Démagogie poussée à son paroxysme : la mairie de Bobigny annule les loyers d’avril des habitants HLM

La démocratie, consistant à donner les rênes du pouvoir à celui qui a obtenu le plus de suffrages est un système se révélant particulièrement pernicieux puisque, pour être élus, les candidats doivent promettre toute sorte de bienfaits, dont, la plupart du temps, ils savent eux-mêmes qu’ils seront incapables de les accomplir.

Nous en avons une illustration aujourd’hui avec ce qui se passe à Bobigny (93). Aux dernières municipales, la liste sortante était dans une situation très délicate ayant été devancée au premier tour d’une dizaine de points par une liste concurrente. Pour essayer de rattraper ce retard et renverser la vapeur, les membres de cette liste viennent de décider de rendre gratuits les loyers des 4.000 foyers de HLM de la ville, sous prétexte officiel de Covid. Une véritable manne pour ceux qui se voient ainsi offrir un mois de loyer, mais qui sera en réalité payée par l’ensemble des contribuables, et même des Français, la ville demandant régulièrement des fonds à l’Etat au prétexte d’être défavorisée !

En attendant, la liste sortante attend avec un peu plus de sérénité le deuxième tour des municipales, espérant que les électeurs iront bien veauter !

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Comprendre l’islam, son expansion en France et la taqîya avec Salih Attia, imam de Stains

Les musulmans, pour faire leur prosélytisme et convertir le monde entier à leur fausse religion peuvent utiliser, selon le coran, tous les moyens, y compris la taqîya, c’est à dire une pratique consistant à mentir et à se dissimuler, si la fin (favoriser l’islam) est bonne. On est loin, très loin des Saints Martyrs chrétiens qui préféraient mourir -parfois jetés vivants aux lions-, plutôt que de se renier ! Un exemple, est donné par Salih Attia, président de la mosquée de Stains, dont Le Monde vient de dresser le portrait.

Un mot d’abord sur le personnage : Âgé de 57 ans, Salih Attia est né en Egypte et est arrivé en France, « sans papier » en 1980 à la faveur d’un visa de tourisme. Son premier statut en tant que résident français fut donc celui de délinquant. Un an plus tard, il touche le jackpot : Mitterrand est élu président de la république, et régularise des milliers de clandestins, dont Attia. Pour gagner sa vie, ce dernier sera vendeur sur les marchés. Mais comme le dira le Monde : « Pour un volontaire ambitieux comme Salih Attia, sorti à la force du poignet de son rural delta du Nil, l’ascension sociale ne s’arrête toutefois pas là. » Et Attia a vite compris, s’il veut monter dans la société, vers qui il doit prêter allégeance. Ainsi, le Monde continue : « Salih Attia comprend très tôt que c’est avec la communauté juive qu’il lui faudra composer pour progresser. Elle surtout détient les capitaux, les boutiques et les entrepôts. ‘Moi, j’ai grandi avec les juifs !’, répète ainsi Salih Attia tel un mantra éloignant les fantômes djihadistes. Il met en Å“uvre cette intuition de Rastignac au moment d’établir son état civil. Obtient « Attia » – le nom de son grand-père paternel, dit-il – plutôt que « Salih » comme nom de famille. Interversion discrète – ‘parce qu’Attia, ça fait juif’. Même si, à Stains et ailleurs, tout le monde l’appelle en réalité par son vrai prénom, « Farhoud » . Ainsi, notre homme, entré sur le territoire frauduleusement, régularisé par les bonnes grâces de la gauche sait mentir et sait se tourner vers les bonnes personnes pour son ascension. Et en effet, ses affaires vont aller crescendo, ce qui lui créera une aura, il va devenir le président de plusieurs associations franco-égyptiennes, sera reçu à l’ambassade d’Egypte, etc, etc. Mais ce qui le motive le plus, c’est l’aspect religieux : Attia veut prendre la tête d’une mosquée !

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Pas de bus en Seine-Saint-Denis

Aucun bus ne circulait ce matin sur les vingt et une lignes RATP du dépôt de Saint-Denis (93), les chauffeurs ayant cessé le travail après des incidents jeudi.

Un machiniste de la ligne 368 a été aspergé jeudi midi de gaz lacrymogène. Il a dû être transporté à l’hôpital.
Quelques heures après, un bus de la ligne 256, qui traverse la cité du Franc-Moisin à Saint-Denis, s’est retrouvé au milieu d’échauffourées. La ligne a été déviée jusqu’à la fin du service. (Source AFP).

Bientôt, c’est inéluctable, de vastes zones du territoire national ne seront plus desservies par les transports en commun, après que les moyens policiers, qui seront progressivement déployés, seront devenus inutiles ou trop coûteux.