C’était un 27 novembre : depuis Clermont, le Pape Urbain II appelle à la première Croisade

C’est le 27 novembre 1095, depuis Clermont (en Auvergne), donc au cœur de la France, que le pape Urbain II a appelé à la Première Croisade.

Il s’agissait, comme en atteste la reproduction de son discours ci-dessous, de venir en aide aux Chrétiens d’Orient, persécutés par les Mahométans conquérants.
C’était peut-être une époque lointaine, mais certains problèmes étaient similaires à ceux d’aujourd’hui…
Cependant Urbain, comme ses successeurs, serait outré par le comportement de François, et de voir que les dirigeants de la France non seulement ne sont pas chrétiens, mais sont anti-chrétiens, et promeuvent la persécution physique des Chrétiens d’Orient.

Au XIe siècle, c’est de toute l’Europe que les Croisés vont affluer, et libérer Jérusalem.
Mais nos ancêtres y prirent une telle part que les Infidèles désignaient communément les Croisés comme « les Francs ».
Loin des mythes honteux que les républicains (en particulier les instituteurs – les « Hussards noirs de la République » dont est nostalgique une bonne part de la droite) colportèrent sur les Croisades, elles constituèrent l’un des épisodes les plus glorieux de notre histoire et l’une des plus hautes manifestations de la générosité et de la noblesse de notre peuple.

Certains hommes s’y illustrèrent particulièrement, tels Godefroy de Bouillon ou Baudouin IV, à la tête du Royaume franc de Jérusalem.

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L’appel d’Urbain II, (version audio puis texte) rapporté par Foucher de Chartres, vraisemblablement témoin de l’homélie :

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La première lettre du pape François est… pour les juifs

Juifs argentins fêtant l’élection de Mgr Bergoglio

Non, ce n’est pas une blague, ni l’exagération d’un « complotiste antisémite » croyant que les juifs tiennent même le Vatican.

L’information est officielle, rendue publique sur le site de la « communauté hébraïque de Rome » .
Le jour-même de son élection, François a trouvé le temps d’écrire une lettre à la dite communauté, dans laquelle il affirme :
« J’espère vivement pouvoir contribuer au progrès que les relations entre juifs et catholiques ont connu à partir du concile Vatican II, dans un esprit de collaboration rénovée et au service d’un monde qui puisse être toujours plus en harmonie avec la volonté du Créateur ».

Jean-Paul II avait déjà innové (et rompu avec la tradition catholique) dans ses rapports au judaïsme.
Benoît XVI était ensuite allé encore plus loin, tâchant même de dédouaner le peuple juif du déicide.
Mais on peut s’attendre à ce que François repousse encore les limites en la matière, comme le note avec satisfaction le site ultra-sioniste JSSNews, qui rappelle que Mgr Bergoglio a participé à des cultes talmudiques dans des synagogues, co-écrit un livre avec un rabbin, préfacé celui d’un autre (présenté comme son « professeur »)…

Sans commentaires.

Libération : quand le blasphème le dispute à la bêtise…

Voici la “une” du Mercredi des Cendres du quotidien Libération : jour où les catholiques sont entrés dans le saint Carême !

On se passerait presque de commentaires. Deux choses cependant :

D’une part, il y a toujours eu dans l’histoire de l’humanité une quête métaphysique : la recherche, derrière le provisoire et l’éphémère, du définitif ; derrière le contingent, du nécessaire. Cette quête du sens, cette reconnaissance d’une transcendance, a le droit d’être considérée. Le rapport de l’homme au Mystère et à l’Être est infiniment respectable parce qu’il touche à ce qu’il y a en l’homme de plus intime. C’est pourquoi ce dogmatisme athée, cette violence verbale contre la religion de nos ancêtres, laquelle a façonné la culture de notre pays, est insupportable : notamment lorsqu’elle vient de ceux qui, à longueur de temps, nous parlent d’écoute et d’ouverture à l’autre. Alors qu’ils ne sont même pas capables d’être réceptif à ce dont ils sont pourtant les héritiers. Ce sont manifestement les mêmes qui parlent en permanence de tolérance qui la pratiquent le moins.

