Dimanche de la Septuagésime – textes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), suivis de commentaires.
Avec le Temps de la Septuagésime commence le second cycle de l’année religieuse. Le cycle de Noël s’était organisé autour de la naissance du Sauveur ; le cycle de Pâques s’organise autour de sa passion et de sa résurrection.

« « Justement châtié pour ses péchés » (Coll.), l’homme sent profondément sa détresse et implore la miséricorde divine. La liturgie du Temps de la Septuagésime, qui prélude au Carême, souligne la détresse humaine, mais elle l’exprime devant Dieu avec toute la force et l’espérance fondée sur la rédemption du Christ ; l’introït et tous les chants de la messe d’aujourd’hui, l’Épître et l’Évangile, nous pressent de répondre à l’invitation de Dieu lui-même, qui appelle tous les hommes et toutes les générations humaines, quelle que soit l’heure de cet appel, à travailler à leur salut ».

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

« La sainte Église nous rassemble aujourd’hui pour repasser avec nous le lamentable récit de la chute de notre premier père. Un si affreux désastre nous fait déjà pressentir le dénouement de la vie mortelle du Fils de Dieu fait homme, qui a daigné prendre sur lui la charge d’expier la prévarication du commencement et toutes celles qui l’ont suivie. Pour être en mesure d’apprécier le remède, il nous faut sonder la plaie. Cette semaine sera donc employée à méditer la gravité du premier péché, et toute la suite des malheurs qu’il a entraînés sur l’espèce humaine.

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C’était un 15 février…

1450 : Charles VII ordonne une information nouvelle sur le procès de Jeanne d’Arc et sa condamnation.

1582 : Grégoire XIII inaugure le calendrier « grégorien », conçu à sa demande par des mathématiciens et des astronomes jésuites afin de corriger la dérive séculaire du calendrier julien alors en usage. Ce nouveau calendrier se répandra progressivement dans la chrétienté, puis au-delà.

1785 : jusqu’au 26 mai, deuxième convent des Philalèthes à Paris, avec 120 délégués francs-maçons. Il sera suivi par un troisième en 1787. Lors de ces réunions secrètes seront établis nombre des principes ms en œuvre dès le déclenchement de la Révolution française.

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C’était un 14 février… 1831 : les républicains profanent et saccagent de nombreuses églises

Sac de l'archevêché de Notre-Dame de Paris le 14 février 1831 - Dessin de Viollet-le-Duc
Sac de l’archevêché de Notre-Dame de Paris le 14 février 1831 – Dessin de Viollet-le-Duc

Les royalistes légitimistes avaient organisé une messe ce jour-là à Saint-Germain l’Auxerrois, afin de commémorer l’assassinat du fils de Charles X, le duc de Berry, espoir de la dynastie des Bourbon, onze ans auparavant.

Les républicains, intolérants au possible, organisèrent une manifestation pour s’y opposer !
Elle dégénéra sous leur fanatisme.
Des milliers d’émeutiers envahirent et mirent l’église à sac.
Le lendemain, les républicains saccagèrent de nombreuses églises à Paris et en province, de même que l’archevêché de Paris, qu’ils incendièrent ensuite…

13 février : le bombardement de Dresde, une démonstration d’éthique démocratique

Dans la ville de Dresde, joyau architectural, s’étaient réfugiés pas moins de 750 000 civils qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense.

Mais, ce 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (exceptées les bombes atomiques sur le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur Dresde et des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants meurent (entre 200 000 et 400 000 tués), souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances terribles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Plus précisément :
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C’était un 13 février… 1820 : l’assassinat du duc de Berry

La mort du duc de Berry, tableau d’Edouard Cibot, 1829.

Le 13 février 1820, le duc de Berry, neveu du roi Louis XVIII et fils cadet du comte d’Artois (futur Charles X), tombait sous le poignard de Louis Pierre Louvel, un ouvrier bonapartiste qui voulut éteindre en lui la race des Bourbons.

