Une affiche qui fait führer dans les locaux des CRS de Perpignan

Lu sur jerusalemplus.tv :

« En France, une affiche montrant Hitler faisant le salut nazi a été placardée dans des locaux de la CRS de Perpignan. Selon le syndicat CGT, La personne qui a placardé cette affiche « a pris un simple petit blâme, pratiquement la même chose que prend un officier de police en tenue qui fume dans la rue », a dit le secrétaire départemental de la CGT, Pierre Place, sans préciser qui avait pris l’initiative d’un tel affichage.

Contactés par téléphone, le commandant de la CRS et sa direction interrégionale à Marseille ont décliné tout commentaire. Le parquet de Perpignan a dit avoir décidé d’ordonner une enquête de police après avoir reçu la plaine de la CGT. C’est le 17 janvier que l’alerte a été donnée sur la présence de l’affiche dans les locaux de l’infirmerie de la CRS 58, a rapporté Pierre Place. L’infirmerie est aussi un lieu public par lequel passent les jeunes souhaitant intégrer la police nationale, a-t-il observé. « Donc la première image qu’ils vont avoir d’un service public de police nationale, c’est une photo d’Hitler », a-t-il dit. On ignore combien de temps cette affiche de 42 x 59 cm, représentant le Führer saluant bras cassé, s’est trouvée sur le mur; a priori plusieurs semaines, selon Pierre Place »

Premier désaccord public entre Jean-Marie et Marine

Invité de LCI le 22 avril (voir ici), Jean-Marie Le Pen a critiqué le choix de sa fille d’exclure Alexandre Gabriac du parti, alors que la commission des conflits – où siégait l’ancien président - n’avait proposé qu’un blâme, après audition et délibération.
 Bruno Gollnisch s’est déclaré « extrêmement étonné » de la réaction de Marine Le Pen tandis que son père l’a estimée précipitée.
“La présidente qui se trouve à l’extérieur de l’Europe pour l’instant devra peut-être réétudier la question avec le rapport de la commission qu’elle ne connaît pas”, a-t-il indiqué.
« Je pense que c’est une réaction rapide et qu’elle ne possédait peut-être pas tous les éléments d’information”, a-t-il poursuivi, ajoutant: ”selon, moi, il n’y a pas motif à exclusion”. 
Avant de conclure : “la présidente, qui dans ce domaine-là a des responsabilités statutaires, peut très bien aller du moins informé au mieux informé (…) on peut faire appel de sa propre décision”.
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