La délinquance continue d’augmenter selon l’INSEE

Le nouvel outil statistique, présenté comme « plus fiable et impartial », montre que tous les indicateurs étudiés, hormis les homicides, sont à la hausse. Ce panorama, encore parcellaire, ne prend pas en compte les viols, les actes de vandalisme ou les délits économiques et financiers. Personne ne sera surpris de ces statistiques, tant la politique actuellement menée par Valls-Taubira est ahurissante, politique de permissivité qui vise à chercher systématiquement des excuses aux délinquants et surtout qui vise, sous le verbiage de réinsertion, à leur octroyer toutes les faveurs.

C’est ainsi qu’un braqueur a ouvert le feu contre un policier de 36 ans, le blessant très grièvement (celui-ci est toujours entre la vie et la mort), avant de se faire abattre. Mais qui donc était ce braqueur ? Dans la presse, il est présenté comme un évadé « en cavale ». La réalité est quelque peu différente : Pour être « en cavale », ce braqueur n’a jamais dû escalader d’enceintes, n’a jamais dû fausser compagnie à ses geôliers. S’il était en cavale, c’est après être sorti par la porte de la prison qui lui avait été grande ouverte. En effet, dans le but de réinsérer les détenus (véritable obsession de Valls-Taubira), ceux-ci obtiennent des permissions (alors que déjà tout détenu n’effectue jamais la totalité de sa peine). Or, au terme de sa permission, le braqueur n’avait jamais regagné sa prison. Voilà comment notre braqueur s’était, paraît-il, évadé… Ainsi donc, si évasion il y a, elle a eu des complicités au plus haut sommet de l’Etat. Cela est d’autant plus ahurissant qu’il avait été fiché pour radicalisation islamique, puisqu’une fiche « S » avait été établie le concernant, exactement comme pour Mohamed Merah, les frères Kouachi, etc. Mais qu’est-ce que l’Etat ne ferait-il pas pour réinsérer ? Aujourd’hui, une famille française vit l’angoisse de l’annonce de la mort à cause de la politique criminelle de l’actuel gouvernement. Quand donc une véritable politique sécuritaire, qui passe par le rétablissement de la peine de mort, et qui permettra de combattre la délinquance et la criminalité, sera-t-elle mise en place ? Quand donc les gouvernements auront à coeur de défendre le bien commun plutôt que de vouloir systématiquement réinsérer des déviants, fussent-ils les plus abominables criminels ?

PS : Hier, Imad Chafouk, caïd de Vitry-sur-Seine (94) et trafiquant de drogue s’est évadé lors d’un tournoi de boxe, organisé à Agen. Il était libérable en 2022 (et donc condamné à une peine allant bien au delà). Il s’était déjà évadé en 2009. Merci, peuvent dire tous ces gens, à Valls-Taubira pour cette politique de réinsertion. Les honnêtes citoyens, eux, comptent leurs victimes.

Pendant les attentats, Taubira continue à promouvoir son laxisme…

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Les méfaits de Christiane Taubira à la tête de la justice française ne sont plus un secret pour personne : elle est l’un des meilleurs soutiens des délinquants en tous genre, petits ou grands, par son extraordinaire laxisme.

Mais elle a fait particulièrement fort ces jours-ci. Alors que la France était touchée par une série d’attentats islamistes, la garde des sceaux était muette…
Mais alors que l’on apprenait que les djihadistes étaient des multirécidivistes aux peines parfois largement réduites, madame Taubira donnait ses instruction : le 9 janvier, elle réaffirmait aux procureurs la nécessité de traiter sur un même plan les récidivistes et les non-récidivistes en matière de réductions supplémentaires de peine…

Question timing, c’est épatant.
Le document ici.

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Le Conseil d’Etat valide la circulaire Taubira sur la GPA

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Comme l’avait préconisé son rapporteur public, le Conseil d’État a rejeté les requêtes en annulation contre la « circulaire Taubira » du 25 janvier 2013 qui permet de délivrer des certificats de nationalité française aux enfants nés à l’étranger de parents français même lorsque ceux ci ont eu recours à une GPA (gestation pour autrui), procédure pourtant interdite en France.

Le gouvernement peut bien continuer à promettre qu’il y reste opposé, Manuel Valls peut bien jouer les girouettes à la veille des Manif Pour Tous, le fait est là : la GPA est autorisée en France à condition que le chèque soit fait à l’étranger. L’hypocrisie est totale.