Espoir de la dynastie des Bourbons, le duc de Berry rendra l’âme dans la nuit en prince chrétien en ne cessant d’implorer la grâce de son assassin. Ce fut un terrible coup pour le camp royaliste légitimiste.

Toutefois, la volonté de mettre définitivement fin à la branche aînée des Bourbons par ce meurtre se révélera un échec, puisque naîtra le 29 septembre suivant un fils posthume au duc de Berry : celui que Lamartine célébrera comme « l’Enfant du Miracle » dans son Ode sur la naissance du Duc de Bordeaux.

C’était un 11 février…

1250 : début de la captivité de Saint Louis
La captivité du roi de France devait être la fatale issue à la déroute de Mansourah, lors de la Croisade, où le comte d’Artois, frère de saint Louis, fut tué.
Saint Louis était le prisonnier de ces infidèles qu’il avait espéré soumettre ; mais, dans cette extrémité, sa fermeté ne fut pas un instant abattue. Il conserva son indépendance ; et, en face des menaces et des insultes, il demeura maître de lui-même et fidèle à sa foi. Aux demandes impérieuses du sultan d’Egypte, alors qu’on le plaçait entre la torture et la déloyauté, il répondait avec calme : « Dieu t’a rendu maître de mon corps ; mais mon âme est entre ses mains, et tu ne peux rien sur elle. »
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C’était un 10 février… 1763 : fin du Canada français

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Ce jour-là est en effet signé le tragique Traité de Paris, qui met fin à la guerre de Sept ans entre les Français et les Anglais.
Ne disposant pas du contrôle des voies maritimes en Atlantique, la France n’a jamais pu fournir la logistique et les renforts nécessaires aux colonies.
Malgré les prouesses militaires du général de Montcalm, la mort de ce dernier et l’écrasante supériorité numérique des Anglais – qui avaient profité des guerres menées par Louis XV pour s’attaquer à la Nouvelle-France – contraignent la France à céder à l’Angleterre, un domaine de 4 millions de km² (Canada, Grenadines, bassin de l’Ohio et du Mississippi,…) et peuplé de 3,4 millions d’habitants.
La France ne conserve que la Guadeloupe, la Martinique et Saint-Pierre et Miquelon.

Ce traité marque un tournant dans l’Histoire de l’Europe et du monde : la France n’est plus la nation dominante et le Royaume-Uni va pouvoir étendre librement son influence et sa culture sur le globe. Il explique l’étendue de la langue anglaise en Amérique du Nord au détriment du français.

Les Anglais se livreront à un véritable nettoyage ethnique dans les décennies qui suivront (le « Grand Dérangement »), déportant massivement les Canadiens-Français et les Acadiens, dans des conditions telles qu’une grande proportion meurt en route. Beaucoup de familles seront séparées, des hommes réduits en esclavage et des enfants volés pour être confiés à des familles anglaise pour leur « assimilation ».

C’était aussi un 10 février… 1937 : mort du capitaine Henri Bonneville de Marsangy, à Llanes dans les Asturies, à la tête de la 2e compagnie du bataillon San Fernando de la 6e Brigade de Navarre.

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10 février 1638 : consécration de la France à la Sainte Vierge par Louis XIII

consecrationEn 1636, la Sainte Vierge demande à Mère Anne-Marie de Jésus Crucifié, religieuse stigmatisée que le Cardinal de Richelieu tenait en grande estime, que la France lui soit consacrée. L’année suivante, le Roi Louis XIII, « dans le secret de son coeur », consacre sa personne et son Royaume à Marie, et avec la Reine, Anne d’Autriche, il multiplie les prières et les pèlerinages pour obtenir un héritier attendu depuis 22 ans.

La Mère de Dieu répond en apparaîssant à un religieux de Notre-Dame des Victoires, tout juste fondée par le Roi, reconnaissant pour ses premiers succès. Elle demande trois neuvaines à Notre-Dame de Cotignac en Provence, Notre-Dame de Paris et Notre-Dame des Victoires.

