« Léon XIV : de l’espoir au doute, du doute à la déception »

Le célèbre vaticaniste italien Aldo Maria Valli fait le point, avec un certain chagrin, sur les débuts du pontificat (réel ou prétendu) de Léon XIV, en rappelant le point de vue catholique là où il fait défaut :

« Aujourd’hui, Francis Robert Prevost, le pape Léon XIV, fête ses soixante-dix ans et nous lui adressons nos vœux les plus sincères. […] J’éprouve pour lui une sympathie instinctive. J’aime son ton un peu effacé, son sourire d’homme réservé et peut-être même timide. J’aime le fait qu’il ne se présente pas comme un homme de spectacle.

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3e Dimanche de l’Avent (textes et commentaires)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le connaissaient nos ancêtres).

« Toute cette messe est imprégnée des sentiments de joie dont l’Église, émue à l’approche du Sauveur, veut pénétrer nos âmes. « Le Seigneur est proche, dit l’Épître, réjouissez-vous » ; et dans l’Évangile, nous voyons Jean le Précurseur qui annonce la venue du Messie, qui en dit les grandeurs et qui s’efface devant lui. Attendons dans une sainte joie   « la grâce de la visite de Dieu ». (Oraison) »

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) :

« La joie de l’Église s’accroît encore dans ce Dimanche. Elle soupire toujours après le Seigneur ; mais elle sent qu’il approche, et elle croit pouvoir tempérer l’austérité de cette carrière de pénitence par l’innocente allégresse des pompes religieuses.
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2e Dimanche de l’Avent (textes et commentaires)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel).

Jean, dans sa prison
St Jean-Baptiste, de sa prison, envoie ses disciples questionner Jésus.

« Reprenant la prophétie d’Isaïe, saint Jean-Baptiste, le dernier des prophètes et le précurseur immédiat du Sauveur, invitait les foules de Palestine à reconnaître en Jésus de Nazareth le Messie attendu, celui qui rend la lumière aux aveugles, ressuscite les morts et annonce aux pauvres la bonne nouvelle du salut. C’est encore sa voix et celle des grands prophètes d’Israël que l’Église nous fait entendre (Intr., Évangile). Mais le peuple de Dieu s’est accru de toutes les nations qui peuplent la terre et la Jérusalem nouvelle s’est étendue aux dimensions du monde. Saint paul déjà le proclamait (Épître) ; l’Église le redit après lui, invitant tous les hommes à se tourner vers le Christ ; et à se lever pour accueillir dans la joie le salut que Dieu leur envoie (Comm.). »

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) :

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Bonne fête de saint Nicolas !

saint-nicolas-viveLe 6 décembre, c’est la Saint Nicolas, évêque de Myre (Anatolie du sud-ouest).
Un grand saint populaire aussi bien en Occident qu’en Orient, et dont est inspiré le très laïc « Père Noël », qui l’a hélas largement remplacé.

Les miracles attribués à saint Nicolas sont si nombreux qu’il est le saint patron de beaucoup : navigateurs, écoliers, prisonniers, avocats, etc.
Le fait extraordinaire le plus célèbre qui lui soit attribué est la résurrection de trois enfants qui avaient été tués par un boucher.

Saint Nicolas et Pierre le noir en Belgique. Bientôt interdit pour racisme ?

La Saint-Nicolas est une fête principalement tournée vers les enfants. C’est une tradition encore vivace dans plusieurs pays européens (du Nord et de l’Est). En France, c’est surtout au Nord et Nord-Est (en Flandre française, dans les Ardennes, en Franche-Comté, en Alsace où elle est fortement ancrée, et en Lorraine dont saint Nicolas est le saint patron).
Les traditions diffèrent selon les régions.
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1er Dimanche de l’Avent (textes et commentaires) – Début de l’année liturgique

Nous vous proposons une présentation liturgique de ce dimanche (rite catholique traditionnel), qui marque le début de l’année ecclésiastique.

