Il inaugurera à Rome son premier consulat le 1er janvier 456, mais en raison de ses origines gauloises, il ne sera pas réellement reconnu comme empereur par les Romains d’Italie et, après l’échec de sa campagne contre les Vandales et le blocus de Rome, sa situation devint délicate. Les difficultés financières l’amenèrent à renvoyer ses gardes du corps goths. Il fut assassiné à l’automne suivant.
• 1572: aux Pays-Bas, les « martyrs de Gorcum » (19 personnes, presque toutes des religieux) sont torturés et pendus en haine de la foi catholique, par des révoltés protestants.
• 1797: mort de l’écrivain et homme politique anglais Edmund Burke, dont le livre Réflexions sur la Révolution françaiseeut une grande importance (et influença Maistre et Bonald) et fit de lui un précurseur de la contre-révolution. Ce texte puissant avait été rédigé très tôt, en 1790, dans le feu de l’action. En décalage avec l’opinion des libéraux anglais (dont il est) qui voit d’un bon œil les débuts de cette révolution, il en analyse et dénonce la violence :
« On a vu les Français s’insurger contre un monarque débonnaire et légitime avec plus de fureur dans l’action et plus de brutalité dans l’outrage qu’aucun peuple en rébellion n’en n’a jamais manifesté contre l’usurpateur le plus indigne ou le tyran le plus sanguinaire. »
Burke voit dans la composition de l’Assemblée nationale, où les « hommes de théorie » sont majoritaires, l’origine de ce déferlement de violence, qui renvoie à la boulimie de discours abstraits qui se succèdent à la tribune de l’Assemblée. Ce n’est pas le débat qui l’offusque, mais le fait que les discussions de salons de la deuxième moitié du XVIIIe siècle se retrouvent dans les travées de l’Assemblée, ô combien plus chargées de conséquences. Par cette analyse, Burke annonce les leçons d’Augustin Cochin sur le rôle des sociétés de pensée [livre ici] comme matrices de la pensée révolutionnaire. (F. Huguenin)
• 1755: mort de Daniel Hyacinthe Liénard de Beaujeu, héros canadien-français méconnu.
Né à Montréal en 1711, père de neuf enfants, il fut officier durant la guerre de Sept Ans, commandant de Fort Niagara.
Il organisa l’attaque préventive des troupes du général anglais Braddock alors que celles-ci traversent la rivière Monongahela afin d’assiéger Fort Duquesne en Nouvelle-France.
Conduisant une petite force (700 hommes) composée de soldats réguliers, de miliciens et d’une majorité d’Indiens, il parvint à défaire les troupes britanniques (2000 hommes).
Bien que tué dès le début de l’affrontement, il resta célèbre pour avoir utilisé des coutumes indiennes, tel que le port de peintures de guerre, pendant l’embuscade.
Il fut enterré sous les murs de Fort Duquesne (aujourd’hui Pittsburgh).
• 1860: début du « massacre de Damas », qui durera jusqu’au 18, et durant lequel entre 10 000 et 20 000 chrétiens seront massacrés au Liban par les Druzes (dont 4000 à 6000 à Damas seule).
• 1918: le maréchal Foch consacre au Sacré-Coeur toutes les armées alliées, dont il avait le commandement en chef depuis le 26 mars, en présence de ses officiers.
Ce député, bien qu’appartenant à la fausse droite européiste LR, s’était signalé en 2021 en dénonçant le « scandale Alsthom » (le ministre Macron vendant aux Américains une branche stratégique de ce géant et fleuron industriel français), avec un livre, les liquidateurs.
« Son corps était «inanimé, pendu par une corde attachée à une poutre, dans une chambre à l’étage de la maison d’habitation », a précisé le parquet de Chartres en fin de soirée dans un communiqué. «Des perquisitions du domicile et du véhicule» du parlementaire ont alors été «réalisées», dans le cadre d’une «enquête en recherches sur les causes de la mort».
Selon les premiers éléments de l’enquête, il n’aurait laissé aucun écrit. Une enquête a été ouverte afin de déterminer ce qui l’a conduit à passer à l’acte.
Le ministère public a par ailleurs annoncé qu’«un téléphone et des ordinateurs, saisis, vont être rapidement analysés afin de pouvoir retracer les dernières conversations ou échanges» d’Olivier Marleix, et «comprendre le ou les motifs de ce passage à l’acte dramatique.»