D’autre part, cette hostilité à la religion est nuancée : elle est plus marquée à l’endroit de celle que nos pères nous ont transmise. Mais les mêmes qui crachent dessus sont plus indulgents avec des religions étrangères, quelquefois pourtant plus violentes dans leur dogme. Un exemple : Libération aurait-elle fait la même « une » à l’entrée du Ramadan, titrant : « Allah démission ! » ? La réponse est dans la question…

Renonciation du pape : l’ultime provocation des Femen à Notre-Dame de Paris

Mardi matin, afin de «fêter le départ du pape», huit féministes du mouvement Femen ont manifesté seins nus dans la nef de Notre-Dame de Paris. Elles ont fait tinter trois des neuf nouvelles cloches provisoirement déposées dans la nef, avec des morceaux de bois, criant en anglais «Pope no more», c’est-à-dire «Plus de pape». Des slogans écrits au feutre parcouraient leurs corps dénudés : «No homophobe», «Crise de la foi», «Bye bye Benoît

Cette scandaleuse provocation a suscité l’indignation des visiteurs de la cathédrale, lesquels ont réagit : «Ici c’est sacré, vous n’avez pas à vous dénuder», leur a ainsi lancé  une dame. Les intruses ont néanmoins été rapidement évacuées de l’édifice par le service d’ordre de Notre-Dame. Demeurant encore une dizaine de minutes devant la cathédrale, elles ont scandé des slogans comme «In gay we trust», ou «Dégage homophobe !», avant d’être embarquées par la police et conduites au commissariat du IVe arrondissement.

Les féministes des Femen se sont donc enfermées dans leur rôle de provocatrices violentes, au point de ne pas savoir respecter ce qu’il peut y avoir de plus sacré en l’homme : sa dimension spirituelle. A vrai dire, on s’interroge encore sur la dignité de la femme que ces féministes sont sensées promouvoir : dénudées en permanence, obsédées du sexe, elles renvoient à une image très dégradée de la femme, difficilement compatible avec la mise en valeur de la féminité.

Lorsqu’on met en regard l’humilité du pape et sa hauteur de vue avec la caricature dont les Femen sont les actrices, et la l’abîme intellectuel des slogans qu’elles scandent, on a vite fait de se faire un avis. C’est d’ailleurs à se demander si ces féministes n’ont pas à cœur de discréditer le combat idéologique qu’elles mènent et de rendre le pape sympathique aux yeux de l’opinion. Elles le voudraient, elles ne s’y prendraient pas autrement…

Dans deux semaines, tous les catholiques seront sédévacantistes !

[Tribune libre, n’engageant donc pas le site]

« « Le Roi est mort, vive le Roi ! » Ce noble cri exprime qu’en France, le Roi, incarnation charnelle de l’État, ne meurt pas. Désigné par les lois de succession de la couronne, il n’est pas propriétaire de son trône, ne dispose pas de sa couronne, et ne peut donc pas l’abdiquer, ni pour lui, ni pour sa descendance. Il n’en est rien pour l’Église : lorsque le pape rend son âme à Dieu -ou  bien qu’il renonce à son ministère-, il laisse un siège apostolique vacant, en attendant l’élection du nouveau pape par les cardinaux. Le Christ demeure en permanence la tête de l’Église, mais il n’a plus de vicaire à la tête de l’Église militante, jusqu’à la décision du conclave.

Ainsi en sera-t-il le 28 février à 20H00. Les catholiques du monde entier pleureront Benoît XVI, retiré dans un monastère, et acclameront quelques jours plus tard le nouveau Vicaire du Christ .

