C’était un 30 juin : le suicide du général de Larminat

Le 30 juin 1962, le général de Larminat, gaulliste indéfectible dont le président de la République félon exigeait qu’il préside un tribunal militaire chargé de juger les membres de l’OAS, se suicide la veille de la réunion de cette instance, tiraillé entre son gaullisme et son sens de l’honneur.

Ancien haut commissaire gaulliste en Afrique équatoriale française, il avait été le vainqueur de la poche de Royan en 1945.

Un mort de plus, parmi ses fidèles, sur la noire conscience de De Gaulle.

Un site consacré à cet épisode :  www.larminat-jm.com

Vincent Reynouard condamné à 2 ans de prison ferme pour avoir diffusé des vidéos

Alors même qu’après les événements survenus à Charlie Hebdo, tout le monde ne parlait que de liberté d’expression, nous apercevons tout de suite que celle-ci a de grandes limites. Ainsi, le polémiste Vincent Reynouard, avec qui nous sommes loin d’être en accord sur tous les points, a été condamné à 2 ans de prison ferme pour des vidéos qu’il avait postées sur youtube…

En outre, nous apprend le figaro, Reynouard a été condamné à payer des dommages et intérêts à une multitude d’associations, dont 3.500 € à la Licra et devra faire publier à ses frais le présent jugement dans 5 quotidiens nationaux ou régionaux. Enfin, son matériel vidéo lui a été confisqué…

Il est fort probable que Reynouard fasse appel de ce jugement (ce qui aurait pour effet de suspendre les présentes condamnations en attendant la décision de la cour d’appel), mais quoi qu’il en soit, cela montre bien que la liberté d’expression, dans la France de 2015, n’est réservée qu’aux laudateurs du système et n’est en vérité qu’une vaste farce, n’en déplaise aux « je suis Charlie »

Le démoniaque Jack Lang entendu par la police dans une affaire de pédocriminalité

En 2011, une déclaration du ministre Luc Ferry avait du bruit : il affirmait qu’un « ancien ministre », dont il n’a jamais donné le nom, s’était « fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons », assurant tenir cela des « plus hautes autorités de l’État ».

Même si les réseaux pédomanes grimpent jusqu’au plus haut de l’Etat depuis longtemps (jouissant de ce fait d’une totale impunité), les regards se sont tournés vers le si néfaste Jack Lang, dont l’exécrable réputation en matière de mœurs n’est plus à faire.

On apprend maintenant par RTL que « l’ancien ministre de la culture Jack Lang a été entendu comme simple témoin en novembre dernier par la Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne dans leur enquête sur les propos de Luc Ferry. Audition libre, ultra-discrète, suivie de très près par les autorités policières et judiciaires parisiennes. »

Lang niant bien sûr tout, le dossier a malheureusement (et sans surprise) été classé sans suite fin novembre par le parquet de Paris…

On se rappellera qu’il y a quelques années, Roger Holeindre (alors au FN) n’hésitait pas à mettre en cause vivement Jack Lang (ci-contre), sans avoir été pour autant poursuivi.

Par ailleurs, fin 2011, un homme, Emmanuel Verdin, accusait Lang d’abus sexuels sur sa fille de 4 ans.
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Les « chances pour la France » au tribunal

« Je vous demande, monsieur le président, de prononcer des peines allant de quatre à sept ans d’emprisonnement. » A l’énoncé du réquisitoire, les quatre jeunes hommes éclatent de rire. Akim, Walid, Mehdi et Akram sont jugés après avoir été interpellés en possession d’armes de guerre à bord d’une voiture volée.
Dès le début de l’audience (tribunal correctionnel de Lyon, mi-avril), dans le box des prévenus, ils paraissent au mieux calmes et polis, au pire complètement détachés de ce qui se joue devant eux.
Lorsque le président du tribunal, Jean-Hugues Gay, expose le dossier, l’un d’eux se met même à bâiller. Lorsque la procureure, Hélène Descourt, rappelle les faits, ils périssent d’ennui.

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Russie : interdiction du mouvement DPNI par le pouvoir

Le 18 avril, le tribunal de Moscou a rendu sans surprise son verdict : le DPNI (« Mouvement contre l’immigration illégale », principale organisation nationaliste russe) a été déclaré « extrémiste » et, à ce titre, interdit.
Une décision politique qui avait déjà été donnée par le gouvernement à la justice, d’après le mouvement, prétextant des incidents en décembre suite au meurtre d’un supporter moscovite par des immigrés.
La remarquable montée d’un nationalisme anti-système, particulièrement chez les jeunes, inquiète visiblement le pouvoir russe.

