Les 26-27 juin avait lieu le sommet du G20 à Toronto (Canada).
Un reporter indépendant nous livre son analyse, qui n’est pas dépourvue d’intérêt :
« Quand je suis arrivé samedi au Queen’s Park (la zone désignée de liberté d’expression) pour couvrir la plus grosse manifestation prévue dans le cadre du G20 de Toronto, j’ai dû constaté que cette dernière avait été organisée par des groupes complices de l’élite dirigeante. Des groupes comme Greenpeace (la plus grosse délégation présente), Oxfam, Amnistie Internationale ou le Conseil des Canadiens avaient le plein contrôle de cette manifestation qui aurait dû être une marche du peuple contre la création d’un nouvel ordre mondial au bénéfice de quelques familles puissantes comme les Rockefeller et les Rothschild.
Évidemment, il n’en était rien.
On a plutôt vu Greenpeace et d’autres demander à l’élite de donner des milliards au Fond monétaire international et à la Banque mondiale pour combattre les changements climatiques. (…) »
Et sur le Black block :
« Finalement, pour justifier la brutalité policière et les arrestations de manifestants pacifistes, le Black Block est venu foûtre le bordel, s’est sauvé en courant puis a disparu dans la brûme. Dès que ce groupe d’agents perturbateurs – de mêche avec la police – a quitté les lieux, les policiers se sont rués sur le reste des manifestants et ont procédé à plus de 400 arrestations injustifiées. Le Black Block a mis feu à trois voitures de police sans qu’un seul officier n’intervienne. Ils sont sans aucun doute les plus privilégiés des manifestants car la police ne les touche jamais. À vous de faire vos conclusions. »
Article complet ici.