« L’Église, chargée par Dieu de nous sanctifier, a établi dans son Cycle liturgique une méthode de sainteté qui a pour but d’assimiler nos âmes à Jésus car, dit saint Paul, le Père nous a prédestinés « à devenir conformes à l’image de son Fils ».
La liturgie célèbre donc chaque année les différents anniversaires des principaux évènements de la vie du Sauveur afin de nous montrer les vertus que pratiqua le divin Maître et de nous permettre d’en recevoir toujours davantage les effets salutaires. Aussi chaque Temps liturgique représente-t-il une phase de la vie de Jésus et nous assure-t-il des grâces spéciales. Il importe donc de connaître l’esprit de ces Temps et de maintenir toujours notre âme dans les dispositions voulues pour qu’elle profite de l’efficacité qui leur est propre. Si nous le faisons chaque jour de l’année, c’est l’Église elle-même, notre Mère, qui nous guidera et nous conduira jusqu’au ciel. »

Dom G. Lefebvre

« C’est sous les auspices de la Vierge que s’ouvre l’année ecclésiastique. C’est en effet dans la basilique de sainte Marie Majeure que tout le peuple de Rome se réunissait autrefois en ce premier dimanche de l’Avent. Toute  la messe de ce jour nous prépare au double avènement (adventus) de la miséricorde et de la justice. C’est pour cela que saint Paul nous dit, dans l’Épître, de nous dépouiller du péché, afin qu’étant prêts à la venue du Christ comme sauveur, nous le soyons aussi à sa venue comme Juge, dont nous parle l’Évangile. »

Dom G. Lefebvre

« Notre Seigneur et Rédempteur, désirant nous trouver prêts, nous annonce les maux qui doivent accompagner la vieillesse du monde, pour nous détourner de son amour. Il nous fait connaître les maux qui précéderont sa fin prochaine, afin que, si nous ne voulons pas craindre Dieu dans la tranquillité, nous redoutions au moins son prochain jugement et soyons comme atterrés par les coups de sa justice. »

saint Grégoire, Pape.

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
sur l’Avent en général puis la messe du jour

(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) :

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Dernier dimanche après la Pentecôte (textes et commentaires)

Nous vous proposons les textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), selon le calendrier traditionnel, avec des commentaires autorisés.

Le Jugement dernier

« Le Cycle liturgique se termine avec cette dernière semaine de l’année ecclésiastique et avec lui l’histoire du monde qu’il nous a rappelée depuis ses origines au Temps de l’Avent jusqu’à son terme final en ce 24e Dimanche après la Pentecôte. – Cette messe a en effet un caractère prophétique. Elle nous fait assister aux convulsions qui agiteront notre terre au moment où apparaîtra le Juge qui rendra à chacun selon ses œuvres. (Év.). Aussi nous exhorte-t-elle, avec l’apôtre, à nous conduire d’une manière digne du Seigneur et à fructifier en toutes sortes de bonnes œuvres. (Ép.) »

Dom G. Lefebvre

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Messe du 23e Dimanche après la Pentecôte (textes et commentaires)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Le Temps après la Pentecôte est le symbole du long pèlerinage de l’Église vers le ciel; aussi les derniers Dimanches de l’année liturgique nous en décrivent les dernières étapes. – À la fin du monde, prédit un jour le Seigneur, il y aura une telle recrudescence du mal que la charité de beaucoup se refroidira. Les épreuves s’abattront alors écrasantes sur l’Église, comme elles s’étaient abattues autrefois sur la Synagogue. (Ép.) – Toutes deux sont en effet figurées, explique Saint Jérôme dans son homélie sur l’Évangile, par les deux femmes que Jésus guérit. L’hémoroïsse toutefois est rendue la première à la santé et la fille du prince de la Synagogue la deuxième, car l’apôtre a dit : « lorsque la plénitude des Gentils sera rentrée, alors tout Israël sera sauvé. » »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER (dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :

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Dédicace de l’Archibasilique du Très Saint Sauveur – textes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec des commentaires préalables.

« La constitution divine de l’Église est hiérarchique, hiérarchie des ministères du Pape aux évêques par la succession apostolique, de l’évêque au curé par la mission donnée par le Pasteur du Diocèse, du curé aux fidèles par l’éminente responsabilité du curé sur chacune des âmes du peuple de Dieu qui lui sont ainsi confiées par l’Église.

