Manchester : quand la kabbaliste Ariana Grande souhaitait la mort de ses fans

Ce lundi soir, un attentat suicide à la bombe, perpétré à première vue par un islamiste, a fait 22 morts, souvent jeunes, et de nombreux blessés lors d’un concert pop de la chanteuse Ariana Grande, à Manchester (Angleterre).

Les politiciens font mine d’être horrifiés alors qu’ils nous expliquent régulièrement qu’il faut apprendre à « vivre avec le terrorisme » et qu’ils font tout pour que cela continue, mais passons.

Revenons sur cette Ariana Grande, 23 ans, que les médias nous présentent comme une idole des jeunes (43 millions d’abonnés sur twitter en effet), et « plutôt sage » par rapport à d’autres folles, alors qu’elle donne ses concerts en soutien-gorge, multipliant les attitudes et tenues que des prostituées auraient eu honte d’avoir il y a quelques années…

Rappelons qu’en septembre 2014, le New York Daily News avait rapporté que la « pop-star » américaine d’origine «gréco-nord-africaine» avait tenu en aparté cette phrase après avoir quitté – «tout sourire» – des fans lui réclamant un autographe : « J’espère qu’ils vont tous crever ».
En août 2014, dans un entretien accordé au magazine Billboard, la jeune artiste avait révélé être devenue une «kabbaliste». Comme d’autres célébrités d’Hollywood, elle suivait (via sa «tutrice Ruthie» sur Skype) les enseignements de Philip Berg, rabbin américain enterré en Israël et fondateur d’un nouveau courant mystique inspiré par la tradition occultiste juive.

Fin 2013, Ariana Grande, fan de films d’horreur et de symbolisme satanique, confessait par ailleurs avoir le sentiment d’être parfois entourée de présences démoniaques.

Le t-shirt de son acolyte représente ici un « arbre de vie » kabbalistique

SOURCES :

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Comprendre l’islam, son expansion en France et la taqîya avec Salih Attia, imam de Stains

Les musulmans, pour faire leur prosélytisme et convertir le monde entier à leur fausse religion peuvent utiliser, selon le coran, tous les moyens, y compris la taqîya, c’est à dire une pratique consistant à mentir et à se dissimuler, si la fin (favoriser l’islam) est bonne. On est loin, très loin des Saints Martyrs chrétiens qui préféraient mourir -parfois jetés vivants aux lions-, plutôt que de se renier ! Un exemple, est donné par Salih Attia, président de la mosquée de Stains, dont Le Monde vient de dresser le portrait.

Un mot d’abord sur le personnage : Âgé de 57 ans, Salih Attia est né en Egypte et est arrivé en France, « sans papier » en 1980 à la faveur d’un visa de tourisme. Son premier statut en tant que résident français fut donc celui de délinquant. Un an plus tard, il touche le jackpot : Mitterrand est élu président de la république, et régularise des milliers de clandestins, dont Attia. Pour gagner sa vie, ce dernier sera vendeur sur les marchés. Mais comme le dira le Monde : « Pour un volontaire ambitieux comme Salih Attia, sorti à la force du poignet de son rural delta du Nil, l’ascension sociale ne s’arrête toutefois pas là. » Et Attia a vite compris, s’il veut monter dans la société, vers qui il doit prêter allégeance. Ainsi, le Monde continue : « Salih Attia comprend très tôt que c’est avec la communauté juive qu’il lui faudra composer pour progresser. Elle surtout détient les capitaux, les boutiques et les entrepôts. ‘Moi, j’ai grandi avec les juifs !’, répète ainsi Salih Attia tel un mantra éloignant les fantômes djihadistes. Il met en œuvre cette intuition de Rastignac au moment d’établir son état civil. Obtient « Attia » – le nom de son grand-père paternel, dit-il – plutôt que « Salih » comme nom de famille. Interversion discrète – ‘parce qu’Attia, ça fait juif’. Même si, à Stains et ailleurs, tout le monde l’appelle en réalité par son vrai prénom, « Farhoud » . Ainsi, notre homme, entré sur le territoire frauduleusement, régularisé par les bonnes grâces de la gauche sait mentir et sait se tourner vers les bonnes personnes pour son ascension. Et en effet, ses affaires vont aller crescendo, ce qui lui créera une aura, il va devenir le président de plusieurs associations franco-égyptiennes, sera reçu à l’ambassade d’Egypte, etc, etc. Mais ce qui le motive le plus, c’est l’aspect religieux : Attia veut prendre la tête d’une mosquée !