Dans sa décision, le Conseil d’État rappelle l’interdiction de cette procédure, mais juge que « la seule circonstance qu’un enfant soit né à l’étranger dans le cadre d’un tel contrat, même s’il est nul et non avenu au regard du droit français, ne peut conduire à priver cet enfant de la nationalité française ».

Même rengaine toujours, et marche forcée vers le « progrès » par la politique du fait accompli. On se sert de la situation dramatique de quelques enfants pour justifier et encourager celle de beaucoup d’autres… Car une loi qui ne sanctionne plus encourage.

Un général remplacé pour avoir critiqué la politique pénale !

Bertrand Soubelet

Nous avions déjà relayé l’information qui circulait, c’est maintenant officiel :

Le général Bertrand Soubelet, numéro 3 de la direction générale de la gendarmerie a été remplacé par le général Michel Pattin hier, lors du dernier conseil des Ministres avant leurs vacances.

On ne critique pas la politique pénale du gouvernement…

Le 18 décembre dernier, ce haut fonctionnaire avait osé déclarer que la réponse pénale était « en décalage » par rapport aux infractions constatées devant la commission parlementaire de « lutte contre l’insécurité ».

Il avait notamment expliqué qu’en 2013 il y a eu une hausse de 4 % de personnes mises en cause par ses services tandis que le nombre d’incarcérations avait « diminué de 33 % ».

Son discours ne pouvait être que salué par les gendarmes de la base qui avaient salué son « courage » sur les réseaux sociaux, mais Manuel Valls, alors Ministre de l’Intérieur ainsi que tout le reste de sa hiérarchie l’avait alors très mal pris.

« Opposer justice aux forces de l’ordre est extrêmement contreproductif et affaiblit l’Etat » avait déclaré l’ancien Premier Ministre lors de ses voeux à la gendarmerie.

Pour tenter de calmer les esprits, la direction générale de la Gendarmerie nationale (DGGN) avait ensuite essayé de justifier les propos du général en expliquant que son intention « n’était pas de mettre en cause la politique pénale ni de critiquer l’institution judiciaire, mais de souligner les difficultés rencontrées au quotidien par les unités dans la lutte contre la délinquance ».

La critique censurée

Une tentative de revenir sur des propos approuvé par grand nombre de Français qui n’a pas suffit.

Le général Soublet est remplacé et prendra le commandement de la gendarmerie Outremer. Un poste qualifié de « prestigieux » et « de confiance » par le ministère de l’Intérieur, mais  de « placard » par le député UMP Philippe Goujon, vice-président de la commission parlementaire devant laquelle le général s’était exprimé.
Ce dernier n’a pas mâché ses mots : « On a censuré un général qui a dit la vérité, c’est de la censure ! »

Effectivement, il n’y a pas à aller chercher bien loin pour voir que la politique pénale menée est un vrai danger pour les Français, nous le rappelions encore hier.

Encore un viol dû au laxisme judiciaire

Encore un viol du au laxisme judiciaire
Le Figaro révèle aujourd’hui une affaire qui en dit long sur le laxisme judiciaire qui prévaut en France et ses dangers.

Pour Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie-Officiers, cette affaire est « emblématique » des errements judiciaires actuels, où « un certain laxisme finit par mettre en danger les victimes ». Il un lien direct avec « l’esprit des lois Taubira ».

 Le 27 juillet dernier, une jeune femme de 25 ans, rentre chez elle, dans le XXème arrondissement de Paris vers 3h30 du matin et se fait violer par un multirécidiviste que la justice avait relâché quelques jours plus tôt, au motif qu’il présentait des « garanties de représentation », à savoir un simple justificatif de domicile fourni par la famille.

Hamidou B., le violeur présumé de 37 ans, de nationalité guinéenne, qualifié de « sans domicile fixe » par la police, avait été signalé, dès le 18 mai dernier, par une première agression connue.

Ce jour-là une femme était agressée dans le XXème arrondissement par un individu qui l’avait étranglé par-derrière, la menant au sol et « poursuivant son acte à deux mains autour de son cou ». Feignant l’évanouissement, la victime avait réussi à se libérer de son agresseur mais une demi-heure plus tard, une seconde jeune femme était à nouveau agressée de la même manière.

