Piscines allemandes : entre agressions immigrées et propagande antiblanche

Il y a quelques jours, nous apprenions que huit fillettes avaient été agressées sexuellement par des migrants syriens dans une piscine, en Allemagne, à Gelnhausen. Les coupables ont été interpellés puis relâchés… Tandis que le maire Christian Litzinger imputait les incidents aux “esprits qui s’échauffent parfois par forte chaleur”… (ils sont aussi pourris que nos politiciens français). [source]

Or voici que l’on découvre les affiches de prévention contre les agressions sexuelles dans les piscines allemandes :

De la folie (antiblanche) furieuse !

Documentaire de France 2 sur le « racisme » : un bel exercice de manipulation antifrançaise

Alors que des événements graves secouent la planète, la chaîne publique a prétendu fournir mardi soir un documentaire scientifique sur le racisme dont les Français seraient imprégnés (tellement racistes qu’ils sont sur le point d’être remplacés sans broncher !), et dont il faut qu’ils se soignent…
Une misérable propagande à base de saynètes dépourvues de tout caractère scientifique

Le but de cette opération présentée par Marie Drucker et d’autres militants cosmopolites était évidemment encore une fois de culpabiliser les Français et leur intimer d’accepter le changement de peuple.

Un exemple de saynète :


Commentaire pertinent d’un internaute sur cette séquence de manipulation :

Je vois surtout que les enfants blancs accusent le Noir et les enfants noirs accusent le Blanc.
Mais comme il y a plus d’enfants blancs ils concluent « les enfants accusent le Noir »
Non. Les enfants accusent celui qui leur ressemble moins. Alors oui, c’est sans doute la base du racisme, mais ça n’a rien à voir avec la culture ou la Reine des Neiges, comme le commente sottement LJB. C’est beaucoup plus profond et inné que ça.

Peut-être aussi que certains enfants ont entendu leurs parents décrire le réel (qui vole en général le goûter des autres ? qui agresse en général ? ce n’est plus du préjugé, mais plutôt l’expérience des faits).

Un peu dans la même veine :

C’est tout simplement un sentiment naturel de proximité avec ce qui nous ressemble, ce qui nous est plus familier.

L’animateur, plus militant que scientifique, Jamy Gourmaud – désormais définitivement déshonoré en plus d’être traître à son peuple – assène gravement : « Nos préjugés sont capables de nous faire voir des choses qui n’existent pas. »
Voyez-vous le sous-entendu ?

Mathieu Kassovitz en rajoute : les Français de souche sont « des fins de race » selon lui

Après avoir déclaré que les « Français de souche ça n’existe plus », le comédien et cinéaste (lui-même demi-français, et le vivant probablement mal, comme beaucoup) revient à la charge : finalement les Français de souche peuvent exister, mais ce sont alors des « fins de race »…
Toujours pas une réaction négative sur le plateau. Mais il est vrai que les gros médias prétendent que le racisme antiblanc n’existe pas…

Imaginez que vous – Français de race si vous en êtes – alliez vous installer en Thaïlande par exemple, y fassiez fortune, et déclariez ensuite sur les médias thaïlandais que les vrais Thaïlandais, ça n’existe plus, ou que ce sont des fins de race…
Non, c’est inconcevable… Il n’y a qu’en France et peut-être dans un ou deux autres pays européen dégénéré qu’on peut entendre cela.

Le discours des remplacistes oscille ou va alterner entre deux propositions contradictoires :
1) le « grand remplacement n’existe pas, c’est un fantasme ».
2) le « grand remplacement a eu lieu, c’est fini, inutile de lutter ».

Evidemment, c’est faux dans les deux cas, et l’objectif est de démoraliser, de résigner l’ennemi à abattre : ici l’ethnie française, mais celle-ci dispose encore de quelques dizaines de millions de représentants, dont beaucoup – et de plus en plus nombreux – résistent aux sirènes du métissage tant promu par l’oligarchie économique, médiatique et politique depuis des décennies.