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Pologne : un Irakien interpellé avec des explosifs à la veille des JMJ

À la veille des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) en Pologne, un homme de nationalité irakienne en possession de matériaux explosifs a été interpellé à Lodz. Selon des médias polonais, des traces d’explosifs ont aussi été découvertes à Cracovie (Sud), où cet Irakien de 48 ans avait séjourné récemment et où des centaines de milliers de jeunes catholiques et le pape François doivent participer aux JMJ.

« L’homme a été placé en détention provisoire pour deux mois, accusé de possession d’explosifs, ce qui est qualifié de crime contre la sécurité publique. Une enquête a été lancée par le parquet national », a déclaré aux journalistes Pawel Urbaniak, porte-parole du tribunal de Lodz. « C’est un étranger, probablement un Irakien. Il disposait d’un titre de voyage rudimentaire. Les questions de son identité, ses origines, son séjour (en Pologne) font l’objet de l’enquête, tout comme les endroits où il s’est rendu et les personnes qu’il a contactées », a-t-il ajouté.

La télévision Polsat News affirme que l’homme portait sur lui des notes sur des préparatifs d’actes « terroristes » dirigés principalement contre des établissements commerciaux français en Pologne. Ayant vécu quelques années en Suisse, puis en Suède dont il a été refoulé, il est arrivé en Pologne il y a quelques semaines, a rapporté la chaîne. Les agents sont actuellement à la recherche d’éventuels complices de l’Irakien et d’importantes quantités d’explosifs, à travers la Pologne.

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Allemagne. Attaqué 4 fois en 8 jours, le pays plonge dans la terreur

L’Allemagne a connu une quatrième attaque, hier soir en Bavière, où un kamikaze s’est fait exploser près d’un festival de musique. Après les viols très massifs de la Saint Sylvestre dans lesquels plus de 2.000 migrants sont impliqués, le pays connaît donc les joies du multiculturalisme. Car si les motivations des terroristes sont divergentes, il y a un point commun entre toutes ces attaques : Comme en France, elles sont le fait d’immigrés ou de fils d’immigrés.

1- Lundi 18 juillet, à Würzburg. À 21h15, un jeune réfugié afghan âgé de 17 ans attaque les passagers d’un train régional avec un couteau et une hache en criant « Allah Akbar ». Quatre personnes sont grièvement blessées. L’assaillant prend ensuite la fuite avant d’être abattu par la police. Le jeune homme était arrivé en Allemagne depuis plus d’un an et vivait depuis deux semaines en Bavière dans une famille d’accueil.
Motivation: son acte a été rapidement revendiqué par l’organisation État Islamique (EI) à laquelle il avait prêté allégeance dans une vidéo de revendication de 2 minutes 20. Dans sa chambre, les enquêteurs ont également retrouvé le drapeau de l’EI.

