C’était un 4 décembre : mort de Maurice Barrès

Le grand écrivain patriote Maurice Barrès s’est éteint le 4 décembre 1923 à son domicile de Neuilly.

Écrivain parmi les plus célèbres de sa génération, il était surnommé le « prince de la jeunesse ».
Il fut l’un des principaux fondateurs du nationalisme français moderne.

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22 août 1914 : mort au front d’Ernest Psichari,

à l’âge de 31 ans. Ce jeune écrivain était le petit-fils d’Ernest Renan.

Il rejeta tôt les idées exprimées par le milieu de la bourgeoisie intellectuelle dreyfusarde de sa jeunesse.
Au pacifisme succéda la ferveur nationale, au culte du moi celui de la communauté enracinée, au rationalisme la ferveur des sentiments.
Psichari est, par sa personnalité, ses préoccupations, ses aspirations morales et son engagement, emblématique d’une jeunesse exaltée dont fit aussi partie Charles Péguy par exemple.
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C’était un 12 août… Fort Chabrol

Cet épisode rocambolesque a tant marqué l’opinion qu’il a engendré une expression dans le langage courant.

Il débuta le 12 août 1899, après que le président du Conseil Waldeck-Rousseau décida d’engager des poursuites contre les dirigeants des ligues nationalistes, accusés de complot contre la sûreté de l’État.
Ce jour, les autorités firent arrêter des dizaines de nationalistes pour les traduire devant la Haute-Cour de justice, dont Paul Déroulède et les dirigeants de la Ligue des patriotes, ainsi que les chefs des Jeunesses royalistes.

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C’était un 5 août…

1884 : pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre du piédestal de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York.
Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

1895 : mort de Friedrich Engels, philosophe communiste et mécène de Marx.
Coauteur de la plupart  de ses ouvrages, il ne travailla quasi jamais, étant le fils d’un très riche industriel luthérien du textile.
Il mena une existence schizophrénique, se séparant entre action révolutionnaire et exploitation de ses prolétaires.

Résultat de recherche d'images pour "jules lemaitre"1914 : décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).
Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre « Ligue des droits de l’homme », dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle il ne survécut d’ailleurs pas (tout comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissout en 1904.
Lemaître était toutefois surtout antimaçon.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une œuvre diverse et solide dont Les contemporains (4 volumes), des contes et histoires de Noël et une biographie de Chateaubriand.

C’était un 9 mai : mort de Sébastien Deyzieu

Le 9 mai 1994, le jeune militant nationaliste Sébastien Deyzieu rendait l’âme, victime de la répression, lors d’une manifestation organisée par le GUD et d’autres associations.

Il était âgé de 22 ans.

Le traitement médiatique n’eut évidemment rien à voir avec l’affaire Malik Oussekine, qui en son temps entraîna d’ailleurs la démission d’un ministre.
Là le gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur était le gaullo-mafieux Charles Pasqua, ne fit montre d’aucune émotion.

Chansons des groupes de « rock identitaire français » In Memoriam et Vae Victis dédiées à Sébastien Deyzieu :

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Sortie du nouveau numéro de la revue « L’Héritage »

Longtemps attendu, voici le nouveau numéro de l’excellent magazine L’Héritage (« revue d’études nationales »), que nous vous recommandons vivement.

Avec 32 pages en couleur (pour 4 euros),  il propose de très intéressants articles d’analyse politique, d’histoire, de philosophie politique, de réflexions sur notre identité, etc.

Il offre aussi un grand et passionnant entretien avec Philippe Pichot-Bravard, auteur d’un livre remarqué sur la Révolution française (disponible ici).

Notons enfin de percutantes recensions de livres, qui n’hésitent pas à aller à rebrousse-poil de l’opinion généralement en vogue dans les milieux nationaux ou « de droite » : les livres de Jean Sévillia et Béatrice  Bourges sont passés à la moulinette. Voilà qui invite à la réflexion !

Le site de la revue : www.lheritage.net
On peut acheter ce numéro en ligne ici et les précédents ici.

Espagne : décès de Blas Pinar, figure historique du patriotisme d’après-guerre

Alberto Torresano nous écrit :

« BLAS PIÑAR  ¡¡PRESENTE !!

Blas Piñar est décédé ce 28 janvier, à son domicile, à l’âge de 95 ans.

Porteur des idéaux de la Croisade du 18 juillet 1936, il avait fondé dans cet esprit la revue Fuerza nueva, en 1966.
Patriote éminent, théologien, poète, juriste et écrivain, remarqué pour ses discours classiques et majestueux.
Depuis la mort de Franco, il a dirigé le patriotisme espagnol comme un véritable « caudillo », que des millions de personnes ont acclamé en Espagne, en Europe et en Amérique, s’abandonnant au charme de sa parole et à son clair jugement.
Notaire de profession, marié à Carmen Gutiérrez, il avait 8 enfants, fidèles continuateurs de sa lignée, 43 petits-enfants et 70 arrières petits-enfants.

Il a dirigé l’Institut culturel hispanique jusqu’à ce qu’il soit démis pour son article « Hypocrites », publié dans ABC, dénonçant les maîtres du monde et la trahison des Nord-Américains devant l’avance inexorable du communisme.

