Un jeune Maghrébin de Marseille, opposant au trafic de drogue, a vu son jeune frère assassiné par les narco-trafiquants arabes, vraisemblablement dans une optique d’intimidation.
Il a organisé une manifestation, à laquelle des politiciens du Système (donc directement responsables de la situation), telle l’horrible Yael Braun-Pivet, sont venus parader : les mêmes qui osent parler de « récupération » quand des personnalités patriotes, de manière beaucoup plus cohérente, évoquent des victimes de l’insécurité et de l’immigration…
Braun-Pivet vient poser sa tête de basset triste entre le frère et la mère de Mehdi Kessaci.
Dupond-Moretti à ses côtés.
Les mêmes nous accusent ordinairement de « récupération » et « d’indécence ». pic.twitter.com/GlHKGA6Yny
Comme nous nous y attendions, le si calamiteux Sarkozy n’aurait même pas fait trois semaines de prison… lui qui avait été condamné à 5 ans fermes.
Comme le commente Thibaut de la Tocnaye :
« Trois semaines de prison… un cauchemar… ?… grotesque… minable. Je ne supporte plus cette société médiatique surfaite, vulgaire et fausse. Dans ma famille et pour mes amis de #combats d’hier et d’aujourd’hui, cela a toujours été un honneur d’aller en #prison… il est vrai que ce n’était pas pour les mêmes raisons ! »
Effectivement on peut penser par exemple aux milliers de patriotes qui ont fait de longs et scandaleux séjours en prison, par patriotisme, vers 1961-1963.
A côté de ça, la bêtise de ses partisans (« la droite cocue ») donne une idée de l’infini :
la justice a révélé les revenus et le patrimoine de Nicolas Sarkozy en 2023 lors de l’audience :
– 637 791€ de salaires
– 152 906€ de retraite
– 1 331 056€ de capitaux mobiliers
– 2 342 008€ de revenus non commerciaux
– 9 923 874€ de patrimoine immobilier net en 2024
La cellule de Sarközy : une belle chambre d’étudiant, avec toilettes incluses (et téléphone ?!) ; il devrait survivre le temps que ses avocats le sortent de là…
Il est dommage qu’il n’ait pas de codétenu, comme la plupart des prisonniers. Avec rap à fond, volutes de cannabis, etc., il aurait pu mieux savourer cette « mixité » à laquelle il a voulu forcer les Français.
Cette socialiste de toujours a osé avec un grand culot attaquer frontalement la notion d’héritage, matériel du moins.
Mais on comprend qu’il y a chez elle cette haine gauchiste de la transmission et de la famille.
Mercredi dernier, elle déclarait sur France 2 :
« Les héritages qui, comme ça, passent de génération en génération, vous savez, le truc qui vous tombe du ciel, il y a un moment où ça suffit, ça peut se poursuivre comme ça sur des générations et des générations ; donc oui, moi je pense qu’il faut en tout cas taxer davantage les héritages, mettre ce sujet en débat » […] « la circulation des richesses de génération en génération ne se fait pas bien dans notre pays et ça n’est pas sain ». [source]
Une véritable folle furieuse communiste.
Rappelons quelques faits…
Taux maximum sur les droits de succession :
• France : 45% pour les enfants, 60% en ligne non-directe
• Portugal : 10%
• Italie : 4%
• Suède : 0%
• Autriche : 0%
• Estonie : 0%
• Lettonie : 0%
• Slovaquie : 0%
• Roumanie : 0%
• Algérie : 0%
• Maroc : 0%
• Australie : 0%
• Nouvelle-Zélande : 0%
Quand Braun déclare que « la circulation des richesses de génération en génération ne se fait pas bien dans notre pays », c’est d’abord à cause de l’étatisme !
De plus, les droits de successions sont immoraux et contreproductifs, car ils portent sur des biens ou de l’argent qui ont déjà été lourdement taxé. Tout argent épargné est déjà un rescapé de l’impôt. Le Français moyen paie entre 60 et 70% d’impôts sur l’argent qu’il gagne !
Et la République s’arroge le droit de vous retaxer lorsque vous mourrez. Une taxe sur la mort.