2- Vendredi 22 juillet, à Munich. Un jeune germano-iranien (sic) de 18 ans, David Ali Sonboly, ouvre le feu dans un centre commercial, faisant neuf morts et 35 blessés, dont 11 graves, avant de se suicider. Ses parents étaient arrivés en Allemagne en tant que demandeurs d’asile peu avant sa naissance et lui-même était né à Munich. Mais, pas plus qu’un ânon né dans une écurie de chevaux de course ne deviendra cheval de course, Sonboly ne se sentait pas comme un véritable Allemand, et il semblait en avoir un ressentiment vis à vis de son pays natal, comme l’atteste les propos qu’il a tenus juste avant de commettre son acte : « Sale métèque » lui lance un Allemand et une voix qui semble celle de l’assaillant lui répond: « Je suis Allemand, je suis né ici. » Le problème est que le dire ne suffit pas à le croire et encore moins à l’être.
Motivation : la police a assez rapidement privilégié la piste du « forcené » sans lien avec le djihadisme. Afin de brouiller les pistes, il avait dans un premier temps été présenté comme néo-nazi, et aujourd’hui encore on le compare souvent au Franc-Maçon Anders Breivik car des coupures de journaux concernant ce dernier ont été retrouvées chez lui, et parce que les deux terroristes ont commis leurs faits à la même date (22 juillet). Ça fait peu pour faire un lien entre les deux hommes, surtout de la part de gens, qui, dès qu’une explication des faits ne leur sied pas, accusent les auteurs de complotistes.

3- Dimanche 24 juillet, 16h30, à Reutlingen. Un homme armé d’une machette agresse plusieurs passants en pleine rue. Une femme est tuée et deux autres personnes blessées. L’assaillant serait un demandeur d’asile syrien de 21 ans qui aurait eu une « dispute » avec la victime avant de la tuer « avec une machette ».
Motivation : le « crime passionnel » serait la piste privilégiée par les enquêteurs. Outre la façon très violente de gérer un différend, on se demande pourquoi il a agressé d’autres personnes.

4- Dimanche 24 juillet, 22h12, à Ansbach. Deuxième attaque dans la même journée. Un réfugié syrien de 27 ans se fait exploser près d’un festival de musique où se trouvaient 2.500 personnes. L’explosion ne fait pas de victime, mis à part l’assaillant qui décède, mais 12 personnes sont blessées dont trois grièvement. L’homme avait voulu pénétrer sur le lieu du festival mais s’était fait refouler à l’entrée. Sa demande d’asile, il y a un an, avait été refusée mais il avait pu rester en Allemagne au vu de la situation en Syrie.
Motivation : « Il s’agit malheureusement d’un nouvel attentat », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Joachim Herrmann, qui n’a « pas exclu » une piste islamiste. Il a également précisé que l’homme, qui avait déjà fait deux séjours en hôpital psychiatrique, avait tenté par deux fois dans le passé de se suicider.

Source, avec des compléments vidéo

Qui sont les cinq complices du tueur de Nice ?

Alors que l’Europe est de nouveau frappée par le terrorisme, cette fois-ci en Allemagne, il semble intéressant d’examiner qui sont les complices du tueur de Nice. Cette analyse permet de se rendre compte, alors que beaucoup parlent de guerre, qu’il y a une véritable 5eme colonne qui s’est constituée grâce à l’immigration, et qui profite du laxisme judiciaire. En effet, les 5 suspects écroués et transférés à Paris ne portent pas des noms qui sentent la France profonde, qu’on en juge :

1- Ramzi A. Franco-Tunisien né à Nice, 21 ans. « Il est connu pour avoir déjà été condamné à six reprises entre avril 2013 et mai 2015 (…) pour vols, vols aggravés, violences et usage de stupéfiants », a indiqué François Molins. Il est le destinataire des SMS juste avance son passage à l’acte. De la drogue et 2.500 € en liquide ont été retrouvés chez le jeune homme.
C’est sur les indications de Ramzi A. que les enquêteurs mettent la main sur une seconde arme à feu lors d’une perquisition : un fusil d’assaut kalachnikov et un sac de munitions sont découverts dans une cave. On ignore cependant à quoi était destinée cette arme.

2- Chokri C.Tunisien de 37 ans. Le 4 avril dernier, dans un message Facebook, il écrit à Mohamed Lahouaiej Bouhlel: « Charge le camion, mets dedans 2.000 tonnes de fer, coupe lui les freins mon ami et moi, je regarde.» Un message qui intrigue beaucoup les enquêteurs. Ses empreintes ont été découvertes sur la portière passager du camion. La vidéosurveillance indique aussi qu’il était présent au côté du tueur dans le poids lourd, le 12 juillet.