Pour les enquêteurs, la coïncidence était troublante et il s’agissait probablement du même homme. Un recoupement avait alors été établit avec un fait similaire commis en 2012. Grâce aux « investigations techniques », le profil du suspect était alors tombé : le fameux Hamidou B : le 10 juillet dernier, rue de l’Ermitage, à Paris (XXe), l’homme est arrêté.

Déféré, placé en détention provisoire dans le cadre d’une ouverture d’information judiciaire, il est finalement laissé libre « car son beau-frère lui a communiqué un justificatif de domicile » déplorent les policiers.

Libre sous contrôle judiciaire avec « interdiction de se rendre dans le XXe arrondissement de Paris ».

« Ce qui devait arriver, arriva », confie un représentant de Synergie-Officiers. C’est le viol de de cette jeune française.

Le multirécidiviste présumé a été arrêté de nouveau le 29 juillet après-midi, avec quatre viols ou tentatives qui pourraient donc lui être attribués. Encore un viol qui aurait largement pu être évité. 

 

9 mois ferme pour un photomontage…

Taubira photomontage

Anne-Sophie Leclère, ancienne candidate du Front National aux municipales de Rethel (Ardennes) a été condamnée hier par le tribunal de Cayenne à neuf mois de prison ferme, 5 ans d’inéligibilité et 50.000 euros d’amende pour… un photomontage « liké » sur Facebook comparant Christiane Taubira à un petit singe.

Et s’il était besoin de déceler encore une forme peu commune d’acharnement, le Front National a lui-même été condamné à 30.000 euros d’amende, alors que la candidate avait alors été exclue du parti.
Les avocats du mouvement Walwari qui avait porté plainte avaient demandé que la décision « fasse jurisprudence inscrite en lettre d’or ». Ils doivent être ravis… Leur jurisprudence ils l’ont : on peut désormais aller en prison pour une blague, au lendemain d’une réforme pénale insistant pour que la prison ne soit pas une solution pour les agresseurs, violeurs ou autres ordures en tous genres…

A noter également que si vous profanez ou vandalisez une église, vous risquez quelques 1500 euros d’amende, mais se moquer aussi bêtement qu’innocemment de l’idole du progressisme et de l’anti-France qu’est devenue Christiane Taubira, c’est la prison.

Et il se trouve des remparts de la bien-pensance pour défendre cette condamnation, oubliant sans doute que dans un pays libre, personne ne va en prison pour un photomontage, aussi bête soit-il.

Taubira s’attaque à nouveau à la famille : le divorce comme simple formalité

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Un rapport demandé par le garde des sceaux Christiane Taubira veut confier au seul greffier la procédure de « divorce par consentement mutuel », qui est aujourd’hui sous la responsabilité des magistrats.

Cette procédure représente plus de la moitié des divorces prononcés en France.

Le prétexte est économique et technique (engorgement des tribunaux), et le résultat sera de rendre le divorce (coup terrible porté à une famille) plus facile, plus attrayant : une simple formalité.

Un bouleversement que les magistrats accueillent avec un mélange de circonspection et de résignation.

Source et détails

Des millions de nazis ont déferlé sur Paris ces derniers mois !

si l’on se fie au commentaire très mesuré d’une certaine Sihem Souid, sur twitter :

Peut-être que pour elle un (véritable) Français, s’il est un peu propre et coiffé, ressemble déjà à un nazi ?
Fut-il en culotte courte.

Or, qui est cette personne à la lucidité et à l’orthographe perturbées ?

Il s’agit d’une conseillère de Christiane Taubira(t), le calamiteux ministre de la justice qui sévit depuis l’arrivée d’Hollande!

Notons au passage que Sihem machin était encore il y a peu simple « adjoint de sécurité ».
Elle a connu cette fulgurante ascension après avoir été lourdement sanctionnée par la hiérarchie policière fin 2010 : elle avait en effet sévèrement balancé sur l’institution qui la nourrissait, dénonçant dans un livre ce qui gangrène la police selon elle : « sexisme, racisme, homophobie »  etc.
Cela lui a valu (ainsi que son profil ethnique probablement), les faveurs enamourées de Taubira.

Bref, on ne peut que constater à nouveau que l’oligarchie au pouvoir est constituée de véritables fanatiques.