Nous laisserons le mot de conclusion à ce portail au festival de Cannes, un portail d’extrême-droite probablement :

► voir aussi : Carla Bruni et « le vieux sang pourri » des Français.

L’animateur Mustapha El Atrassi : « Le temps qu’on perd à s’insulter entre Marocains et Algériens, c’est du temps perdu pour insulter les Gwers »

Mustapha El Atrassi est un animateur « franco »-marocain (qui est né et a grandi dans le Berry…) sévissant depuis près de vingt ans sur les ondes en France ; il a été chroniqueur dans des émissions assez célèbres (chez Ruquier, Ardisson), et en a animé d’autres.
Il se veut aussi humoriste.
Dans cet extrait diffusé sur internet, il déclame devant son public visiblement maghrébin : « Le temps qu’on perd à s’insulter entre Marocains et Algériens, c’est du temps perdu pour insulter les Gwers ».
Gwer est un terme utilisé au Maghreb pour désigner de façon injurieuse le Blanc.

Un spectateur blanc quitte alors la salle (voilà un vrai homme), et El Atrassi  en rajoute.

Un racisme décomplexé, courant, et autorisé, de la part d’une personnalité du monde médiatique (il a été en couple quelques années avec l’animatrice de gauche Anne-Elisabeth Lemoine)…

Au passage, nous vous signalons que la sœur de ce francophobe a écrit un livre autobiographique (Louve musulmane), dans lequel elle évoque ses déboires familiaux. Elle y consigne quelques faits de nature à conforter les prétendus « stéréotypes », comme le rapporte un internaute :

Quand ils sont arrivés en France, il n’y avait pas d’antivol ni de vigile dans les magasins, alors piller les magasins était l’activité préférée de la fratrie pendant leur adolescence. A un moment elle écrit : heureusement que je volais, sinon il n’y aurait pas eu beaucoup de meubles dans l’appartement.
[…] Ils sont élevés dans un climat tellement violent et raciste, que pour eux c’est normal et naturel de voler les Gwers. Dans un autre chapitre, on peut lire que son père essaye de la noyer dans la Méditerranée pendant les vacances, parce qu’il préfère avoir des fils que des filles. Qu’il remplit sa voiture d’électroménager volé dans l’entreprise où il travaille, avant chaque départ au bled. […]

Dans quelle autre partie du monde un peuple tolèrerait-il que des étrangers se comportent ainsi envers lui ?

« Service public » : le cinéaste Mathieu Kassovitz déclare que les « Français de souche, ça n’existe plus »

et ce n’est pas pour s’en désoler, mais pour s’en réjouir !

En effet, invité sur le service public, l’acteur et réalisateur a profité donc de nos impôts pour déclarer, dans une ambiance complice, sa haine du peuple français :
« Le problème qu’on a en France, c’est le racisme (…) J’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus. »

Les partisans du Grand Remplacement des Français oscillent entre deux discours : « le Grand Remplacement n’existe pas, c’est un fantasme », ou alors, « c’est trop tard ».
Dans les deux cas, l’objectif est de désarmer moralement les Français authentiques face à une menace grave, alors qu’ils peuvent encore la conjurer s’ils se réveillent.
Près de la moitié des naissances en France maintenant concerne des immigrés ou des métis, mais les autochtones de France (descendants directs des Gaulois) sont tout de même encore environ 45 millions.
Pour en revenir à ce Kassovitz, dont le père est juif hongrois, il souffre visiblement – comme beaucoup d’autres enfants issus de couples mixtes (sa mère est française a priori) – d’un trouble de l’identité, qui se traduit par un mal-être (il a l’air d’ailleurs dépressif). Déchiré, il ne supporte pas que d’autres puissent avoir une identité nationale nette : il veut que cette identité disparaisse. Une sorte de jalousie, en bref.
Mais elle peut être destructrice quand cette hostilité sournoise est massivement diffusée ; et ce discours suinte des médias et des productions audiovisuelles, de même que l’incitation au métissage des Français (sur une grande part des affiches publicitaires depuis plusieurs décennies).
C’est une volonté génocidaire qui est à l’œuvre : un génocide par substitution de peuple.