3- Mohamed Oualid G. Franco-Tunisien de 40 ans. L’étude de la téléphonie du tueur de Nice a permis de révéler que les deux hommes s’étaient appelés à 1.278 reprises entre juillet 2015 et juillet 2016.
Dans son téléphone, les enquêteurs ont trouvé des images de la Promenade des Anglais, tournées le 15 juillet. Les secours y sont encore à l’œuvre. Il se filme ensuite lui-même. Il apparaît aussi sur des photos prises par le tueur de Nice: le 11 et le 13 juillet, il est dans l’habitacle du camion qui servira à semer la mort quelques jours plus tard.

4 et 5 -Artan H. et Enkeledja Z. Il s’agit d’un couple d’Albanais. Ils auraient fourni le pistolet 7.65mm dont s’est servi Mohamed Lahouaeij Bouhlel le 14 juillet, notamment pour faire feu sur les policiers. Artan avait été contrôlé le 2 mai dernier en infraction et faisait l’objet d’une reconduite à la frontière. Il aurait donc dû être expulsé de France à cette date, mais l’officier de police judiciaire a préféré le libérer. « Merci le flic ! » peut dire Mohamed Lahouaiej Bouhlel qui serait resté non armé sans cette complicité.

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L’attentat a officiellement été revendiqué par l’Etat islamique, même si cette revendication est sujette à caution et semble opportuniste, tant Mohamed Lahouaiej Bouhlel ne semble pas avoir eu de soutien de cette organisation, et n’a lui-même pas tourné de vidéo pour s’en réclamer. Quoiqu’il en soit, un des deux auteurs qui s’est félicité de l’attentat dans la vidéo francophone de revendication est Rachid Kassim, 29 ans, « roannais » (sic) selon Le Progrès

Canada. Lors d’un hommage rendu aux victimes d’Orlando, le premier ministre québécois se fait agresser par un militant LGBT

Nous vivons dans une société où des communautés se sentent en permanence persécutées, pourtant (ou parce que ?) surprotégées par des lois spécifiques. Cela mène parfois à des situations cocasses, telle celle qui s’est déroulée à Montréal.

Ainsi, une veillée était organisée en hommage aux victimes d’Orlando, en présence notamment du premier ministre québécois. Jusqu’ici nous n’aurions rien à dire, tant le terrorisme nous répugne et il est normal de rendre hommage à ses victimes. Mais cet acte terroriste est systématiquement présenté comme homophobe, ce qui est beaucoup plus discutable. Ainsi, selon cette logique, les attentats de Bruxelles seraient avionphobes ou métrophobes et qu’en serait-il de l’attentat, par exemple, du Bataclan ? D’autant que l’auteur des faits, Omar Matten, musulman d’origine afghane, serait lui-même homosexuel.

Quoiqu’il en soit, la communuauté LGBT fait tout pour récupérer à son profit cet événement abominable et exige d’être présente à toute commémoration. Les autorités, ne sachant rien lui refuser, obtempèrent et c’est ainsi que lors de l’hommage de Montréal, un certain Esteban Torres, 20 ans, se définissant lui même comme « trans » eut la parole et ce à la même tribune que le premier ministre. Mais, pour des raisons que nous ignorons, (a-t-il pris ombrage de devoir parler après le premier ministre et pas avant ?), il a agressé celui-ci en lui lançant un objet.

Un membre fondateur d’Al-Qaïda devenu espion pour les renseignements britanniques

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Après avoir été l’un des membres fondateurs d’Al-Qaïda, Aimen Dean l’a espionné pour les services de renseignements britanniques MI5 et MI6 à partir de 1998, après une crise de conscience. Récemment interrogé par la BBC, il est revenu sur ses années de travail en Afghanistan puis à Londres où il était devenu l’un des indicateurs les plus utiles à l’Occident dans la lutte contre le terrorisme islamique.

Né en Arabie Saoudite, Aimen Dean s’engage dans les années 1980 dans le djihad contre l’occupation soviétique en Afghanistan. Il est tout naturellement parti, alors qu’il était adolescent, pour défendre les musulmans bosniaques contre les nationalistes serbes. Il s’était alors engagé avec un de ses amis, Khalid al-Hajj, qui devait par la suite prendre la tête d’Al-Qaïda en Arabie-Saoudite.