D’autre part, personne n’est motivé par l’idée de travailler pour l’Etat. Léguer quelque chose à ses enfants est une motivation très forte pour la grande majorité des gens non-atteints de phase terminale de gauchisme. Tout léguer à l’Etat à sa mort est un tue-l-amour. Il n’y a pas meilleur moyen pour démoraliser les gens, particulièrement ceux capables de créer des richesses.
Troisièmement : les droits de succession détruisent le tissu de PME.
Les PME ne peuvent en effet être léguées aux enfants facilement. Ces derniers n’ayant pas les liquidités pour acquérir ces structures ou payer les droits de succession, les propriétaires de PME sont forcés de vendre. Ils vendront à des entreprises plus grosses ou à de gros fonds financiers. Souvent, les PME doivent même être fermées, faute de repreneur. Ces droits de succession sont une catastrophe pour notre tissu économique local. La loi Dutreil aide dans certains cas, mais cela reste très restreint.
Quatrièmement : les droits de succession ralentissent très fortement l’économie.
Les parents n’étant pas capables de léguer leurs biens à leurs enfants de leur vivant sans être surtaxés, ils gardent cet argent pour eux. C’est autant d’argent qui ne se retrouve pas dans l’économie pour l’investissement et la consommation.
Cinquièmement : le succès se construit souvent sur plusieurs générations.
Les gauchistes et certains libéraux sont obsédés par une remise à zéro des compteurs à chaque génération. Il n’y a pas plus individualiste et nombriliste comme idéologie. La plupart des grands succès se construisent sur plusieurs générations.
D’ailleurs, combien de familles se saignent pour permettre à leurs enfants de faire de bonnes études ou investir dans l’affaire de leurs enfants?
Cette vision du monde où on ne travaille que pour soi et sa propre consommation est triste, démoralisante, presque laide.
Sixièmement, les Français sont déjà le peuple le plus taxé au monde.
Ils sont devenus les serfs d’une machine bureaucratique qui, de surcroît, fait n’importe quoi de ce qu’elle leur prend (administration pléthorique, commissions douteuses sur les travaux, financement du tiers-monde, des actes pseudo-médicaux contre-nature (avortements, mutilations sexuelles pour « transgenres »…), des associations de gauche, de l’immigration de remplacement, etc.)
Cette femme au prénom étranger, petite-fille d’un immigré polonais « ayant fui l’antisémitisme » dans les années 30, qui réside dans la zone bourgeoise du Vésinet (78), s’est déjà souvent illustrée par une idéologie cosmopolite délirante et mensongère :
Un nouveau gouvernement vient d’être nommé, on ne sait combien de temps il tiendra, mais – emblématique du régime – il offre une belle brochette d’intrus :
→ A l’Intérieur, l’horrible Laurent Nunez.
Cet individu, de race espagnole, qui fut l’adjoint du calamiteux Castaner, est d’abord un franc-maçon, ce qui explique – avec son zèle – sa carrière.
C’est un homme à l’esprit totalitaire, n’ayant aucun respect des libertés, ni d’ailleurs visiblement aucune morale.
C’est l’homme des tirs au LBD contre les braves Gilets jaunes (avant que l’extrême-gauche ne s’y substitue) : de nombreux Français ont été honteusement mutilés, de son fait et de celui de Castaner.
Nunez s’est illustré ces dernières années, en tant que préfet de police de Paris, par son zèle à empêcher des réunions de droite, des rassemblements patriotiques (même de quelques personnes), de paisibles colloques historiques, des pèlerinages ! Et même un hommage de quelques personnes auprès d’une tombe aux abords de Paris !
Et parfois au prétexte de « risques de propos ou de gestes contraires aux lois de la République » ! Un motif aussi fumeux et ridicule qu’arbitraire et idéologique. Un vrai totalitaire !
Par contre, face aux dévastatrices émeutes immigrées, il a fait profil bas…
→ Au logement, Vincent Jeanbrun.
Réputé l’otage des islamistes de sa ville (il fut maire de L’Haÿ-les-Roses de 2014 à 2024), il est poursuivi pour « l’attribution irrégulière de logements de fonctions » à son directeur de cabinet et à son chef de cabinet (2 maisons de 150m2 pour 700€ de loyer). Quel beau profil pour ce poste !
