15 avril 1450 : la bataille de Formigny

Le 15 avril 1450, le roi Charles VII dépêche le comte Jean de Clermont et l’amiral de Coëtivy vers le Cotentin car une armée anglaise de trois mille hommes a débarqué à Cherbourg, sous le commandement de Thomas Kyriel, pour tenter de secourir les dernières places anglaises de Normandie. La confrontation se produit à Formigny, près de Bayeux.

En attendant le renfort du connétable Arthur de Richemont, Clermont fait avancer son artillerie à portée de tir des Anglais. Ses couleuvrines font des ravages dans les rangs ennemis mais finissent par être capturées. Clermont se résigne alors à engager son infanterie pour tenter de les récupérer. C’est alors que les 1 500 Bretons de Richemont surgissent opportunément sur le flanc gauche des Anglais et les mettent en fuite. Dans la poursuite, les Français se font une joie de massacrer les archers gallois haïs et redoutés.

Côté anglais : 3800 morts et 1200 prisonniers. Côté français : seulement 12 morts !

Avec cette victoire, qui vaut au roi de France le surnom de « Victorieux », la guerre de Cent Ans touche à sa fin et la Normandie est rattachée au royaume des lys…

Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

Syrie : des espions allemands et britanniques aident les rebelles

Lu sur francetvinfo :

Les services de renseignements allemands et britanniques jouent bien un rôle dans la guerre civile syrienne. Alors que l’Allemagne est fermement opposée à toute intervention militaire contre Damas, ses espions s’activent aux côtés des rebelles.Tout en restant hors des frontières, ils facilitent la transmission d’informations, notamment au sujet des mouvements stratégiques des troupes du régime. Ce sont les quotidiens allemand et britannique Bild (article en allemand) et Times (article abonné, en anglais) qui l’affirment dans leurs éditions du dimanche 18 août.Des espions allemands sont stationnés au large des côtes syriennes, rapporte le Bild. Ces agents du Service fédéral de renseignement (BND) opèrent grâce à une technologie permettant d’observer les mouvements des troupes jusqu’à 600 km au coeur du pays, précise le journal allemand. Ils transmettent ensuite leurs renseignements à des officiers américains et britanniques qui fournissent l’information aux rebelles.

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Infiltration et provocation policière à l’extrême-gauche

Pendant sept ans et dans toute l’Europe, le policier anglais Mark Kennedy s’est fait passer pour un gauchiste radical. En France, il a fourni à la DCRI des informations sur les mis en examen de Tarnac.

Il a aussi commis des délits graves et poussé les autres à faire de même.

Récit ici (attention site nul, par ailleurs)

Choc : quand mademoiselle Dior voulait épouser un Anglais

MAJ : lien vers la vidéo réactivé.

Ces temps-ci, on parle beaucoup de la maison Dior, qui a promptement licencié son créateur John Galliano avant même un procès pour propos provocateurs (qui lui ont valu de la garde-à-vue !).
L’occasion d’exhumer le passé de la famille, comme ces propos de la nièce de Christian Dior en 1963, qui pourraient, là aussi, étonner aujourd’hui :

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