Quant à l’argumentation du comédien, pour revenir à lui, elle laisse pantois. Comme l’écrivait quelqu’un, c’est comme déclarer « Le tigre de Sumatra est en voie d’extinction. Il ne reste plus que 400 individus à l’état sauvage. Espérons que la déforestation et le braconnage achèvent le travail. »
De plus, s’il n’y a plus de « Français de souche », qui exprime ce « racisme » qui serait le principal problème du pays selon ce malade mental ? Il se contredit ridiculement.
Pour l’anecdote – révélatrice de l’incohérence des gens de gauche en général – ce Kassovitz est engagé dans la lutte pour l’environnement et la défense de la biodiversité… Mais pas la biodiversité humaine visiblement !

Bruno Retailleau : « Nous ne sommes pas une nation ethnique mais une nation civique; et ça, ça change tout. »

Pour l’éveil des naïfs, il est bien que Retailleau – succédané de Philippe de Villiers qui séduit la droite bourgeoise/catho – exprime aussi clairement, lors d’une conférence de presse, sa vision de la France : une entité abstraite, sans identité réelle, une sorte d’association d’individus reliés par des « valeurs » (républicaines en l’occurrence).
Ici à 2min56 :

Une vision issue de la Révolution partagée d’ailleurs par la plupart des associations (même monarchistes) et « influenceurs » qui se réclament du souverainisme, et bien sûr partagée par tout le personnel politique (à l’exception de Zemmour), de Mélenchon à Marion Maréchal en passant par Marine Le Pen.

Retailleau se trompe, ou ment. C’est un parfait traître à son peuple.
Il confond France et République, c’est clair dans son discours, et pour lui être français se réduit « à un sentiment d’appartenance ». D’appartenance à quoi ? A la République, vraisemblablement, puisque la France n’a pas d’identité propre pour ces gens.

Or la France est une réalité historique : un peuple qui n’a sur le plan racial quasiment pas changé depuis l’époque gauloise. Les Français descendent tous de cette population originelle, il y a bien évidemment une identité ethnique de la France.

Evidemment la conception de Retailleau et de la caste politico-médiatique, « ça change tout » :

Image

Le Ministère de l’Intérieur illustre une campagne contre les « rodéos urbains » avec un Blanc lambda

Le Ministère de l’Intérieur (et ce n’est pas le seul :  RATP, SNCF, ministères en tous genres sont coutumiers du fait) s’acharne à désigner les Français moyens dans des campagnes qui dénoncent des comportements dont ils ne sont quasiment jamais responsables, mais qu’ils subissent de la part d’étrangers…

Cette fois, c’est à l’occasion d’une communication contre les « rodéos urbains » :

en vrai :

extrait d’un clip de rap

20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

Il y a à peine soixante ans…

Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française et toujours au pouvoir en Algérie – avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.
Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

Souvenons-nous aussi comme des voisins chaleureux et ceux que l’on croyait des « amis » se sont transformés du jour au lendemain.

Description puis témoignage :
Continuer la lecture de « 20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande » »

Décès de Geneviève Poirot, dite « de Fontenay »

undefinedA l’âge de 90 ans, vient de rendre l’âme Geneviève Poirot, née Mulmann – se faisant appeler prétentieusement « de Fontenay ».

Elle est connue pour avoir longtemps dirigé – de 1981 à 2010 – l’organisation de « Miss France », événement que les plus réacs d’entre nous comparent à une sorte d’impudique foire aux bestiaux, dévalorisante pour les femmes.