À ce stade, et au vu des «premières investigations et constatations médico-légales», «il peut être exclu l’intervention d’un tiers dans la survenance de la mort du député LR, la piste du suicide étant par conséquent privilégiée», a ajouté le parquet, qui laisse toutefois «l’autopsie du corps» prévue mercredi matin à l’IML (Institut médico-légal) de Rouen «confirmer» cette «conclusion provisoire». […] (source)
• 1115: mort de Pierre l’Ermite. D’une famille noble et ayant porté les armes dans sa jeunesse, il renonça au monde pour se faire ermite, et partit en pèlerinage à Jérusalem. Il trouva les lieux saints dans un état si déplorable, qu’il en parla à son retour au pape Urbain II qui, touché de son récit, le charger d’aller de province en province pour exciter les peuples à aller délivrer les chrétiens de Palestine de la dure oppression qu’ils subissaient. Ses exhortations eurent tant de succès qu’elles donnèrent naissance à la Première croisade, conduite par Godefroi de Bouillon, dont il commanda une partie de l’expédition et dont il fut comme comme l’âme. Il quitta l’Orient au début du XIIe siècle et fonda l’abbaye de Neumoutier, en Flandre.
• 1758: au Fort Carillon (à la frontière entre les Treize Colonies britanniques et la Nouvelle-France), victoire des 3 600 hommes (dont les 400 Canadiens du Chevalier de Lévis) de Montcalm sur les 15 000 Britanniques et leurs alliés aux les ordres du major général James Abercromby.
Ce dernier avait levé pour cette attaque la plus grande armée jamais vue en Amérique du Nord.
Après la défaite (500 morts, 1000 blessés), ses troupes se retirent vers le lac du Saint-Sacrement abandonnant armes, munitions et blessés. Les derniers assauts anglais ont été repoussés par un féroce combat à la baïonnette, au couteau et au sabre.
• 1814 : Louis XVIII annule le changement de nom des 3 000 communes renommées par les sans-culottes.
Statue de Surcouf à saint Malo
• 1827: mort, à Saint Malo, du grand marin et corsaire Robert Surcouf.
Engagé dans la marine à l’âge de treize ans, capitaine à vingt ans, il mena à partir de 1795 une guerre de course contre les Anglais, dans les mers européennes mais aussi dans l’Océan indien, et poursuivit ses exploits audacieux jusqu’à la chute de l’Empire. Il fut l’un des derniers héros de la marine à voiles.
• 1892: grand meeting boulangiste réunissant à la fois des militants socialistes (dont le gendre de Karl Marx, Paul Lafargue, et Jules Guesde) et des antisémites comme Drumont, Morès ou Guérin.
• 1438: dans la situation incertaine issue du schisme d’Occident, le roi de France Charles VII, lassé, signe la « pragmatique sanction » de Bourges, par laquelle il décrète la liberté de l’Eglise de France vis-à-vis de Rome : c’est le premier pas du gallicanisme.
• 1456: sentence des juges, nommés par le pape Calixte III, de nullité du procès, et de la condamnation de Jeanne d’Arc en 1431. Ils ordonnent qu’une croix soit plantée sur le lieu d’exécution de l’héroïne, place du Vieux-Marché à Rouen. L’évêque Cauchon sera excommunié.
• 1794: durant la Terreur, première des trois fournées de suspects à la prison du Luxembourg. 68 victimes, dont l’abbé J.B.A de Salignac Fénelon, fondateur de l’œuvre des petits Savoyards, orphelins-ramoneurs qui accompagnèrent leur bienfaiteur jusqu’au pied de la guillotine. Continuer la lecture de « C’était un… 7 juillet : »
Ce chantre des « valeurs républicaines », auteur de divers ouvrages consacrés à la FM dont il fut un militant zélé, homme influent, n’a pas survécu à ce qui est appelé désormais une « soirée chemsex » ( « chemical sex », rapports sexuels sous drogue).
Quelle fin de parcours…
« Il était une figure des francs-maçons. Laurent Kupferman, engagé au sein du Grand Orient de France, a été retrouvé mort mercredi 2 juillet en fin de matinée dans un logement de Fontainebleau, en Seine-et-Marne, a appris Le Figaro de source policière confirmant une information du Parisien . Selon les premiers éléments de l’enquête, l’essayiste et chroniqueur de 59 ans avait échangé avec deux hommes, de 39 et 58 ans, sur un site de rencontre avant de les rejoindre, vers 2h40, rue de la Paroisse.
