« Bloc identitaire » : toujours plus de républicanisme

Le ralliement du « Bloc identitaire » à l’idéologie dominante, moderne et républicaine (pourtant fondamentalement et intrinsèquement anti-identitaire) semble avancer à grands pas

Dans un communiqué commun avec deux groupuscules extrémistes laïcards et maçonniques (Riposte laïque et Résistance républicaine), la formation niçoise explique vouloir défendre la loi antichrétienne de 1905 et affirme : « Ce sont nos valeurs démocratiques, notre liberté d’expression, la séparation du religieux et du politique, l’égalité des hommes et des femmes, la liberté de conscience, le droit de croire ou de ne pas croire, tout ce qui fait la richesse de nos sociétés, qui sont en jeu. »
Une évolution formelle qui risque d’aggraver les tensions internes de ce mouvement qui vient de subir un revers électoral sérieux lors des cantonales.

Pour nourrir le débat

Alors que la « laïcité » (version républicaine) est sur toutes les lèvres, il peut être bon de s’informer sur ce concept et le piège qu’il constitue pour les chrétiens.
Il existe en effet une troisième voie entre laïcisme républicain et islamisation.

Vous pouvez vous procurer ici les actes de l’université d’été de l’association Renaissance catholique consacrée à ce sujet, regroupant des personnalités hautement qualifiées. Un ouvrage de 362 pages.

Une UDT du FNJ qui soulève l’indignation

du site « les jeunes avec Gollnisch ».

Dans cet article, ils dressent un compte-rendu scandalisé de la récente Université d’été du Front national de la jeunesse, ayant rassemblé 30 à 40 jeunes dans une atmosphère particulière.

L’Europe contre les crucifix à l’école.

Lu sur le site de Bruno Gollnisch :

« Le totalitarisme de l’Europe de Bruxelles, qui entend régir  nos  moindres faits et gestes,  influer sur  notre  mode de vie  pour façonner un parfait « citoyen du monde »  ne se dément pas.
En novembre 2009, saisie par une mère de famille italienne d’origine finlandaise,  Solie Lautsi,  la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) avait jugé  que la présence de crucifix dans les salles de classe est « contraire au droit des parents d’éduquer leurs enfants selon leurs convictions et au droit des enfants à la liberté de religion ».
Mme Lautsi,  membre de l’Union des athées et agnostiques rationalistes,  bénéficia du soutien immédiat de tous les « progressistes » et  notamment de  l’UFAL, «  Union des familles laïques » proche du Grand Orient et dont Pierre Cassen, animateur  de Riposte laïque, est le vice-président …

Continuer la lecture de « L’Europe contre les crucifix à l’école. »