→ A la prétendue « Education nationale », Edouard Geffray. Il a été auparavant directeur de la Direction générale de l’enseignement scolaire, de 2019 à 2024, laquelle a envoyé en 2023 un questionnaire aux enseignants des enfants de CP à CM2 afin de vérifier s’ils faisaient bien des cours à propos d’« excitation », « émotions », « désir » et « plaisir », ou encore « égalité de genre » contre les « stéréotypes ».
En général, nous n’évoquons pas le physique des gens, mais lui confieriez-vous vos enfants?
→ A l’Économie : Roland Lescure.
Ce socialo-macroniste, fils de communistes, expliquait en 2021 qu’« on peut aussi imaginer, au-delà de 2030, que la France partage son siège au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies avec les autres nations européennes ». Il ne faudra pas compter sur cet apatride mental (il a d’ailleurs la « double nationalité ») pour faire preuve de patriotisme économique.
→ A la « Transition écologique » (donc l’Energie) : Monique Barbut.
C’est tout simplement une farouche militante antinucléaire !
Quand elle était présidente du WWF, peu auparavant, cette « escrologiste » a milité pour que l’UE nuise au nucléaire français…
C’est une folie (une de plus) de la placer à la tête de ce secteur stratégique pour le pays (auquel elle ne semble pas particulièrement attachée).
→ A la prétendue « Culture » : toujours Rachida Dati.
Cette étrangère fait l’objet d’une enquête pour avoir « oublié » de signaler, dans sa déclaration obligatoire de patrimoine auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, l’équivalent de 420 000 euros de bijoux !
D’où sort-elle tout cela d’ailleurs ?
Notons qu’elle avait dû déclarer déjà quelque 5,6 millions d’euros sous forme de biens immobiliers en France et au Maroc et de fortune financière.
Elle a par ailleurs été renvoyée cet été devant le tribunal correctionnel de Paris dans une autre affaire, au côté de l’ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn, pour corruption et trafic d’influence.
→ Ministère de la « Santé », des « Familles », de l’Autonomie et des Personnes handicapées : Stéphanie Rist.
Elle s’est déclarée favorable à l’euthanasie ! En contradiction totale avec l’intitulé de son ministère.
D’autre part, elle est soupçonnée de conflits d’intérêt avec « Big Pharma ». En effet, elle a déclaré 309 liens d’intérêt avec des laboratoires pharmaceutiques, pour un montant total d’environ 40 196 €, entre 2012 et 2017 (juste avant son élection comme député macroniste) : défraiements pour des congrès, invitations à des événements, « expertises » et interventions rémunérées. C’est un record parmi les députés médecins, selon une enquête de 2018.
→ A la Défense : une bonne femme qui n’y connait rien.
Un homme haineux et hargneux, qui fut particulièrement nuisible à la France
Le « Panthéon », qui est – rappelons-le – une église volée, confirme un peu plus son statut de déchetterie républicaine, avec la venue triomphale de Robert Badinter.
Enfin, venue symbolique, car c’est un cercueil vide qui a été porté solennellement dans l’édifice, la dépouille de ce « saint » du Système (mort en février 2024 à l’âge de 95 ans) repose toujours au carré juif du cimetière de Bagneux ; en effet, sa femme, la très malfaisante Elisabeth Badinter (riche socialiste, fille du fondateur de Publicis Marcel Bleustein), n’a pas voulu qu’elle soit déplacée. Elle a avancé un motif romantique (être enterrée avec lui à sa mort), mais le doute est permis : est-ce par exemple la croix qui s’élève encore au sommet du Panthéon qui gêne cette farouche « laïcarde » ?
La tombe du « grand homme » du moment a d’ailleurs été souillée d’un graffiti ce jeudi, provoquant une grande indignation médiatique. Or, si effectivement cet acte est lamentable (mais qui est l’auteur ? On n’est pas à l’abri, une nouvelle fois, de provocations), on ne se souvient pas d’un tel émoi à propos du véritable saccage de la tombe de Jean-Marie Le Pen (attaquée à la masse, la croix étant brisée en plusieurs morceaux), trois semaines après son inhumation ; d’ailleurs, depuis, l’enquête n’a pas avancé d’un centimètre…
Il faut rappeler en quelques mots qui était ce Robert Badinter. Fils d’immigrés juifs de Moldavie tout juste « naturalisés français » et sans attaches particulières, Robert Badinter devint professeur de droit et avocat, en droit commun et des affaires, faisant fortune dans ce deuxième domaine.
