« Les images sont d’une rare violence. Ce lundi, trois enfants et trois adultes ont été abattus dans une école primaire de Nashville, dans le sud des Etats-Unis, un drame dont les circonstances sont peu à peu dévoilées par les autorités locales.
Ancien élève de « The Covenant School », l’individu ayant commis le bain de sang, rapidement abattu par les agents arrivés sur les lieux, a été identifié comme une personne transgenre de 28 ans, répondant au nom d’Audrey Hale, mais son profil LinkedIn semble indiquer une volonté d’utiliser des pronoms masculins.
Les politiciens municipaux « verts » (comme des pastèques : verts à l’extérieur, rouges à l’intérieur) ont inauguré un panneau en arabe, dans un arrondissement qu’ils dirigent.
« Il y a déjà un ajout en japonais rue Immermann, et maintenant la rue Eller à Oberbilk [un quartier – NDCI] a également un panneau de signalisation bilingue : شارع إلَرْ symbolise la diversité du quartier et renforce le lien entre le quartier et la communauté. Encore un signe de représentativité et de cohésion. »
Pour eux, la disparition d’une culture commune (celle du peuple hôte) au profit d’une juxtaposition de cultures, de races et même de langues est synonyme de cohésion : l’exact contraire de la réalité.
Mais puisque le gauchisme est une maladie mentale…
« Les Indiens figurent parmi le plus grand nombre de propriétaires immobiliers à Londres – le cœur du Royaume-Uni, devant les Anglais eux-mêmes. Les Indiens – au premier rang desquels ceux qui vivent au Royaume-Uni depuis des générations, les NRI, les investisseurs vivant ailleurs, les étudiants et les familles qui se rendent au Royaume-Uni pour leurs études – constituent le plus grand groupe de propriétaires immobiliers à Londres, suivis des Anglais et des Pakistanais, a déclaré le promoteur résidentiel Barratt London, basé à Londres. Et ces investisseurs indiens – vivant au Royaume-Uni et en Inde – sont prêts à débourser entre 290 000 et 450 000 £ pour un appartement d’une, deux ou trois chambres dans la capitale, Londres.
« Un criminel jamaïcain qui a évité l’expulsion à la suite de contestations judiciaires soutenues par des députés travaillistes et une foule de célébrités a ensuite commis un meurtre, peut révéler le Daily Mail.
Ernesto Elliott devait être à bord d’un vol charter du Home Office en décembre 2020, mais a esquivé les efforts pour le renvoyer grâce à des appels de dernière minute en matière de droits de l’homme.
Mais en juin 2021 – six mois après qu’il était censé avoir été expulsé de Grande-Bretagne – Elliott a tué un homme de 35 ans dans un horrifiant combat au couteau. […]
Les spectateurs qui ont été témoins de la confrontation sanglante de huit minutes ont subi un “traumatisme important”, a déclaré la police. Une vidéo choquante montre un combat à la machette se déroulant en plein jour.
Cela a le mérite de poser le débat en termes clairs… car effectivement le militantisme en faveur d’une chose aussi inhumaine, contre-nature, cruelle et horrible qu’est l’avortement volontaire (c’est-à-dire l’infanticide pré-natal) est certainement d’inspiration démoniaque.
« Une nouvelle et inhabituelle statue dorée, de 2,5 mètres, placée au sommet d’un tribunal [de la cour d’appel – NDCI] de New York, a créé la controverse, de nombreuses personnes à travers le pays réagissant à son dévoilement avec choc et dégoût. (…)
Selon l’artiste qui a créé la statue, c’est un symbole de l’autonomisation des femmes et une expression de soutien à l’avortement.
L’imagerie « satanique » que beaucoup ont soulignée ressemble beaucoup à celle employée par un groupe pro-avortement dédié à l’interdiction de la religion sur la place publique.
Une statue du tyran communiste cubain Castro a été érigée à Moscou et inaugurée par le président Poutine.
Le Ministère des Affaires étrangères russe présente cela sur Twitter, et ajoute, en parlant de Castro : « El Commandante est pour toujours dans nos cœurs. »
Fabuleux.
Le Qatar prend tout le monde pour des idiots, et il n’a pas tort, car peu dénoncent cette farce (y compris sur le plan écologique).
La France est quant à elle désormais « tenue » économiquement par ce pays (riche simplement car nous lui achetons son pétrole…).
Je ne dis pas que le Qatar nous prend pour des cons. Je fais juste remarquer que les fans « du monde entier » ont tous le même teint de peau, l’air un peu orientaux et jouent TOUS les mêmes instruments traditionnels quel que soit le pays d’où ils sont censés venir.
C’est tout. pic.twitter.com/ZYWbisI5nu
Tout d’abord, rappelons que le 23 octobre 1956 avait commencé une insurrection pacifique.
Ce jour-là avait débuté par une manifestation pacifique d’étudiants, avant que les communistes ne tirent sur la foule.
L’information selon laquelle des manifestants avaient été tués s’était répandue rapidement et des émeutes avaient éclaté dans toute la capitale.
Après quoi la révolte s’était étendue rapidement en Hongrie et avait entraîné la chute du gouvernement et le départ du chef local du Parti communiste Matthias Rakosi (né Rosenfeld).
Des milliers de personnes s’étaient organisées en milices pour affronter l’Autorité de protection de l’État (ÁVH) et les troupes soviétiques.
Ce jour du 4 novembre, donc, les chars soviétiques entrent à Budapest, après que le nouveau gouvernement – amené par la révolte populaire spontanée débutée 11 jours plus tôt contre la tyrannie communiste – a fait savoir qu’il voulait quitter le Pacte de Varsovie.