Aimen Dean n’avait qu’un but : mourir martyr pour servir l’islam
Ce rassemblement de combattants venus du monde entier avec l’islam pour seul point commun reste pour lui une belle expérience, en plus de lui avoir donné une formation militaire sans équivalent possible.
La mort ne l’effrayait pas, et de moins en moins à mesure que le combat se rapprochait : Aimen Dean voulait mourir martyr, pour la cause.
A la fin du conflit en Bosnie, Aimen Dean note parmi ses camarades une haine croissante à l’égard de l’Occident et de la mondialisation : ils étaient persuadés que les pays occidentaux s’étaient lancés dans une guerre contre l’islam. Les moudjahidines deviennent alors des terroristes, se souvient-il.

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Reportage à voir : terreur au supermarché (MAJ : reportage remis en ligne)

Ce documentaire exceptionnel jamais diffusé en France retrace l’attaque du centre commercial Westgate à Nairobi du  21 au 24 septembre 2013 par quatre terroristes somaliens du groupe Al-Shabbaab. 66 personnes assassinées dont de nombreuses femmes et enfants. Plus de cent caméras de surveillance ont tout filmé. Les survivants racontent l’enfer et permettent aussi de mieux comprendre ce qui se passe dans la tête des ces hommes. Un reportage dur et poignant.

Quand la culture de l’excuse n’a plus aucune limite…

DespentesOn poursuit l’« apologie du terrorisme » partout, la traque de ceux qui ne sont pas Charlie n’en finit pas, et la liberté d’expression s’est arrêtée au périmètre qui encercle les gens biens, c’est-à-dire les gens de gauche.

Et il en est une, Virginie Despentes, fille de gauche bien entendu, qui s’est pourtant servi des Inrocks pour déclarer son amour des frères Kouachi qui, les pauvres chéris, étaient tout simplement rejetés par la société. Il faut bien que ce soit toujours de notre faute, nous les sales Français, quoi qu’il arrive.

Hallucinant.

[…] J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir.

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Comment le Système s’y prend-il pour récupérer un attentat terroriste ?

Demain aura lieu la grande manifestation républicaine suite aux attentats qui ont eu lieu cette semaine et dans lesquels 17 personnes ont trouvé la mort, sans compter les terroristes abattus par la police. Cette manifestation rassemblera sans doute au moins un million de personnes à Paris et plusieurs millions si l’on ajoute les manifestations en Province qui auront lieu simultanément. Toute la France bien-pensante sera présente puisque sont déjà annoncés tous les partis (PC, PS, EELV, UMP, etc., le FN ne défilera qu’en province), mais aussi toutes les ligues de vertu (ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, le CRIF, la Licra, MRAP,…), toutes les religions (l’église conciliaire, les Juifs, les musulmans, etc), des dirigeants étrangers (les principaux dirigeants européens tels Cameron, Merkel, etc.), mais aussi des dirigeants venus d’autres continents, tel Avigdor Lieberman qui représentera Israël. Ne manquera qu’Obama, mais soyons certains qu’il se fendra d’un communiqué de soutien depuis la Maison Blanche.

Le but de cette marche ? Réaffirmer les valeurs républicaines (entendre les valeurs voulues par les mondialistes), tels le « vivre ensemble » ou l’immigration sans limite, suite à un attentat terroriste qui pourrait leur faire de l’ombre.

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Internet censuré, liberté en danger

sécurité

Les députés ont voté mardi, en commission des Lois, le blocage administratif de sites « faisant l’apologie du terrorisme », et ce, sans intervention de la justice.

L’Assemblée devra se prononcer en plénière mi-septembre sur l’ensemble du projet de loi de lutte contre le terrorisme.

Quelques heures avant le vote, une commission spécialisée avait durement contesté le projet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, en rappellant que « le préalable d’une décision judiciaire apparaît comme un principe essentiel, de nature à respecter l’ensemble des intérêts en présence, lorsque est envisagé le blocage de l’accès à des contenus illicites sur des réseaux numériques ».