Mais il se rendit célèbre en tant qu’avocat de meurtriers, en combattant dans ses plaidoiries, avec grandiloquence, la peine de mort.
Il défendit notamment, avec succès, plusieurs assassins d’enfants… leur évitant la peine capitale.
Parmi ses dernières victoires, il y a le sauvetage de Patrick Henry, en 1977, qui avait enlevé et assassiné un garçonnet de 7 ans (l’étranglant, de face, tandis qu’il appelait son père à l’aide), ainsi que Mohamed Yahiaoui, en 1978, qui avait assassiné un couple de boulangers (défigurés au couteau et égorgés), ou encore, en 1980, Norbert Garceau, qui avait assassiné une jeune femme (alors qu’en 1953, il avait déjà étranglé une jeune fille de quinze ans et avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, puis libéré en 1972 !)…
Très hostile à la liberté de recherche historique et à la liberté d’expression, il consacra son dernier procès avant de devenir ministre de la Justice, à faire condamner Robert Faurisson, en 1981.
Parallèlement à sa carrière d’avocat, ce riche homme de gauche fut militant au parti socialiste et, cette même année, devint ministre de la Justice, sous Mitterrand.
Il s’illustra alors en présentant à l’Assemblée le projet de loi abolissant la peine de mort, qui fut adopté cette même année 1981.
Rappelons que la peine de mort n’était plus appliquée, dans les faits, depuis plusieurs années. Mais c’est une victoire symbolique forte pour Badinter, qui décapita ainsi l’échelle des peines traditionnelle.
Les assassins furent soulagés. Tant pis pour les victimes (en particulier celles qui seront victimes de récidivistes, et qui auraient donc été sauvées par la peine de mort)…
Cet homme imprégné d’idéologie cosmopolite s’est aussi, à ce poste, signalé par un renforcement de la domination du droit européen sur le droit français, ou encore par son soutien à l’homosexualisme le plus sordide : il a fait supprimer la disposition légale pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur… !
Oui : Badinter et ses compères socialo-communistes ont voulu que les mineurs puissent légalement (à partir de 15 ans) se faire sodomiser par des adultes…
Ils détruisirent ainsi un peu plus la civilisation et les protections qu’elle permettait envers les jeunes.
Devenu président du Conseil constitutionnel en 1986, il en a fait un bastion de la gauche (c’est toujours le cas, avec le sinistre Fabius à sa tête) et une arme du « gouvernement des juges » face au politique (et surtout, évidemment, face à la politique de droite). Charles Pasqua mit d’ailleurs à l’époque, déjà, en cause son impartialité lorsque le Conseil annula huit articles de sa loi sur l’immigration…
Derrière le masque du super-républicain, il y avait un communautariste véhément et vigilant, soucieux du bien-être des siens et endogame, mais qui parallèlement a passé son temps à culpabiliser les Français en dénonçant un fumeux racisme, incitant ainsi au génocide par métissage du peuple qui l’avait accueilli et enrichi ; c’était un faux gentil, dont le visage exprimait facilement la haine la plus féroce, la hargne la plus tenace, dès qu’il s’agissait des causes communautaires, qui prévalaient pour lui par-dessus tout ; c’était un faux humaniste, qui fut avec sa réforme le bienfaiteur des pires criminels, au mépris des victimes et au détriment des citoyens innocents ; c’était, évidemment, un faux sage, militant pour les pires causes et verrouillant le système au profit de la gauche, contre le principe démocratique.
Une belle canaille, un « saint » convenable pour ce régime désastreux à bout de souffle.
PS : ayons une pensée pour les victimes oubliées de l’affaire du talc Morhange, en 1972, quand 36 bébés moururent empoisonnés par du talc toxique, et que près de 200 autres furent gravement intoxiqués, certains restant lourdement handicapés. Badinter fut l’avocat du puissant PDG fautif, et au procès, s’en prit avec brutalité (dixit le JT de l’époque) aux parents dans l’épreuve, prétendant qu’ils étaient là pour l’argent, et ne manifestant aucune empathie envers ces membres endeuillés de la France populaire, laborieuse et honnête.