L’aviation et l’artillerie rouges bombardent des poches de résistance ou supposées telles.
Avec le soutien tacite des démocraties occidentales, l’URSS va écraser l’insurrection dans le sang et entamer une sévère répression.
Un petit documentaire pas mal fait, contenant des images d’archives :
Dans sa ville la plus peuplée, le régime communiste chinois (à divers égards le modèle des régimes occidentaux actuels) maintient sa politique « 0 Covid », qui ne dépareille pas d’avec son habituelle tyrannie :
« Un cauchemar digne d’Halloween. Depuis lundi, des dizaines de milliers de visiteurs du parc Disneyland Shanghai se retrouvent enfermés dans le parc d’attractions après la découverte d’une seule personne positive au coronavirus. Un confinement d’urgence décrété par les autorités chinoises, obligeant les visiteurs à présenter un test négatif au Covid-19 pour en sortir.
Des familles entières venues fêter Halloween pour qui la soirée s’est terminée en enfer. Plus de 67.000 touristes se sont retrouvés pris au piège après la découverte d’un seul cas positif de Covid-19 au parc Disneyland de Shanghai. Depuis, les images de ces dizaines de milliers de touristes pris de panique et qui tentent de sortir du parc font le tour des réseaux sociaux. »
Tourists stuck inside Shanghai Disneyland after the resorts shut down on Monday due to COVID concerns can only leave after a negative COVID test result on site. pic.twitter.com/TDySD1Zv3C
« Ce vendredi 14 octobre, Joe Biden était en visite au Irvine Valley College à Irvine, en Californie, où il a présenté les plans de son administration pour réduire l’inflation et le coût des médicaments. Mais ce n’est pas son discours qui a fait parler de lui. Au moment de prendre des photos avec les élèves qui s’étaient rassemblés pour l’écouter, le président américain a posé son bras sur l’épaule d’une jeune fille avant de lui tenir des propos inattendus et jugés malvenus.
“J’ai toujours dit à mes filles et à mes petites-filles une chose très importante: pas de gars sérieux avant 30 ans”, glisse-t-il à l’oreille de l’écolière en se penchant vers elle. “Ok”, lui répond-elle en riant, visiblement gênée. “Je garderai ça en tête ». » (source)
Quel vieux pervers…
Et il se vante de donner ce « conseil » tordu, le contraire du bon sens, à ses filles et petites-filles !
PS : on remarquera l’agent du « secret service » qui essaie de mettre fin à cette séquence qu’il sent gênante.
Le terme d’Holodomor désigne le génocide d’environ 6 millions d’Ukrainiens, par le moyen d’une famine organisée, sous Staline. Personne de sérieux n’en conteste la sinistre réalité, ni son caractère délibéré.
« Les autorités de Marioupol ont démantelé le mémorial « Aux victimes de l’Holodomor », installé il y a 18 ans dans le centre-ville non loin du théâtre dramatique.
Ce dimanche avaient lieu en Italie les élections législatives.
Comme attendu, elles ont vu la victoire du parti « Fratelli d’Italia » (« Frères d’Italie »), dirigé par Georgia Meloni, avec 26% des voix.
Elle devrait accéder au poste de président du Conseil des ministres (l’équivalent de Premier ministre) avec ses alliés de la Lega (dirigée par Matteo Salvini, en recul ces dernières années, avec 9%) et le parti Forza Italia de l’oligarque affairiste de « centre-droit » Silvio Berlusconi (8,3%). Leur coalition emporte un large succès et dispose de la majorité absolue dans les deux chambres du parlement italien.
On peut qualifier le parti de Meloni de « droite nationale », mais il n’est pas nationaliste (il ne propose par exemple pas la sortie de l’Union européenne ni une large remigration) et encore moins « néofasciste » comme se lamentent les gauchistes les plus atteints (alors que Meloni est tout à fait acquise à la démocratie). Mais ses origines remontent au Mouvement social italien (MSI), créé en 1946 et effectivement post-fasciste, qui a muté en Alliance nationale (et dont le chef, le pitoyable Gianfranco Fini, a tout renié) et dont « Fratelli d’Italia » est issu.
Le parti de Meloni a d’ailleurs conservé sans crainte le logo du MSI : une flamme tricolore.
Oui, le FN français prit le même emblème à sa création, en 1972.
Même si le programme et le discours de Georgia Meloni ne sont guère radicaux, elle est bien plus à droite que Marine Le Pen sur les questions de société, de famille, de religion. Ce qui n’est pas dur…
Aujourd’hui réjouissons-nous de l’évolution de l’Italie versla vraie droite et dégustons quelques larmes de sales gauchistes.
Cette tarée gauchiste complaisamment relayée par France Inter raconte n’importe quoi… Hélas !
Editorial de Bernard Lugan dans le dernier numéro de son bulletin électronique l’Afrique réelle :
« Pour l’Occident, une société est « évoluée » dans la mesure où elle adopte ses « valeurs » : rapports égalitaires entre les hommes et les femmes, reconnaissance de l’homosexualité, LGBT, théorie du genre, démocratie, droits de l’homme etc.
Pour une grande partie des Africains, tout cela n’est que perversion. Pour les jihadistes il s’agit de diablerie. L’incompréhension est donc totale.
Un exemple : comme l’école occidentale est postulée fabriquer des mécréants, un jihad de purification est donc nécessaire contre elle. Voilà pourquoi Boko Haram enlève et tue les écoliers.
Nous sommes loin de l’ « école de la République » et de l’ « école émancipatrice », mais bien face à une incommunicabilité référentielle. Dans ces conditions, tout ce que nous pouvons faire contre le terrorisme jihadiste ouest africain est vu comme une croisade ou comme une nouvelle colonisation.