Une nouvelle organisation regroupant les militants orphelins du DPNI et d’autres structures verra probablement le jour dans les prochains mois.

Laïcité : les crèches sont tricardes dans les villages de France.

Le tribunal administratif d’Amiens a interdit l’installation d’une crèche de Noël sur la place du village de Montiers (Oise), au nom du principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat, a-t-on appris lundi auprès de la municipalité.
La décision d’installer une crèche sur la place de cette commune de 450 habitants avait été prise par le conseil municipal en octobre 2008. Mais l’ancien maire, Claude Debaye, avait aussitôt contesté cette décision, déposant une requête auprès du tribunal administratif d’Amiens, au nom de la loi de 1905 et du principe de laïcité.
Le tribunal administratif lui a donné raison en novembre, annulant la délibération du conseil municipal qui décidait de l’installation de la crèche. (…)
“La laïcité ne s’aménage pas, il faut traquer ses atteintes partout où elles se trouvent », dixit l’ancien maire Debaye. (Source)

Combien de fois faudra-t-il expliquer que la « laïcité » à la française est en réalité une idéologie, le laïcisme (cache-sexe de l’athéisme d’Etat), qui est fondamentalement une arme de guerre contre la civilisation chrétienne, et qu’elle mène logiquement à la christianophobie ?
Aujourd’hui, une partie importante de la droite nationale, qui devrait être le dernier défenseur de notre civilisation française et chrétienne, se fait au contraire l’apologiste de ce laïcisme…

Le commissaire politique du CRIF veut faire « soigner dans un asile psychiatrique » les judéo-sceptiques

Marc Knobel, le commissaire politique fanatique du CRIF, n’est pas content. Il n’aime pas la liberté de ton de la blogosphère… surtout quand certains esprits taquins osent évoquer l’idée d’une proximité entre la communauté gay et la communauté juive.

Extrait:

Je prétends que les auteurs de ce blog(Le projet juif) -outre les poursuites judiciaires qu’ils devront affronter- mériteraient d’aller se faire soigner dans un asile psychiatrique. Quant aux homophobes, j’ai envie de dire comme cela, rien que pour provoquer les cons : « Nous sommes tous des Juifs homosexuels allemands ! » Continuer la lecture de « Le commissaire politique du CRIF veut faire « soigner dans un asile psychiatrique » les judéo-sceptiques »

La LICRA retire sa plainte contre Eric Zemmour

Dans un premier temps, la très sioniste Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) avait annoncé vouloir poursuivre l’Israélite Eric Zemmour devant le Tribunal correctionnel de Paris. Ce qui aurait été une première… On n’a jamais vu la Licra porter plainte contre un Juif.
En cause, les propos soi-disants racistes et discriminatoires qu’il a tenus lors des émissions de télévision Salut les Terriens sur Canal + et L’Hebdo sur France Ô.

Sur la chaîne cryptée, le journaliste controversé avait déclaré: « les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes. C’est un fait ».

Dans un communiqué, la LICRA annonce finalement accepter les explications fournies par Eric Zemmour et le principe de la tenue d’un débat loin de la justice. Ce débat entre le journaliste et le président de la LICRA, Alain Jakubowicz, devrait se tenir ce jeudi sur BFM-TV.

Source

Démocratie totalitaire : dissolution d’un parti politique tchèque

« Nous voulons vivre dans une société dans laquelle les gens qui ont une vision du monde différente, qui craignent par exemple la venue en masse d’immigrés, ne soient pas forcément considérés comme des néonazis ou des extrémistes », a affirmé le représentant du Parti Ouvrier à la Cour suprême administrative de la République Tchèque.

C’est à la demande du gouvernement que la Cour suprême administrative a dissout le Parti ouvrier (DS) à trois mois des élections législatives. Pour motiver cette dissolution, le tribunal a invoqué que ce parti était une menace pour la démocratie.

Pour le chef du Parti ouvrier, Tomáš Vandas, cette décision serait motivée par la volonté d’éliminer un concurrent politique.

Le Parti ouvrier a été fondé en 2003. Depuis, il a réussi à s’établir, à élargir le nombre de ses sympathisants et à s’attirer le feu des projecteurs, notamment en organisant des manifestations dans des quartiers roms. En 2008, il a remporté un premier succès aux élections régionales avec plus de 1% des voix. Il s’est fait aussi remarquer aux dernières élections européennes, avec un score de quelques 30 000 voix. En ce qui concerne les élections législatives de mai prochain, les derniers sondages lui donnaient près de 1,8 % des intentions de vote.

Le Parti ouvrier dissous, ses représentants se déclarent d’ores et déjà prêts à fonder un nouveau parti ou à s’associer à un parti proche déjà existant, afin de rester en lice pour ces élections…