Le « Mur pour la paix » est une « œuvre d’art » militante, élaborée par une certaine Clara Halter.
« Constitué d’une charpente métallique habillée de bois, d’inox et de verre, il mesure près de 16 mètres de longueur, 13 mètres de largeur et 9 mètres de hauteur. Sur les grandes façades de verre est écrit le mot « paix » en 49 langues différentes. ».
Très laid, il a été installé – aux frais de cet imbécile de contribuable – en l’an 2000, sur le Champ-de-Mars, entre l’Ecole militaire et la tour Eiffel avec lesquels il jurait grossièrement, saccageant la perspective d’un des lieux les plus visités de Paris.
Il y a bien sûr eu des résistances, mais elles ont été vaincues par la mairie ainsi que par le poids politique du mari de « l’artiste » Clara Halter : Marek Halter, immigré juif polonais, militant mondialiste et « antiraciste » forcené (c’est-à-dire promouvant le génocide des peuples blancs par invasion et métissage) sentencieux et pompeux, « écrivain » dont le talent principal est d’être un membre actif d’un lobby puissant.
Le Mur pour la Paix est directement inspiré du Mur des lamentations de Jérusalem puisque les visiteurs peuvent laisser un message de paix dans les fentes prévues à cet effet.
Son architecture reprend aussi, et de manière éclatante, de nombreux éléments de la symbolique franc-maçonne.
Son message mondialiste est-lui même tout à fait typique de cette force occulte.
Vraiment, ce « Mur » coche toutes les cases, sur la forme (laideur, transgression par rapport au lieu d’installation…) et sur le fond.
En 2020, cette horreur a enfin été démontée pour laisser place au Grand Palais éphémère, un peu moins laid et moins subversif.
Elle devait être installée ailleurs dans Paris, mais personne n’en veut. Alors Marek Halter tape du point sur la table :
« Deux ans et demi après son démontage du Champ-de-Mars, le monument attend toujours un nouveau lieu. L’écrivain Marek Halter attaque la Ville en justice pour non respect de son contrat