16 septembre 1943 : les Américains attaquent Nantes

nantesLe 16 et le 23 septembre 1943, les Alliés ravagent la ville de Nantes.
Leurs bombardements massifs font 1463 morts et 2500 blessés civils.
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C’était un 26 avril… 1937 : le bombardement de Guernica (et ses bobards)

 

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Durant la guerre civile espagnole, Franco bénéficie lui aussi d’un soutien étranger et ce 26 avril, l’aviation allemande bombarde Guernica.
Les objectifs sont trois fabriques d’armes et les 2000 républicains chargés de défendre ces sites.

Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d’état-civil s’élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge).

Quant au célèbre tableau de l’escroc de génie Picasso, qui porte le nom Guernica et qui émeut les bonnes consciences à propos du bombardement, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après !

Il avait été réalisé lors d’une série sur la Minotauromachie, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda et paya (1 million de francs) une toile pour l’Exposition universelle de 1937 à Paris.
Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu’il n’illustre en rien les horreurs de la guerre (version officielle), mais la corrida.

Source : Éphémérides nationalistes

C’était… un 9 décembre

• 1880 : le préfet de Paris, Hérold, fait procéder à l’enlèvement des crucifix, statues de la Vierge et tableaux religieux de toutes les écoles publiques de Paris.

• 1901 : ce jour naissait à Aubenton (Aisne), celui qui deviendrait un aventurier, un pionnier et un pilote français de légende.
Il serait aussi un ardent militant nationaliste.
Par son physique (il était surnommé « l’archange »), son audace et son endurance, Jean Mermoz fut le plus populaire des pilotes de l’Aéropostale.
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Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

Discrimination anti-blancs à l’Ecole Nationale d’Aviation

L’Ecole nationale de l’aviation civile (ENAC) forme depuis 60 ans les pilotes de ligne, contrôleurs aériens et ingénieurs aéronautiques. La sélection y est très sévère.

A la demande de l’Etat sarkozyste, la direction de l’école doit obtenir 30% d’élèves issus des « quartiers difficiles », c’est-à-dire de non-européens.

« Nous enverrons gratuitement professeurs et élèves de l’ENAC pour proposer un tutorat sur un à deux ans à une quinzaine d’élèves par établissement, avec une aide en mathématiques et physique », a expliqué M. Houalla, le directeur de l’ENAC.

L’école présélectionnera sur dossier une centaine de candidats de niveau terminale, leur fera passer des tests psychotechniques et médicaux, pour offrir ensuite « un an de mise à niveau » aux lauréats avant de les intégrer à la scolarité normale de l’ENAC.

M. Houalla a estimé que l’ENAC était en position de satisfaire à la demande gouvernementale d’accueillir 30% de boursiers d’ici 3 ans.

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