Mais le projet, très cher au cœur de Manuel Valls sera surement validé en septembre.

Aujourd’hui, comme pour tous les projets de loi concernant les libertés sur Internet (Hadopi, Loppsi 2, Loi de programmation militaire, etc.), des députés de tous bords tentent de s’opposer en vain, à la marche forcée du contrôle d’Internet, priorité de « droite » comme de gauche.

Libertés en danger

Reporters sans frontières (RSF), qui n’a pas pour habitude de critiquer la France, n’y va pas de main morte. Dans son communiqué, ils affirment que cela « pourrait engendrer un recul de la liberté d’information puisqu’il (…) prévoit le blocage administratif de sites internet et augmente les mesures de surveillance ».

A l’heure où certains partent en garde-à-vue pour un tee-shirt Manif Pour Tous pendant que d’autres défilent librement dans nos villes un drapeau du djihad à la main, la lutte contre le terrorisme mériterait d’être bien définie…

Le terrorisme progresse, des centaines de jeunes « Français » partent faire le djihad en Syrie sans que nos services secrets ne soient capables de les intercepter ou de les surveiller correctement et les terroristes sont les premiers au courant de cette surveillance accrue d’internet. Pas moins malins que les autres, ils ont depuis longtemps opté pour une communication sans internet ni le téléphone (Lire à ce sujet Al Qaida en France, de Samuel Laurent).

La « sécurité de tous » ne passera pas par le contrôle d’internet, la censure en revanche, oui.

Et si derrière le mot « terroristes », les seuls opposants politiques étaient visés ?

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le cas d’Ali n’est pas isolé, prévient le juge Marc Trévic. En prison depuis un an, le jeune homme est enfermé dans le cadre de l’information judiciaire pour « association de malfaiteurs » ouverte à son encontre depuis son arrestation par les enquêteurs de la DGSI alors qu’il s’apprêtait à gagner un maquis du Sud algérien pour s’y entraîner.

L’enquête vient de révéler des messages cryptés que le fameux Ali échangeait avec un haut dignitaire d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) dans lesquels il suggérait de viser un large éventail d’objectifs parmi lesquels la Tour Eiffel, le Musée du Louvres, des centrales nucléaires, le Festival d’Avignon ou encore des bars ou boîtes de nuit.

Des candidats au djihad toujours plus nombreux

Difficile de savoir si le jeune homme, que son avocate décrit (évidemment…) comme un jeune homme faible et victime d’un véritable endoctrinement, serait passé à l’acte, mais la DGSI, elle, insiste sur son zèle.

Aqmi reste la menace principale mais chaque zone de conflit « en terre d’islam » fait naître de nouvelles vocations, de nouvelles filières de djihadistes qui deviennent terroristes potentiels à leur retour en France. Les atrocités d’Abou Bakr al-Baghdadi qui vient de proclamer la création d’un califat en Irak attire déjà de nouvelles recrues.

A quand la surveillance des imams et des mosquées ?

Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a choisi d’élargir l’arsenal juridique pour l’adapter au mieux à ces nouvelles menaces. Il propose, notamment, de renforcer la surveillance d’Internet, qu’un enquêteur de la DGSI qualifie de « principal lieu d’endoctrinement et de radicalisation des jeunes candidats au départ ». Ce n’est donc plus la prison ?

Le renforcement de la surveillance internet est aussi une façon d’accroître les contrôles et la surveillance des citoyens Français, au nom de leur sécurité… Si on essayait de renforcer la surveillance des frontières, des banlieues, des imams et des mosquées pour commencer ?

Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

L’ancien chef de la DST dénonce l’usage de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite

L’ex-patron de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), Yves Bonnet, met en cause l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement des réseaux islamistes radicaux, notamment dans les pays salafistes. « Il y a un vrai problème » estime-t-il, évoquant leur investissement financier dans « un certain nombre d’actions préocuppantes ». Interview à lire ici.