Pologne : un Irakien interpellé avec des explosifs à la veille des JMJ

À la veille des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) en Pologne, un homme de nationalité irakienne en possession de matériaux explosifs a été interpellé à Lodz. Selon des médias polonais, des traces d’explosifs ont aussi été découvertes à Cracovie (Sud), où cet Irakien de 48 ans avait séjourné récemment et où des centaines de milliers de jeunes catholiques et le pape François doivent participer aux JMJ.

« L’homme a été placé en détention provisoire pour deux mois, accusé de possession d’explosifs, ce qui est qualifié de crime contre la sécurité publique. Une enquête a été lancée par le parquet national », a déclaré aux journalistes Pawel Urbaniak, porte-parole du tribunal de Lodz. « C’est un étranger, probablement un Irakien. Il disposait d’un titre de voyage rudimentaire. Les questions de son identité, ses origines, son séjour (en Pologne) font l’objet de l’enquête, tout comme les endroits où il s’est rendu et les personnes qu’il a contactées », a-t-il ajouté.

La télévision Polsat News affirme que l’homme portait sur lui des notes sur des préparatifs d’actes « terroristes » dirigés principalement contre des établissements commerciaux français en Pologne. Ayant vécu quelques années en Suisse, puis en Suède dont il a été refoulé, il est arrivé en Pologne il y a quelques semaines, a rapporté la chaîne. Les agents sont actuellement à la recherche d’éventuels complices de l’Irakien et d’importantes quantités d’explosifs, à travers la Pologne.

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Allemagne. Attaqué 4 fois en 8 jours, le pays plonge dans la terreur

L’Allemagne a connu une quatrième attaque, hier soir en Bavière, où un kamikaze s’est fait exploser près d’un festival de musique. Après les viols très massifs de la Saint Sylvestre dans lesquels plus de 2.000 migrants sont impliqués, le pays connaît donc les joies du multiculturalisme. Car si les motivations des terroristes sont divergentes, il y a un point commun entre toutes ces attaques : Comme en France, elles sont le fait d’immigrés ou de fils d’immigrés.

1- Lundi 18 juillet, à Würzburg. À 21h15, un jeune réfugié afghan âgé de 17 ans attaque les passagers d’un train régional avec un couteau et une hache en criant « Allah Akbar ». Quatre personnes sont grièvement blessées. L’assaillant prend ensuite la fuite avant d’être abattu par la police. Le jeune homme était arrivé en Allemagne depuis plus d’un an et vivait depuis deux semaines en Bavière dans une famille d’accueil.
Motivation: son acte a été rapidement revendiqué par l’organisation État Islamique (EI) à laquelle il avait prêté allégeance dans une vidéo de revendication de 2 minutes 20. Dans sa chambre, les enquêteurs ont également retrouvé le drapeau de l’EI.

2- Vendredi 22 juillet, à Munich. Un jeune germano-iranien (sic) de 18 ans, David Ali Sonboly, ouvre le feu dans un centre commercial, faisant neuf morts et 35 blessés, dont 11 graves, avant de se suicider. Ses parents étaient arrivés en Allemagne en tant que demandeurs d’asile peu avant sa naissance et lui-même était né à Munich. Mais, pas plus qu’un ânon né dans une écurie de chevaux de course ne deviendra cheval de course, Sonboly ne se sentait pas comme un véritable Allemand, et il semblait en avoir un ressentiment vis à vis de son pays natal, comme l’atteste les propos qu’il a tenus juste avant de commettre son acte : « Sale métèque » lui lance un Allemand et une voix qui semble celle de l’assaillant lui répond: « Je suis Allemand, je suis né ici. » Le problème est que le dire ne suffit pas à le croire et encore moins à l’être.
Motivation : la police a assez rapidement privilégié la piste du « forcené » sans lien avec le djihadisme. Afin de brouiller les pistes, il avait dans un premier temps été présenté comme néo-nazi, et aujourd’hui encore on le compare souvent au Franc-Maçon Anders Breivik car des coupures de journaux concernant ce dernier ont été retrouvées chez lui, et parce que les deux terroristes ont commis leurs faits à la même date (22 juillet). Ça fait peu pour faire un lien entre les deux hommes, surtout de la part de gens, qui, dès qu’une explication des faits ne leur sied pas, accusent les auteurs de complotistes.

3- Dimanche 24 juillet, 16h30, à Reutlingen. Un homme armé d’une machette agresse plusieurs passants en pleine rue. Une femme est tuée et deux autres personnes blessées. L’assaillant serait un demandeur d’asile syrien de 21 ans qui aurait eu une « dispute » avec la victime avant de la tuer « avec une machette ».
Motivation : le « crime passionnel » serait la piste privilégiée par les enquêteurs. Outre la façon très violente de gérer un différend, on se demande pourquoi il a agressé d’autres personnes.

4- Dimanche 24 juillet, 22h12, à Ansbach. Deuxième attaque dans la même journée. Un réfugié syrien de 27 ans se fait exploser près d’un festival de musique où se trouvaient 2.500 personnes. L’explosion ne fait pas de victime, mis à part l’assaillant qui décède, mais 12 personnes sont blessées dont trois grièvement. L’homme avait voulu pénétrer sur le lieu du festival mais s’était fait refouler à l’entrée. Sa demande d’asile, il y a un an, avait été refusée mais il avait pu rester en Allemagne au vu de la situation en Syrie.
Motivation : « Il s’agit malheureusement d’un nouvel attentat », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Joachim Herrmann, qui n’a « pas exclu » une piste islamiste. Il a également précisé que l’homme, qui avait déjà fait deux séjours en hôpital psychiatrique, avait tenté par deux fois dans le passé de se suicider.

Source, avec des compléments vidéo

Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait

Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.

La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.

Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendu dans son appartement.

Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

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