Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

Le général Ratko Mladic capturé en Serbie

L’ancien chef militaire des Serbes de Bosnie était inculpé depuis 16 ans et véritablement traqué depuis 10 ans, sur demande de l’illégitime  Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie qui l’accuse de « génocide pour son rôle pendant la guerre de Bosnie » (1992-1995).

L’Union européenne mettait la pression depuis longtemps sur le gouvernement serbe pour que, s’il voulait intégrer la structure européiste (et en toucher un bénéfice économique substantiel), il fournisse au moins Radovan Karadzic (ancien président des Serbes de Bosnie, arrêté il y a 3 ans) et Ratko Mladic.
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