L’hôtel de Matignon (Paris VIIe), où se trouvent les bureaux du Premier ministre.
Le gouvernement de Sébastien Lecornu n’aura pas fait long feu : même pas 10h que la liste de ses ministres a été égrenée, dimanche soir, il a démissionné.
Cette valse, de plus en plus chancelante, des gouvernements illustre le fait que ce régime d’incurie et de nuisance est à bout de souffle. Il est désormais la proie du ridicule.
« À peine nommé, voilà le gouvernement de Sébastien Lecornu déjà démissionnaire. Du jamais-vu sous la Ve République : une équipe tout juste constituée a implosé à ciel ouvert, sans même que les passations de pouvoirs aient eu lieu. Le nœud de la crise ? Bruno Retailleau, fraîchement reconduit ministre de l’Intérieur, qui menace de claquer la porte en réaction principalement au retour surprise de Bruno Le Maire au ministère des Armées. Jusqu’en début de soirée dimanche, tout se déroulait pourtant de manière plus ou moins classique.
Après trois longues semaines d’attente et un week-end entier de négociations, de réunions secrètes et de coups de pression venus de toutes parts dans la coalition gouvernementale, le secrétaire général de l’Élysée a cru pouvoir enfin annoncer la composition du nouveau gouvernement, nommé «sur proposition du premier ministre». […]
Déjà sous la pression des socialistes et du Rassemblement national (RN) qui menaçaient de le renverser, le premier ministre pouvait s’enorgueillir d’avoir apaisé les tensions avec la droite. En partie grâce à la feuille de route qu’il avait fait parvenir à la droite et au bloc central, dans la nuit de samedi et dimanche, et dans laquelle il détaillait ses priorités. Mais c’était sans compter sur un rendez-vous décisif avec Bruno Retailleau, au cours duquel Sébastien Lecornu n’a manifestement pas été totalement transparent. […] » (source le Figaro)
La palme de la plus grossière duplicité politicienne revient à Bruno Le Maire, ancien ministre de l’Economie et des Finances, désormais conseiller spécial du groupe industriel ASML, qui donnait à L’Usine Nouvelle son premier entretien depuis son départ de Bercy, le 22 septembre 2025 :
Rentrerez-vous dans le prochain gouvernement ?
Cela est totalement exclu. J’ai fait le choix en juin 2024, après notre défaite aux élections législatives, de me mettre en retrait de la vie politique. J’ai considéré que nous n’avions plus les marges de manœuvre nécessaires pour agir clairement et fermement au service des Français. Je n’ai pas changé d’avis.
Deux semaines après, il signait comme ministre pour le gouvernement Lecornu !
Qui peut faire encore confiance à ce personnel politicien ?!
Visé par trois plaintes, le psychanalyste gauchiste Gérard Miller a été interpellé et placé en garde à vue pour « viols et agressions sexuelles ».
Il est accusé d’agressions sexuelles par au moins 10 femmes, dont plusieurs très jeunes lors des faits (moins de 25 ans, voire mineures).
Il aurait attouché les jeunes femmes en prétextant des séances d’hypnoses.
Pendant des années, cet étranger à papiers français (il est juif polonais), ce grand moraliste de gauche, féministe (!), chevalier de la Légion d’honneur évidemment, était invité par les chaînes de télévision et les radios pour y diffuser avec un ton hautain son idéologie cosmopolite et sa pseudo-science freudienne, contre les Français patriotes, pas gentils et attardés.
Çela se passe encore une fois de commentaires, non?
« Je propose d’inscrire dans notre Constitution un principe de non-régression sociétale.
Pour qu’aucune loi ne puisse revenir sur des droits, des progrès [sic], des conquêtes obtenues de haute lutte. »
Gabriel Nissim Attal, éphémère Premier ministre apprécié des éternels cocus de la droite du portefeuille, notoirement inverti, actuellement dirigeant du parti macroniste mal-nommé « Renaissance », donne dans la surenchère de gauche (pour ne pas dire l’hystérie).
Il veut triturer encore cette pauvre Constitution pour verrouiller les dernières lois de décadence et de perversion. Entre nous, elles ne sont pour l’instant guère menacées, la quasi-totalité du spectre politicien leur étant acquis ou étant trop peureux pour s’en prendre à la pseudo-morale de gauche.