On peut détester un président de la République parce qu’il n’est finalement issu que d’une faction du peuple, parce qu’il usurpe la place du Roi -qui rappelons le, en France, ne meurt pas, et qui est imposé par les siècles. Mais la déférence dévolue au Vicaire du Christ sur terre est d’un autre ordre. Le pape, qui occupe le siège suprême de l’Église, a toute juridiction sur les âmes et n’est placé sous la juridiction de personne : il n’a donc de compte à rendre qu’à Dieu. Aucune juridiction humaine ne peut le juger, ni le désaisir de son ministère. Ce qui ne fait pas de lui un despote : gardien du dogme, dépositaire d’un enseignement qui ne lui appartient pas, il obéit à une loi plus haute que sa charge, mais à laquelle celle-ci est relative : le salut des âmes.
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Benoit XVI parle d’immigration et s’égare

Extrait du message pascal de Benoît XVI :

« Aux nombreux exilés et aux réfugiés qui proviennent de différents pays africains et qui ont été contraints de laisser leurs affections les plus chères, que se manifeste la solidarité de tous! Que les hommes de bonne volonté soient éclairés pour ouvrir leur coeur à l’accueil, afin que de façon solidaire et concertée il soit possible de répondre aux nécessités pressantes de tant de frères », a ajouté le souverain pontife, dans cet appel solennel, qui fait écho à de nombreuses voix de l’Eglise catholique. Qu’à tous ceux qui se dépensent en de généreux efforts et offrent des témoignages exemplaires en ce sens parviennent nos encouragements et notre appréciation. »

Une fois de plus le souverain pontife parle de politique et s’égare. Rappelons seulement que la saine laïcité est la distinction, et non la séparation, entre le pouvoir spirituel (l’Église) et le pouvoir temporel (les Etats).

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Polémiques en vue : Benoît XVI opte pour une approche novatrice du déicide

dans la lignée de Jean-Paul II et de la déclaration « Nostra Aetate » du concile Vatican II.

Les catholiques traditionnels risquent d’être à nouveau déçus, mais les adeptes du Talmud vont se réjouir, à l’image de Benjamin Netanyahu – premier ministre israélien -, qui a envoyé jeudi une lettre à Benoît XVI. Il l’y félicite de ses commentaires théologiques dans un livre (à paraître) qui exonère le « peuple » juif de la responsabilité de la mort du Christ. (source)

Dans le second tome de son « Jésus de Nazareth », dont des extraits ont été publiés mercredi par le Vatican, Benoît XVI a en effet réaffirmé que ce n’était pas « le peuple » juif dans son ensemble qui était responsable de la mort du Christ, mais simplement une certaine oligarchie.
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Affaire de pédophilie: l’administration Obama défend le droit international

L’administration Obama a demandé à la Cour suprême de confirmer que le Vatican disposait de l’immunité dans une affaire de pédophilie aux Etats-Unis et que ses hauts responsables, y compris le Pape, ne pouvaient être interrogés, selon un document dont l’AFP a obtenu copie mardi. La Cour suprême a été saisie en février d’un appel déposé par le Vatican pour contester la décision d’une cour d’appel de lever l’immunité du Saint-Siège dans une affaire de prêtre pédophile dans l’Oregon (ouest des Etats-Unis).
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Victoire totale pour la contre-manifestation devant la Nonciature

Face à la nouvelle provocation du lobby gay qui voulait déverser sa haine de l’Eglise et du Pape devant la Nonciature Apostolique à Paris, une cinquantaine de jeunes catholiques étaient présents dès 14h pour défendre l’ambassade du Vatican.

Déconfits face à l’excellente réactivité de la jeunesse catholique, les sodomites étaient ridicules. Une poignée d’extrémistes fripés affichaient quelques maigres pancartes contre l’Eglise et les catholiques. Une rangée de CRS casqués et bottés protégeaient les invertis qui avaient dû déplacer leur manifestation-provocation de quelques centaines de mètres de la Nonciature.

Lu sur le site homo « Têtu » :
Même les toujours audacieux militants d’Act Up et des Panthères Roses ne tenteront aucun coup d’éclat aujourd’hui, «c’est trop dangereux», avoue un membre d’Act-Up.

Une fois de plus les Catholiques ont démontré qu’ils faisaient face aux attaques du lobby gay!

« Sodomites de tous poils, foutez-nous la paix ! »