L’appel insuffisant des responsables musulmans à défendre les Chrétiens d’Orient

BoubakeurEnfin.

Les musulmans de France ont enfin décidé de prendre officiellement la parole pour défendre les Chrétiens d’Orient.

Les fédérations musulmanes ont lancé ce matin, par la voix de Dalil Boubakeur, recteur et président du Conseil Français du Culte Musulman, un appel solennel depuis la Grande Mosquée de Paris.

Une appel dans lequel ils dénoncent « des barbares (qui) sont en train de perpétrer les pires crimes contre l’humanité et menacent les populations mais aussi la stabilité et la paix entre  les peuples de toute la région ».

Un peu plus loin, les signataires « tiennent à réaffirmer leur soutien aux frères chrétiens d’Orient, pour la plupart arabes, ainsi que pour toutes les autres minorités de la région, qui sont victimes actuellement d’une grave campagne destructrice menée par ces groupes terroristes menaçant leur existence même » avant de réaffirmer « sans ambiguïté le droit inaliénable de leurs frères chrétiens d’Orient, une des plus anciennes composantes de cette région, à rester et à vivre sur leur terre dans la dignité et la sécurité et pratiquer leur foi en toute liberté, comme cela a toujours été ». 

 Rien à redire, ou presque.

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Jihadistes ou brigadistes ?

[Tribune libre] Les ministres de l’Intérieur français, Manuel VALS, et belge, Joëlle MILQUET, s’étonnent et s’offusquent que des volontaires musulmans, issus des « banlieues » puissent s’engager dans les rébellions en Lybie, en Syrie ou au Mali aux côtés des mercenaires payés, entraînés et armés par l’Arabie Saoudite et le Qatar.

Quoi de plus normal puisque depuis plusieurs années les gouvernements européens ont aidé à la déstabilisation de l’Irak, de l’Afghanistan, de l’Egypte, de la Tunisie ou de la Lybie hier, et aujourd’hui de la Syrie.

Les complices de la parodie de procès de Saddam Hussein ayant conduit à sa pendaison, les commanditaires de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, les responsables de l’échec afghan, de l’éviction de Moubarak et de Ben Ali, ceux qui exigent la peau de Bachar-el-Assad, refusent maintenant que des milliers de maghrébins inassimilables puissent rallier les sunnites au Proche-Orient, au Maghreb ou ailleurs en Afrique.

Pourquoi reprocher à ces volontaires d’aller défendre leurs convictions ou leur idéal pour une cause qui leur a été présentée comme indispensable à l’instauration de la « démocratie » ?

Pourquoi critiquer ces « jeunes » et condamner leur engagement, alors que dans le même temps les médias, aux ordres du gouvernement, dénoncent en permanence ces « dictatures » à abattre ?

Les donneurs de leçons de la mafia socialaud-libéro-écolo-humaniste feraient bien de se taire et balayer devant leur porte. Durant la guerre d’Espagne (1936-1939) des dizaines de milliers d’européens ont rejoint les Brigades Internationales au prétexte d’instaurer, les armes à la main, le communisme (chanté et adulé par Dolorès Ibarruri la « Pasionaria ») contre la volonté de la majorité du peuple espagnol. Ces brigadistes du marxisme mondialiste ont toujours et partout été montrés en exemple, tout au long de la seconde moitié du XXème siècle, par les charlatans de la démocrasse.

Il est donc naturel, logique et compréhensible que le combat pour défendre le domaine de l’Islam soit aujourd’hui alimenté par des volontaires – janissaires du 21ème siècle – nourris et lobotomisés par ceux qui durant des décennies ont saboté et vilipendé les valeurs séculaires qui ont fait la grandeur de l’Europe.

Mais le déclin de notre civilisation et la décadence de notre culture conduisent une partie des immigrants à se tourner vers d’autres horizons. C’est pourquoi le boomerang droit de l’hommiste et la culture de l’excuse se retournent contre les saltimbanques de la Pensée Unique, du Politiquement Correct et du Melting-Pot à tous les étages !

Et quand Carla DEL PONTE, membre de la Commission de Recherche de l’ONU sur les violations des Droits de l’Homme, confirme maintenant que les rebelles de l’ASL et les katibas salafistes utilisent la torture, commettent d’innombrables viols envers les civils et font usage de gaz sarin pour assassiner la population, il est grand temps d’ouvrir les yeux, de changer de discours et de tout mettre en œuvre pour sauver le soldat BACHAR ! ! !

Pieter KERSTENS

Belgique : un député dénonce un prince saoudien à l’Assemblée

Dans la vidéo ci-dessous, le député belge libre, Laurent Louis, dénonce le prince Nayef al Salam d’Arabie saoudite. Celui-ci, condamné à 10 ans de prison en France en 2007, a en effet reçu le ministre belge Ministre des affaires étrangères, Didier Renders. Motif de la condamnation du prince saoudien ? Il  finance les islamo-terroristes avec l’argent de la drogue dont il fait trafic…

La charia en Arabie saoudite : une amende pour le viol et le meurtre de sa fille

Un prédicateur saoudien, pour avoir violé et assassiné sa fille, a récemment été condamné à une courte peine de prison et à verser une compensation financière. Lama, sa petite fille, a été hospitalisée en 2011, le jour de Noël, avec le crâne fracassé, des côtes cassées, des traces de brûlures et un ongle arraché : elle succombera à ses blessures le 22 octobre.

Le père, qui participait régulièrement à des émissions de télévision sur les préceptes islamiques, a été condamné le 26 janvier à verser une compensation financière à la mère, appelée “prix du sang” dans la jurisprudence saoudienne basée sur la charia.

En Arabie saoudite, où le viol et le meurtre sont pourtant passibles de la peine capitale, un homme ne peut pas être condamné à mort pour avoir tué son enfant ou son épouse : il écope dans ce cas d’une peine comprise entre 5 et 12 ans de prison.

Cela amène spontanément deux réflexions. D’une part sur la valeur d’une religion dans laquelle les prescriptions -ici reposant sur la charia- sont aussi incompatibles avec la dignité la personne humaine et le droit naturel, auquel souscrit pourtant très naturellement le simple bon sens. Et d’autre part sur la menace qu’une telle religion peut faire peser sur la société civile, dans la mesure où cette religion a valeur de code civil et de juridiction -car elle ne distingue pas la sphère privée de la sphère publique- et qu’elle éclaire ainsi les sentences prononcées par les juges.

L’ancien chef de la DST dénonce l’usage de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite

L’ex-patron de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), Yves Bonnet, met en cause l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement des réseaux islamistes radicaux, notamment dans les pays salafistes. « Il y a un vrai problème » estime-t-il, évoquant leur investissement financier dans « un certain nombre d’actions préocuppantes ». Interview à lire ici.