Cette démarche de l’étranger Attal est toutefois caractéristique du totalitarisme de la gauche (gauche au sens large).
Ces gens n’ont depuis longtemps que le mot « tolérance » à la bouche, mais ils ne supportent pas qu’on pense autrement qu’eux, qu’on s’exprime autrement qu’eux, qu’on vote démocratiquement des lois différentes des leurs…
Quelle hypocrisie!
Je propose d’inscrire dans notre Constitution un principe de non-régression sociétale.
Pour qu’aucune loi ne puisse revenir sur des droits, des progrès, des conquêtes obtenues de haute lutte. pic.twitter.com/Ex73dDsSlO
L’étrangère à papiers français Najat Vallaud-Belkacem a été nommée à la Cour des comptes, « sur proposition du Premier ministre ».
Elle est nommée directement « conseillère maître » (le plus haut grade) à la Cour des comptes ! Pas de diplôme, pas de concours, pas de compétence comptable particulière justifiant une telle promotion.
Selon Le Canard enchaîné, François Bayrou aurait négocié ce poste pour éviter une censure de son budget par les députés PS, dirigés par Boris Vallaud… mari de Najat. Si c’est exact, c’est non seulement une grave infraction morale, mais aussi légale.
Mais on ne voit pas à quel autre titre, à part son appartenance à la franc-maçonnerie, peut légitimement obtenir ce poste cette femme dont l’obsession est la destruction totale de l’identité française, alors que ce pays l’a pourtant si généreusement accueillie, nourrie, promue.
Elle était auparavant présidente de l’association invasioniste France Terre d’Asile (qui a touché près d’un million d’euros de la mairie de Paris en 2024 : décidemment les Français payent et financent abondamment ceux qui veulent génocider leur peuple par remplacement).
Et elle est censée maintenant contrôler le bon usage des fonds publics à la cour des comptes ?! Quelle odieuse plaisanterie !
Ce député, bien qu’appartenant à la fausse droite européiste LR, s’était signalé en 2021 en dénonçant le « scandale Alsthom » (le ministre Macron vendant aux Américains une branche stratégique de ce géant et fleuron industriel français), avec un livre, les liquidateurs.
« Son corps était «inanimé, pendu par une corde attachée à une poutre, dans une chambre à l’étage de la maison d’habitation », a précisé le parquet de Chartres en fin de soirée dans un communiqué. «Des perquisitions du domicile et du véhicule» du parlementaire ont alors été «réalisées», dans le cadre d’une «enquête en recherches sur les causes de la mort».
Selon les premiers éléments de l’enquête, il n’aurait laissé aucun écrit. Une enquête a été ouverte afin de déterminer ce qui l’a conduit à passer à l’acte.
Le ministère public a par ailleurs annoncé qu’«un téléphone et des ordinateurs, saisis, vont être rapidement analysés afin de pouvoir retracer les dernières conversations ou échanges» d’Olivier Marleix, et «comprendre le ou les motifs de ce passage à l’acte dramatique.»
À ce stade, et au vu des «premières investigations et constatations médico-légales», «il peut être exclu l’intervention d’un tiers dans la survenance de la mort du député LR, la piste du suicide étant par conséquent privilégiée», a ajouté le parquet, qui laisse toutefois «l’autopsie du corps» prévue mercredi matin à l’IML (Institut médico-légal) de Rouen «confirmer» cette «conclusion provisoire». […] (source)
Nous avons déjà eu l’occasion d’évoquer la pitoyable décadence de l’association dite des « Scouts et guides de France », qui s’est enfoncé au fil des ans (et depuis longtemps) dans le gauchisme sous toutes ses formes.
La boucle est bouclée avec cette élection interne.
Il faut être fou pour mettre ses enfants dans un tel mouvement, alors que de nombreuses autres associations de scoutisme existent.
« Ce samedi 14 juin, le conseil d’administration s’est réuni pour la première fois depuis l’assemblée générale 2025. Il a élu la nouvelle présidente du mouvement Scouts et Guides de France. Il s’agit de Marine Rosset. » Voici la dernière grande nouvelle annoncée par la plus grande association de scoutisme en France. Mais qui est donc la nouvelle figure de proue du mouvement ?
