Profanation et sacrilège dans la basilique de Thonon-les-Bains

Capture d’écran 2014-08-05 à 23.23.10

Mardi matin, vers 7h45, un homme d’origine tunisienne muni d’une barre de fer a détruit les autels, le mobilier, les objets de cultes du XVIIème siècle et des vitraux de la basilique Saint François de Sales et de l’église Saint Hippolyte à Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.

Plusieurs heures après les faits, Jacky, le sacristain de la basilique, n’en revient toujours pas : « comment, en moins de quinze minutes, un homme peut-il faire autant de dégâts ? C’est un massacre ». Alerté par les bruits, Jacky a eu le temps de mettre un homme qui priait en sécurité dans la sacristie avant d’appeler la police.

Immédiatement interpellé par les policiers dans le presbytère, l’individu a été placé en garde à vue. « C’est un acte isolé, il souffre d’un déséquilibre mental » explique le commissaire de Thonon. « Il parlait de l’enfer et du paradis » se souvient Jacky. Le dimanche 10 août, l’évêque viendra participer à la messe de réparation puisque le curé a affirmé : « il y a eu profanation mais aussi sacrilège, les saintes espèces ayant été piétinées ».

Mardi soir, il a été interné dans un hôpital psychiatrique.Pour l’heure, ses gestes n’ont pas encore reçu d’explication même s’ils ont tous les aspects d’une crise de « démence », peut-être mystique… Selon le curé Le Tué, il s’agirait d’un « jeune musulman ».

Le maire a indiqué que la ville, propriétaire des murs de la basilique et de l’église, allait porter plainte. Il a par ailleurs rappelé que l’église Saint-Hyppolite était classée monument historique depuis 1909 et que des spécialistes d’art sacré allaient donc venir pour savoir comment restaurer les objets détruits.

Source

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
Continuer la lecture de « Russie : les provocatrices punk condamnées »

Homofolie en Belgique : un prêtre moderniste « marie » deux sodomites

A Liège, un prêtre ouvrier et ancien parlementaire Ecologiste, le père Germain Dufour a célébré le pseudo mariage de deux hommes, le 13 février dernier, en l’église Saint Servais de Liège, mais l’information vient juste d’être dévoilée.

L’Eglise catholique a aussitôt dénoncé cet acte sacrilège par la voix du porte-parole des évêques de Belgique, Eric De Beukelaere.

On ne sait pas encore le sort que réserve la hiérarchie épiscopale belge au triste père Germain Dufour. Mais le nouveau chef de l’Eglise du pays, Monseigneur Léonard, nommé en janvier dernier, s’est plutôt fait connaître pour ses prises de position anti-homofolie. Ce faux mariage gay à l’Eglise ne devrait pas le laisser indifférent.

Source