Ensemble, ils auraient consommé du GHB et de la 3MMC, des drogues de synthèses, précise notre source. Quelques heures plus tard, vers 8h00, les deux connaissances de Laurent Kupferman ont retrouvé l’écrivain inanimé. Ils ont prévenu les secours et ont effectué un massage cardiaque sur la victime qui a finalement été déclarée morte en fin de matinée. Une enquête pour «homicide involontaire» a été ouverte et les deux hommes ont été placés en garde à vue. […] » [source]
Son compère Yonnel Ghernaouti lui a rendu hommage sur le site maçonnique 450.fm :
« Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » – R.D –
C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que De Gaulle prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec leur commentaire.
David contre Goliath. Cet épisode, comme tout l’Ancien Testament, préfigure le Nouveau.
La confiance en Dieu au milieu des luttes et des souffrances de cette vie, est la pensée qui domine toute la liturgie de ce jour. Elle ressort de la lecture de l’histoire de David dans le Bréviaire ainsi que d’un épisode de la vie de saint Pierre dont la fête est proche, car ce sont ces deux éléments très divers qui ont inspiré le choix des différentes pièces de la messe. […]
Dans la barque de Pierre que secouent les flots agités et les tempêtes de ce monde, mettons toute notre confiance en Jésus. Il nous sauvera par son Eglise des attaques du « fort armé », le démon, comme il sauva par David l’armée d’Israël que défiait le géant Goliath.
L’Église a commencé au lendemain de la Sainte-Trinité, dans l’Office de la nuit, la lecture des livres des Rois ; elle est entrée cette nuit même dans l’admirable récit du triomphe de David sur Goliath, le géant Philistin. Or quel est pour l’Église le vrai David, sinon le chef divin qui mène depuis dix-huit cents ans l’armée des saints à la victoire ? N’est-elle pas elle-même en toute vérité la fille du roi promise au vainqueur de ce combat singulier du Christ et de Satan qui, au Calvaire, sauva le véritable Israël et vengea l’injure faite au Dieu des armées ? Toute pénétrée encore des sentiments que cet épisode de l’histoire sacrée a ranimés en son cœur d’Épouse, elle emprunte dans l’Introït les paroles de David pour chanter les hauts faits de l’Époux, et proclamer la confiance dans laquelle son triomphe l’a établie pour jamais.
Introït: (Ps. 26, 1 et 2.) Le Seigneur est ma lumière et mon salut, qui craindrai-je ? Le Seigneur est le défenseur de ma vie, de quoi tremblerai-je ? Mes ennemis qui me suscitent des maux, ce sont eux qui se sont affaiblis et sont tombés.
(Ps. ibid., 3.) Si des armées rangées en bataille s’élèvent contre moi : mon cœur n’aura pas de frayeur.
V/. Glória Patri.
ALERTE INFO | Pour la première fois, des forces de l’ordre françaises ont crevé en mer des embarcations de migrants près de Boulogne. Une méthode soutenue par Londres, qui pousse Paris à intervenir jusqu’à 300 mètres des côtes. (The Telegraph/BBC) pic.twitter.com/r7fg6vW7t9
Européens raflés, avant leur mise à mortDans quelques instants, ce gamin au regard éperdu sera assassiné avec de nombreux autres, parce qu’il est français. Fusillé ou égorgé…
Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.
« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait. On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »
Bilan : 3 000 morts et disparus.
Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général
Le général Katz, une belle ordure
Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».
Les accords d’Évian (article V) prévoyaient pourtant que l’armée française puisse intervenir, au cas où la sécurité de ressortissants français serait menacée. Mais les 18 000 soldats français reçurent l’ordre de rester dans les casernes.
Enlèvements et assassinats se poursuivirent jusqu’à la tombée de la nuit.
« C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.
L’Aide sociale à l’enfance (ASE, anciennement DASS), structure française qui s’occupe de plus de 300 000 enfants, dont une bonne partie enlevés à leurs parents (et pour une partie de ces derniers, de façon très discutable ou du moins très contestée) est restée dans l’ombre médiatique pendant très longtemps, mais le mur du silence se fissure semble-t-il.