Retraçons brièvement le parcours politique public du médiatique Erik Tegner (nous éviterons d’aborder les aspects personnels).
Il naît en 1993 dans une famille pour partie liée à la droite nationale : son grand-père Marcel Chéreil de La Rivière était un proche de Jean-Marie Le Pen et un royaliste légitimiste de premier plan.
Erik Tegner adhère en 2011 au Front national mais, déçu par l’étatisme de Marine Le Pen, il soutient le cosmopolite antifrançais Nicolas Sarközy à l’élection présidentielle de 2012.
Il rejoint en 2014 le parti de « droite » immigrationniste et euro-mondialiste, l’Union pour un mouvement populaire (UMP), parti devenu Les Républicains (LR) l’année suivante.
En 2017, il est responsable des jeunes de DroiteLib, groupuscule libéral au sein de LR.
En août 2017, il fait publier dans le Nouvel Observateur une tribune pour dénoncer le désir d’une partie de LR de s’allier avec le FN. Morceaux significatifs :
Non seulement la droite renierait des décennies d’engagement républicain en s’alliant avec un parti dont les fondations reposent sur un socle profondément démagogue et intolérant [sic], mais surtout elle se suiciderait en choisissant cette voie mortifère et contraire aux intérêts des Français. […] Car ne nous y trompons pas : l’ennemi est Marine Le Pen, qui rêve d’incarner l’opposition en détruisant la droite et en ne laissant aux Français que l’alternative des extrêmes [sic] face à Emmanuel Macron. […]
Parallèlement, le contrôle de l’immigration doit figurer au cœur de notre projet. Mais celle-ci ne doit pas être portée par les partisans d’une France identitaire et repliée sur elle-même [sic]. La droite doit rappeler que si elle souhaite lutter contre l’immigration clandestine et économique, c’est pour mieux intégrer et accueillir ceux qui en ont réellement besoin [sic]. […] Nous ne voulons pas lutter par principe contre l’immigration, à la différence du Front national, mais nous voulons la contrôler. Nous ne voulons pas prôner une France catholique opposée aux musulmans, mais nous voulons lutter contre toute forme de communautarisme et garantir la laïcité, tout en assumant notre héritage judéo-chrétien [sic]. […] Alors oui, si la droite arrive à se construire une colonne vertébrale idéologique et à ne pas tomber dans un identitarisme fou, elle parviendra à détruire le Front national et à incarner la véritable opposition, celle qui donne la parole au peuple, à tout le peuple. […] Face au centralisme jacobin de Marine Le Pen, au nationalisme de son parti, à l’insouciance de son projet économique et à l’intolérance de son idéologie, répondons par plus de décentralisation, plus de démocratie, plus de rigueur et d’exemplarité, et enfin plus de résultats. Pour une droite fière de ses valeurs, et bien dans son siècle.
Quelques mois plus tard, il s’affiche en partisan d’une « union des droites » incluant le RN !
Qui peut savoir ce qu’il pense vraiment ?
Très ambitieux, il se porte candidat à la présidence des Jeunes Républicains en 2018, en vain.
En , il lance son propre mouvement conservateur, « Racines d’avenir », qui restera une coquille vide.
Il est exclu de LR en décembre 2019, par le secrétaire général, le gauchiste Aurélien Pradié, qui lui reproche sa proximité (réelle) avec Marion Maréchal.
En 2021, il fonde avec deux personnes la chaîne YouTube Livre noir, qui réalise des entretiens avec diverses personnalités. Mais à l’occasion de la guerre en Ukraine, l’équipe se disloque, les employés s’en vont, et Tegner (très partisan de la Russie) va chercher de l’aide (et des fonds ?) du côté de soutiens du Kremlin ; ses deux désormais ex associés déposant plainte pour « abus de bien social » à son encontre. (source)
Eric Zemmour permettra de « lancer » véritablement Livre noir en lui accordant, alors qu’il est au cœur de l’attention publique, un entretien très regardé.
Ayant acquis enfin une certaine visibilité médiatique, Tegner encourage et soutient Eric Zemmour lors de la campagne présidentielle de 2022. Avant de le poignarder, au mois de mars.