
À 34 ans, Zohran Mamdani, figure « progressiste » issue du Queens et héros du clan melenchoniste, a remporté la mairie de New York, devançant plusieurs poids lourds politiques. Il deviendra le 1er janvier le premier maire musulman de l’histoire de la plus grande ville des États-Unis.
Ce rejeton d’une puissante famille indienne installée en Afrique de l’Est a absurdement qualifié à plusieurs reprises la police de New York de « raciste » (bien qu’elle soit multiraciale), a réclamé plusieurs fois que soit coupé son financement, et a menacé de vider la prison de Rikers, inondant ainsi les rues de New York de criminels violents.
S’il le fait, on en reparlera dans un an ou deux, lorsque les femmes à New York se plaindront de ce qui leur arrive dans la rue.
En 2020, Mamdami écrivait « nous n’avons pas besoin d’une enquête pour savoir que la police de New-York est raciste, anti-queer et une menace majeure pour la sécurité publique.
Ce dont nous avons besoin maintenant est de définancer la police de New-York ».
Queer signifie dans le langage gauchiste tout ce qui n’est pas normal (pédérastes, « transexuels », etc.)
Effectivement ça ne gêne pas cet islamiste de défendre les idées gauchistes les plus folles en matière morale.

Il veut aussi mettre en place un programme économique et fiscal socialiste radical, et très démagogique.
Bref, New-York va dégringoler rapidement.
Cette ville particulière et riche va devenir un laboratoire du gauchisme, ce sera intéressant.
On notera qu’il n’était pas soutenu que par les simples gauchistes et les non-Blancs. Il avait Soros avec lui.
Ici avec le fils et bras-droit du démoniaque George Soros :

A propos du vote des non-Blancs pour cet homme, un internaute écrit pertinemment :
Le tribalisme est si fortement ancré dans l’esprit des peuplades du tiers-monde qu’elles choisiront toujours l’option clanique, quand bien même elle leur nuirait objectivement. Il n’y a pas besoin d’être un génie pour voir, qu’avec son programme, la situation sécuritaire des catégories populaires (c’est à dire des tiers-mondistanais) va rapidement se dégrader. Ces catégories sont toujours les premières à souffrir d’une telle dégradation et elles n’ont pas les moyens de payer pour s’en prévenir. Leur absence d’intérêt historique et culturel (c’est à dire pour des sujets qui dépassent le ici-et-maintenant de la tribu) n’aide pas non plus, car il suffit de regarder ce qu’ont donné les politiques “defund the police” dans les autres villes américaines ces dernières années pour voir ce qui les attend. L’esprit du tiers-monde est également incapable d’anticipation et de planification. C’est pourquoi un programme de “gauche” qui, en réalité est un programme de prédation économique, les attire tant. Comme dans une razzia, ils vont prendre l’argent à portée de main : chez les riches et les classes moyennes supérieures. Bien sûr, ils sont incapables d’anticiper que ces derniers ont les moyens de partir et que, en fin de compte, l’assiette fiscale diminuera, ce qui amènera à un appauvrissement de la collectivité, dont justement ils dépendent. Mais le candidat est un des leurs, donc ils votent pour lui. Si le tribalisme les y pousse, ils iront tous se jeter dans un gouffre plutôt que de choisir un autre chemin. Ils sont ainsi faits. La démocratie occidentale est conçue pour les peuples occidentaux. Elle ne peut pas fonctionner avec le tiers-monde et l’hôte mourra avec son parasite. C’est pourquoi ceux qui veulent sauver la démocratie doivent aussi vouloir l’inversion des flux.
Encore que même chez les Occidentaux, la démocratie moderne (aux fondements philosophiques contestables) n’a pas donné de brillants résultats ; l’état de l’Occident submergé en témoigne.