Il est désormais public que plus de 15 000 mineurs sous sa responsabilité sont prostitués.
On vient d’apprendre que
Patrick Genevaux, 39 ans, responsable du pôle solidarités du conseil départemental du Pas-de-Calais et donc de l’aide sociale à l’enfance, a été condamné vendredi à Douai à 15 mois de prison avec sursis pour téléchargement et détention d’images d’enfants à caractère pornographique. Il a été démis de ses fonctions. […] [source]
Il y a quelques jours, nous apprenions que huit fillettes avaient été agressées sexuellement par des migrants syriens dans une piscine, en Allemagne, à Gelnhausen. Les coupables ont été interpellés puis relâchés… Tandis que le maire Christian Litzinger imputait les incidents aux “esprits qui s’échauffent parfois par forte chaleur”… (ils sont aussi pourris que nos politiciens français). [source]
Or voici que l’on découvre les affiches de prévention contre les agressions sexuelles dans les piscines allemandes :
• 1564: le roi Charles IX signe une ordonnance qui fixe désormais le début de l’année civile au 1er janvier. Selon les diocèses, l’année débutait alors soit à Noël, soit le 25 mars, soit le 1er mars ou encore à Pâques. Mais c’est le pape Grégoire XIII qui, en 1582, généralisa cette mesure à l’ensemble du monde catholique en même temps que la réforme instituant le calendrier grégorien.
• 1776: à Philadelphie, Thomas Jefferson proclame l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique, bien que la guerre contre la Grande-Bretagne continue (jusqu’à ce que les Anglais reconnaissent leur défaite six mois plus tard).
• 1848: mort, dans un modeste appartement de la rue du Bac, de François-René de Chateaubriand, l’un des plus brillants et des plus ardents défenseurs de la monarchie, considéré comme le père du romantisme français et l’un des piliers de la littérature française en général.
Il avait renié sa jeunesse : « de chrétien que j’avais été, j’étais devenu un esprit fort, c’est-à-dire un esprit faible. Ce changement s’était opéré à la lecture des ouvrages philosophiques » (comprendre : de la mouvance des prétendues « Lumières »).
Dès 1792, il avait rejoint l’armée des émigrés. Revenu en France, il fut un ennemi irréductible de Napoléon Ier à qui il ne pardonnait pas l’assassinat du duc d’Enghien. Il devint le chef de file des ultras (royalistes) sous Louis XVIII, dont il fut ministre d’État en charge des Affaires étrangères. Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ».
Il mit son talent au service de la revue Le Conservateur (l’un des premiers journaux de « droite ») et du Journal des débats.
Il écrivit le Génie du christianisme « avec l’ardeur d’un fils qui bâtit un mausolée à sa mère ».
Sa mort passa inaperçue, étant survenue pendant les émeutes de 1848 dont les fracas s’entendaient de sa chambre. « Quel est ce bruit ? » demanda-t-il – « C’est le canon, on se bat dans Paris » – « Je veux y aller ». Ce furent ses derniers mots.
La veille, il avait terminé son testament : « je déclare devant Dieu rétracter tout ce qu’il peut y avoir dans mes écrits de contraire à la foi et aux mœurs et généralement aux principes conservateurs du bien. »
Avis du précieux abbé Bethléem dans son sévère mais incontournable recueil de notices :
Le Génie du christianisme où l’auteur essaie de réconcilier l’esprit français avec la religion, en lui montrant ses beautés sensibles, est plus séduisant que profond, plus esthétique que convaincant : il renferme du reste des erreurs et des futilités, à côté de tableaux magnifiques. Athala, René, les Nachez, le Dernier Abancérage, les Martyrs, types de romans poétiques, sont trop troublants pour être lus par des jeunes gens. Nous les signalons cependant ici parce qu’il a été publié de quelques-uns de ces ouvrages, des éditions corrigées (Vermot, abbé Mullois, etc.), où la richesse d’imagination, l’éloquence passionnée, l’éclat descriptif de l’auteur restent suffisamment en relief.
• 1848: publication, à Londres, du Manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels. Probablement le livre qui aura causé le plus de morts dans l’histoire de l’humanité.
« Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’évènement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop »
Amiral Marcel Gensoul
Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée (1928 – 1945)…
Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.
Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.