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Salazar : une nouvelle biographie

Le président nationaliste et catholique du Portugal (1889-1970) avait fait l’objet d’une biographie copieuse par Jacques Ploncard d’Assac en 1983 (disponible ici).

Voila que 30 ans après, le très remarquable chef de l’État nouveau fait l’objet d’une nouvelle biographie en français, sous la plume du journaliste Jean-Claude Rolinat :
Salazar le regretté, Ed. les bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18 €. Commandable ici.

4e de couverture :
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Lajos Marton : vie hors du commun d’un patriote

 L’un des rares a avoir été condamné 2 fois à mort !
Patriote hongrois et français, Lajos Marton a été espion, combattant à Budapest en 1956, militant OAS, participant à l’attentat du Petit-Clamart contre De Gaulle, etc.

Ses mémoires viennent de paraître : Ma vie pour la patrie.
Dans l’émission audible ci-dessous, il est reçu par Emmanuel Ratier pour évoquer sa vie (à partir de la 22e minute).
 

Le livre est disponible ici.

4e de couverture :
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Solidarité entre nationalistes russes et français

Le « Renouveau français » a été convié en Russie pour le principal rassemblement nationaliste annuel.
Voici le compte-rendu (source) :
« Le 4 novembre, jour de la fête nationale, les nationalistes russes organisaient leur désormais traditionnelle « Marche russe », dans une soixantaine de villes.
A Moscou, la manifestation a rassemblé environ 20 000 personnes.
A l’arrivée de la marche, se sont exprimés les principaux leaders nationalistes russes. Mais aussi un étranger : Thibaut de Chassey.
Le directeur du Renouveau français avait en effet été invité par les organisateurs (en particulier Alexandre Belov) et une délégation du RF s’est donc envolée vers Moscou pour quelques jours.

Le Renouveau français a toujours veillé à entretenir des relations avec les organisations nationalistes à travers toute l’Europe. Nous avons des partenariats dans la plupart des pays européens.
Nous avions déjà reçu en France des représentants du DPNI (principale organisation nationaliste russe, qui a été interdite récemment par le régime).

Cette fois-ci, il s’agissait pour la délégation française d’observer ce qui passe là-bas, de créer ou renforcer des contacts avec les nationalistes russes, enfin de leur témoigner de notre solidarité.
La mission a été accomplie à 100%.

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Camp d’été nationaliste 2011 – il est encore temps de s’inscrire

« Un moment exceptionnel à ne pas rater !
Le Renouveau Français organise son fameux camp d’été du jeudi 25 au dimanche 28 août, dans le centre de la France.
Il est réservé aux patriotes de 15 à 35 ans (dérogations possibles) qui désirent participer à l’action du RF et s’instruire.
Au menu : formation théorique et pratique, activités physiques et culturelles variées, camaraderie et détente.

Source et détails

C’était un 5 août… (bis)

1914. Décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).

Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre Ligue des droits de l’homme, dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle elle ne survécut d’ailleurs pas (comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissoute en 1904.
Lemaître était toutefois plus antimaçon qu’antisémite.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une oeuvre diverse et solide comme Les cmpoonterains (4 volumes).

Nationalisme en Morbihan

Le Renouveau français communique :

« Le Morbihan est désormais doté d’une antenne du RF, basée à Vannes.

Si vous êtes de la région, n’hésitez pas à contacter (ici) cette section déjà dynamique et rejoignez la résistance nationaliste ! »

Résistance nationale en Grèce

Le reportage que vous pouvez visionner en cliquant ici est issu de Canal +, donc au menu : mauvaise foi, manipulations (comme insérer un plan avec une croix gammée, taguée sur un mur par on ne sait qui, entre deux séquences) et malhonnêteté.
Toutefois, d’intéressantes images et informations sur le courant de résistance nationale qui anime la Grèce face à l’invasion et à la destruction économique du pays.
Quelques séquences sur des « milices » populaires en ville (assez peu effrayantes au demeurant), ou sur le parti « Aube dorée » (5% aux dernières municipales à Athènes). Pour info, ce dernier envoie presque chaque année une délégation au Congrès nationaliste français.
Un mouvement nationaliste radical dont l’emblème (ci-contre à droite) n’est pas une allusion au svastika (contrairement à ce qu’avait écrit sottement ou vicieusement Roland Machefer sur NPI), mais est un emblème hellénique des plus anciens. On peut d’ailleurs le trouver comme motif décoratif dans presque tous les restaurants grecs de France…

Note pour les ignares de Canal + : en Grèce, y compris et surtout chez les nationalistes, le salut bras tendu devrait être appelé « salut olympique » (voire européen) plutôt que « salut nazi ».

Merci à Josselin

Lutte contre les sectes, en Bulgarie

Dans la video ci-dessous, il y a quelques semaines, des militants du parti nationaliste bulgare VMRO viennent expliquer à des Témoins de Jéhovah (réunis pour une commémoration) ce qu’ils pensent de leur secte…

5 membres de la secte iront à l’hopital.