C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly

Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
« dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

Plus de détails sur ce site notamment.

Le chaos racial en Europe entraîne des morts

A Liège, en Belgique, un immigré maghrébin dénommé Nordine Amrani a attaqué la foule à coups d’explosifs et d’armes automatiques. On dénombre actuellement, parmi ses victimes, 5 morts et plus de 120 blessés.
Le plus fou, dans cette histoire, c’est que cette « chance pour la Belgique » avait été condamnée, il y a 3 ans, à 5 ans de prison ferme !
Et ce pour détention, chez lui, d’une dizaine d’armes très dangereuses (lance-roquette, AK47, fusils de précision, etc.)  et de 9.500 pièces (dont des silencieux), ainsi que pour la culture de 2.800 plants de cannabis !
Que fichait-il encore en liberté et dans ce pays ?!

En Italie, à Florence, un homme de 50 ans a ouvert le feu sur plusieurs étrangers africains avant de mettre fin à ses jours. Deux « vendeurs à la sauvette » ont succombé.
Les médias le présentent comme « d’extrême-droite ». Il est possible que l’homme ait « pété les plombs » face à la situation terrible dans laquelle l’immigration massive plonge l’Italie et de nombreux pays d’Europe.