Le caractère surnaturel des faits est rapidement reconnu et la Reine est prévenue. Le consecration2religieux, frère Fiacre, achève les trois neuvaines le 5 décembre et c’est neuf mois après jour pour jour que naîtra Louis XIV qui reçevra le nom de baptême de « Louis Dieudonné ».

Dès que la Reine est certaine de sa grossesse, et sans attendre la naissance pour savoir si l’enfant serait garçon ou fille, Louis XIII publie le 10 février 1638 l’Edit officiel qui consacre solennellement la France à Marie.

Consécration de la France à la Sainte Vierge

« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut. Dieu, qui élève les rois au trône de leur grandeur, non content de nous avoir donné l’esprit qu’il départ à tous les princes de la terre pour la conduite de leurs peuples, a voulu prendre un soin si spécial et de notre personne et de notre Etat, que nous ne pouvons considérer le bonheur du cours de notre règne sans y voir autant d’effets merveilleux de sa bonté que d’accidents qui nous menaçaient.

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C’était un 9 février…

• 1879 – 1936 : naissance et mort de Jacques Bainville journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien français.

Proche de Charles Maurras, il se consacra essentiellement au journalisme. Il toucha à de multiples sujets (dans l’Action française et ailleurs), mais ses analyses géopolitiques marqueront son époque et d’autres de ses ouvrages demeurent des références historiographiques, en particulier son Histoire de France qui fait encore autorité (en dépit de quelques manques et points discutables). On peut se procurer ce livre incontournable ici, et d’autres livres de et sur cet auteur ici.

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Messe du 5e dimanche après l’Épiphanie – textes et commentaires

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos ancêtres).

« Le démon, auteur du mal, sème dans l’ombre l’ivraie, pernicieuse et déconcertante. La séparation nécessaire est retardée jusqu’au temps de la moisson (Év.). Souvenons-nous de cet enseignement. Laissons à Dieu tout jugement et, dans le présent, usons comme lui de bonté, de douceur et de patience. Admis, par pure miséricorde, à entrer dans la paix du Christ, vivons dans la joie et l’action de grâces, en faisant régner parmi nous cette charité divine dont nous devons être non seulement les bénéficiaires mais les témoins ((ép.). »

Dom G. Lefebvre

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C’était un 8 février…

1871 : élections législatives en France, largement remportée par les royalistes (les légitimistes – partisans du comte de Chambord, petit-fils de Charles X – qui étaient de droite, et orléanistes partisan de la lignée de Louis-Philippe, qui étaient libéraux).
Les républicains subissent une déroute.
Mais la royauté ne sera pas rétablie par faute d’accord avec le comte de Chambord sur un projet qui lui semble suffisamment contre-révolutionnaire.
Le régime républicain en France n’a jamais été très solide, ce pourquoi il est vindicatif avec ceux qui ne l’apprécient pas (à cause de son idéologie – maçonnique –, ses crimes ou ses résultats désastreux) .
A quand la fin de la parenthèse ?

1906 : Bernard de Vezins est arrêté pour avoir empêché l’entrée du préfet venu prendre possession de l’église Saint-Symphorien de Versailles (après la loi de 1905 organisant le vol des biens de l’Eglise par la République). Continuer la lecture de « C’était un 8 février… »

C’était un 7 février…

1752 : première condamnation de la funeste Encyclopédie (première grande entreprise de la Gauche) par arrêt du Conseil du roi. Les deux premiers volumes doivent être, théoriquement, détruits.

1861 : les Indiens Cherokees rejoignent la rébellion sudiste.

Vétérans Cherokee sudistes posant en 1903.

1904 : la guerre impitoyable de la très maçonnique Troisième République contre l’Eglise se poursuit et, ce jour, est votée à la Chambre des députés la loi interdisant le droit d’enseigner aux congrégations religieuses.

1920 : l’amiral Alexandre Koltchak est fusillé par les Rouges à Irkoutsk.