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Messe du XXIe dimanche après la Pentecôte (textes et commentaire)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« La loi de charité et de miséricorde, rappelée par l’Évangile, est présentée dans son exigence absolue, comme la réplique nécessaire de la manière dont Dieu agit envers nous ; pardonnés par Dieu, sous peine d’être condamnés sans pitié, nous devons remettre toute dette et pardonner à nos frères. 
L’apôtre s. Paul décrit au chrétien l’armure dont il doit se revêtir pour être à même de résister efficacement aux puissances du mal (Ép.). S’il s’arme ainsi de la force même de Dieu, à qui rien ne résiste, le chrétien peut se sentir en sécurité et d’avance se réjouir de la victoire (intr. et coll.) »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER (dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :

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Bonne fête de la Toussaint ! (et textes commentés de la messe)

C’est, dans l’Eglise catholique, la fête de tous les saints connus et inconnus (ceux qui peuplent le Ciel, « l’Église triomphante »). Elle est célébrée le 1er novembre.

« La solennité de tous les saints nous met devant les yeux la foule immense des rachetés, pour nous dévoiler l’avenir auquel nous sommes appelés. Elle doit aussi nous rendre conscients de notre solidarité avec ceux qui nous ont précédés victorieusement dans le monde invisible. Vivant près de Dieu, ils intercèdent pour nous ; ils sont des puissances dans nos vies. » (Liturgie des heures)
Introït de la messe du jour :
« Réjouissons-nous ensemble dans le Seigneur, car la fête que nous célébrons aujourd’hui est celle de tous les Saints. Cette solennité réjouit les Anges et tous en chœur louent le Fils de Dieu.
Justes, exultez dans le Seigneur : aux cœurs droits convient sa louange. Alléluia. »
Et collecte :
« Dieu tout-puissant et éternel, qui nous avez accordé de célébrer dans une même solennité les mérites de tous vos Saints ; faites, nous vous en prions, que nos intercesseurs étant multipliés, une abondante effusion de vos miséricordes, objet de nos désirs, nous vienne de votre munificence. »

Le 2 novembre (ou le 3, si le 2 tombe un dimanche), c’est « le jour des morts » : pensez à eux, priez pour eux, tâchez ces jours-ci de vous recueillir au cimetière sur les tombes de vos proches ou parents. Il y a des indulgences plénières à gagner pour les défunts.

Le choix de ces dates par l’Église fit coïncider ces célébrations avec l’antique fête celte de Samain (Samonios, en Gaule) qui se tenait le 1er novembre, marquant l’entrée dans la saison sombre et caractérisée par une « ouverture sur l’autre monde ».

Attention, pour les catholiques, la Toussaint est une fête d’obligation (avec quatre autres, en France).

TEXTES DE LA MESSE AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER (dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :

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Messe de la Fête du Christ-Roi et encyclique Quas Primas contre le laïcisme

Nous vous proposons les textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), suivis de commentaires autorisés. Célébrée le dernier dimanche d’octobre dans le calendrier liturgique traditionnel, cette fête fut instaurée en 1925 par Pie XI avec son encyclique Quas Primas (qui dénonce surtout le laïcisme, entre autres erreurs modernes), que vous trouverez en fin de cet article.

« En instituant la fête du Christ-Roi, le pape Pie XI a voulu proclamer solennellement la royauté sociale de N-S Jésus-Christ sur le monde. Roi des âmes et des consciences, des intelligences et des volontés, le Christ est aussi le roi des familles et des cités, des peuples et des nations, le roi de l’univers entier. Comme Pie XI l’a montré dans encyclique Quas Primas du 11 décembre 1925, le laïcisme est la négation radicale de cette royauté du Christ ; en organisant la vie sociale comme si Dieu n’existait pas, il engendre l’apostasie des masses et conduit la société à la ruine.
Toute la messe et l’office de la fête du Christ Roi sont une proclamation solennelle de la royauté  universelle du Christ contre le laïcisme de notre temps. Fixée au dernier dimanche d’octobre, vers la fin du cycle liturgique et jusqu’à la veille de la Toussaint, la fête du Christ Roi se présente comme le couronnement de tous les mystères du Christ et comme l’anticipation dans le temps de la royauté éternelle qu’il exerce sur tous les élus dans la gloire du ciel. La grande réalité du christianisme, c’est le Christ ressuscité régnant dans tout l’éclat de sa victoire au milieu des élus qui sont sa conquête. »

Dom G. Lefebvre

« Introït (Apoc. 5, 12 ; 1, 6.) :
L’Agneau qui a été égorgé, est digne de recevoir la puissance, la divinité, la sagesse, la force, l’honneur. A Lui la gloire et le pouvoir dans les siècles des siècles.
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Livre en prison : le mauvais choix de Sarközy

Le malfaiteur présidentiel continue à faire de mauvais choix.