En 2013, elle avait soutenu « la Manif pour tous » et en 2017, s’était affichée avec Philippot, tout en expliquant qu’elle était toujours de gauche : « J’ai toujours voté à gauche, sauf quand j’ai voté Jacques Chirac contre Le Pen ». Elle avait à plusieurs reprises soutenu la rouge enragée Arlette Laguiller…

Rappelons surtout l’extrait délirant d’un entretien que la Poirot avait donné au Point en 2013 – et qui montre bien la vraie nature de l’antiracisme officiel, promu par la caste politico-médiatique (et qui est en réalité un racisme antiblanc et antifrançais) :

« La France a toujours été un pays multiracial [sic], et notre peuple serait bien plus laid – je parle physiquement – s’il n’avait digéré tous ces mélanges : les Polonais, les Portugais, les Espagnols, les Africains…
Regardez comme les gens du Sud sont beaux par rapport à certaines régions en province, là où il y a peu de brassage.
L’Amérique du Sud reste pour moi un modèle : je suis toujours stupéfaite par la beauté de ces peuples. Alors qu’en France ce n’est pas le cas partout… Il faut que ce pays apprenne à accepter la différence. Avant de mourir, je rêve de voir élue une Miss d’origine maghrébine
. »

Vous pensez que ces propos aberrants et mensongers sont du racisme à l’état pur ?
Non non ! Dans ce sens, ça s’appelle de l’antiracisme !

Rions un peu avec… France Culture

Cette radio publique de gauchistes arrivera toujours à nous surprendre ! C’est normal : le gauchisme est une maladie mentale qui se traduit par une fuite en avant sans fin.

Aujourd’hui « France » « Culture », doublement mal nommée, nous parle du sida. Bon, la conclusion, on la connaît, c’est forcément et toujours la faute de l’Homme blanc, quel que soit le sujet.

La violence dans les collèges vue par des journalistes de gauche (et leur haine du réel)

Ah, ces méchants Blancs qui menacent, rackettent et frappent les gentils étrangers, quel fléau !

Vous aussi, vous vous souvenez de ces bandes de jeunes Français au collège?
Dans la cour, un groupe de Mathieu, Marc, Luc ou Jean faisaient régner la terreur. Ils saccageaient absolument tout sur leur passage. Les filles avaient peur des attouchements (ou pire). Les petits Mahomet ou Mamadou ou Karim se faisaient en permanence racketter ou lyncher (particulièrement en période de Carême).

Sérieusement, ces journalistes sont vraiment les pires des crapules…
Ils envoient leurs crachats sur un peuple à terre, en train de disparaître honteusement.
Vivement que ces gens soient traduits en justice dans une France retrouvée.

Une agression raciste contre le père Argouarc’h

Le père Argouac’h, de l’œuvre éducative de Riaumont, est un prêtre traditionnel très dévoué auprès de la jeunesse et apôtre de la pédagogie scoute.

Communiqué de l’Agrif et Bernard Antony :

« Alors qu’il attendait à une station-service de se fournir en carburant, notre ami le très dévoué père Jean-Paul Argouarc’h a été d’abord l’objet, en raison de son habit, de graves injures racistes, proférées par un individu de type maghrébin hurlant sa fierté d’être un fils de fellagha.

Après quoi, ce forcené s’en est pris physiquement au père, lui portant notamment un très violent coup de poing au bras gauche.

Après cela, le père Argouarc’h a fait l’objet d’un constat médical et a déposé plainte dans le commissariat de police le plus proche.

Naturellement l’AGRIF, saisie par le père en la personne de son avocat, se constitue partie civile pour que la plainte aboutisse. »

Voilà où nous en sommes, en France envahie : les Français se font attaquer parce qu’ils sont français, les prêtres attaqués par qu’ils sont prêtres…
Jusqu’à quand le peuple français va-t-il tolérer cela ?!

« L’Équipe » publie un dessin antiblanc ridicule

Le pauvre arbitre arabe qui se fait agresser par une Française.
C’est un peu comme dans la si nuisible série « Plus belle la vie », où l’on voyait des jeunes Français tabasser un Arabe pour une cigarette…
Tous ceux qui savent (et les autres devinent) ce qui se passe sur les terrains de football mesurent l’ignominie de ce dessin et de ceux qui le publient.