L’amiral Koltchak, au centre, inspectant des troupes. DR

En novembre 1918, il avait été élu, contre sa volonté, Régent de Russie et chef suprême de toutes les armées terrestres et maritimes de Russie (l’« armée blanche ») – fonction qu’il ne pourra jamais exercer totalement – pour faire face aux communistes.

1982 : dans la nuit, décès du bachaga Boualam, 75 ans, grand officier de la Légion d’honneur, chef musulman d’Algérie dont plus de 2 000 hommes mourront au cours des deux guerres mondiales.

En mars 1962, alors que se consommait la trahison gaulliste, il proclamait lors d’une émission pirate de radio dans les départements d’Algérie que « l’Ouarsenis est terre française ».
Il fut rejoint par environ 105 hommes, dont le commando Albert.
C’est à cette occasion que le colonel Jean Gardes créea le fameux maquis OAS de l’Ouarsenis, en collaboration avec Boualam, qui avait prévu de ramener ensuite des milliers de harkis.
Les forces françaises, essentiellement de gendarmerie, s’associeront avec le FLN pour venir à bout de ces partisans de l’Algérie française…
Summum de l’ignominie, c’est l’aviation, sous les ordres du gouvernement, qui ira jusqu’à appuyer les Felagah de l’ALN (branche armée du FLN) pour mener à bien cette opération contre le maquis… Face à des soldats français expérimentés ayant rejoint les maquisards harkis mieux valait utiliser des avions…
Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, fut responsable de la harka de la région de l’Ouarsenis pendant la guerre d’Algérie. Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c’est-à-dire chef de 24 tribus arabes des Beni-Boudouane, situées en Ouarsenis (entre Alger et Oran).
Durant les combats contre le FLN, il perdit dix-sept membres de sa famille, dont un de ses fils, Abdelkader.
Des livres du Bachaga Boualam sont en vente ici.

1992 : signature du Traité de Maastricht par douze pays : c’est la naissance de l’Union européenne telle que nous la connaissons, et une véritable trahison de la liberté de leur nation par les politiciens euro-mondialistes.
En France, le référendum qui avait validé le projet de traité fut remporté de justesse par les européistes après que Mitterrand – sans vergogne – révéla cyniquement au grand public, pour l’émouvoir, son cancer.

C’était aussi un 6 février 1945 : la mise à mort de Robert Brasillach

« Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de Février. »

Robert Brasillach, la veille de sa mort

Poète, écrivain (les livres de lui et sur lui sont achetables ici) et journaliste nationaliste célèbre, Robert Brasillach était fusillé à l’âge de 35 ans, victime de l’Épuration gaullo-communiste.

Homme de grand talent, Brasillach laisse derrière lui – bien que relativement jeune – une œuvre très abondante et variée : romans, études, histoire, mémoires, cinéma et critiques littéraires…
Les communistes savaient quel danger cet homme représentait pour leur plan de conquête culturelle et voulaient sa mort.
De Gaulle, qui lui en voulait et qui voulait complaire aux communistes, refusa la grâce de cet homme condamné à mort pour ses écrits, malgré l’impressionnante pétition d’intellectuels de divers bords qui l’avaient demandée.

Voici le récit de sa mort, par son courageux avocat, Jacques Isorni :

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C’était un 6 février… 1934 : le meurtre de patriotes scandalisés par la corruption

À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

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C’était un 3 février… : mort d’Edouard Drumont, journaliste, écrivain et homme politique

Presque aveugle, Edouard Drumont mourut peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans, en 1917.

Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris (dont il était amoureux), ce brillant pamphlétaire fut l’auteur d’une description de la société française au XIXe siècle : le « best-seller » intitulé La France juive, « livre magique » pour Georges Bernanos qui lui consacrera lui-même un ouvrage fameux : La Grande Peur des bien-pensants.
La fin d’un monde  est aussi un maître-ouvrage d’Edouard Drumont, qui a, à notre avis, moins vieilli.
Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal quotidien La libre parole et fut un leader du camp nationaliste et antidreyfusard (il fut député de 1898 à 1902).

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