Il a voulu prendre une biographie de Jésus pour s’occuper en prison, et c’est très bien, mais il a hélas pris celle de Jean-Christian Petitfils, l’une des deux fausses valeurs pour le public de droite en matière historique, avec Sévillia.

La biographie de Jésus de Petitfils est fausse et scandaleuse.
On peut en lire une bonne critique ici.
En résumé :

Jean-Christian Petitfils s’était déjà tristement illustré il y a quelques années, en signant un livre sur le Christ (Jésus, Fayard, 2011, 670 pages.), outrageusement sous-titré « Le Jésus de l’histoire ». Il y contestait franchement la vérité historique des Evangiles, rejetant la position que l’Eglise tint jusqu’à la moitié du XXe siècle et suivait aveuglément une certaine école moderniste, sans expliquer pourquoi. Il osait mettre en doute les événements relatés dans les synoptiques, allant très loin dans le négationnisme ((« Jésus n’a jamais comparu devant le Sanhédrin ». « Les évangélistes ont agrégé dans un procès fictif l’ensemble des éléments qui l’opposaient aux autorités juives ». (p. 320).)) ; il prenait à plusieurs reprises parti pour les Pharisiens contre les chrétiens. Ce n’était nullement un travail d’historien, mais un essai impie, partial et mal documenté, qui ne pouvait qu’affaiblir les bases de la foi des lecteurs appâtés par le nom de l’auteur et la façon orgueilleuse et fausse dont il présentait son livre.

Après s’être attaqué à la religion, notre historien (qui a fait toute sa carrière dans… la Banque !) devait s’en prendre à la nation. [source et suite, concernant son « Histoire de France »]

Pour lire sur Jésus-Christ, on préfèrera le livre de Roland Hureaux par exemple.

Messe du 19e Dimanche après la Pentecôte (textes et commentaires)

« Les Juifs ont refusé de prendre part au festin de noces. Aussi c’est vers les Gentils que les Apôtres et l’Église, remplis de l’Esprit-Saint aux fêtes de la Pentecôte, se sont tournés. L’union béatifique que désigne ce festin de noces est annoncée, préparée et en quelque sorte commencée par la communion sacramentelle. »

Dom G. Lefebvre

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13 octobre 1917 : à Fatima, le miracle de la « danse du soleil »

[Livres sur Fatima ici]

Le 13 octobre 1917, dans la campagne portugaise, 70 000 personnes assistaient médusées à l’un des plus grands miracles du XXe siècle.

Ce jour-là, environ 70 000 personnes, provenant de toutes les régions du Portugal, se rassemblent à la « Cova da Iria » (champ près de la localité de Fatima). Depuis plusieurs semaines circule la nouvelle de l’apparition de la « Dame » et du miracle qu’elle a promis d’accomplir. Au milieu de citoyens ordinaires se trouvent aussi des nobles, des ingénieurs, des médecins, des notaires et, évidemment, des journalistes et des photographes.

Du ciel, complètement couvert par les nuages, tombe une pluie incessante. François, Jacinthe et Lucie (les trois petits bergers auxquels la Vierge apparait depuis 5 mois) arrivent, accompagnés de leur famille.
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Messe du 18e Dimanche après la Pentecôte (textes et commentaire)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« On emprunta, pour le 18e Dimanche après la Pentecôte, la messe qui avait été composée au VIe siècle pour la Dédicace de l’église Saint Michel, à Rome, et qui fut célébrée le 29 septembre. Aussi tous les chants se rapportent-ils à la consécration d’une église.
Cette messe, suivant le samedi des ordinations, fait allusion au sacerdoce. Comme le Sauveur, qui prouva en guérissant le corps du paralytique qu’il avait aussi guéri son âme, les prêtres ont reçu le pouvoir de pardonner aux pécheurs. (Év.) »

Dom. G. Lefebvre

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