
Destruction du tissu et des liens sociaux, abolition des repères moraux, déracinement de l’homme, apologie de l’individualisme et de tout ce qui est superficiel, et bien sûr éradication de la Religion : il n’y a pas de mystère.
Un million de personnes par an meurent par suicide, soit plus que les victimes de guerres et d’homicides réunies, un problème qui va en s’aggravant, selon un rapport de l’OMS publié à Genève pour la 10ème édition de la Journée mondiale de prévention du suicide lundi prochain. « Une personne meurt dans le monde suite à un suicide toutes les 40 secondes environ, soit plus que le nombre combiné des victimes de guerres et d’homicides », indique ce rapport de l’Organisation mondiale de la Santé.
Les médias rendent un hommage unanime à l’un des leurs, Michel Polac, qui vient de casser sa pipe à l’âge de 82 ans, après une longue vie de sévices comme journaliste pour divers torchons de gauche et pour la télévision (qu’il a fait évoluer à son époque). Il a aussi écrit de nombreux ouvrages.
On a plusieurs fois parlé sur Contre-info (
Une mère chinoise a été forcée à avorter par les autorités, au 7e mois de sa grossesse.
Une histoire aussi sordide qu’absurde fait jaser en Espagne.
Une Sud-Coréenne de 26 ans accro aux jeux vidéo a été arrêtée jeudi dernier pour avoir tué son bébé, né entre deux parties dans un cybercafé de Séoul.
Voici une des spécialités de notre monde de « progrès », démocratique et obligatoire.
Outreau, Angers, disparus de l’Yonne, affaire Dutroux, Anvers, Zandvoort et plus récemment Cogolin. Mille gamins disparus par an en France, 16 meurtres d’enfants au passif d’un réseau pédophile dans le Var, 3 autres abusés et beaucoup trop encore sur le vieux continent… et ce en toute impunité. Magistrats, policiers, gendarmes, politiciens, avocats… observent la loi de l’omerta. Rien ne sort car rien ne doit sortir. Les investigateurs isolés font face aux murs de la honte. Les enquêtes sont bâclées, les preuves camouflées (cf : CD-ROM de Zandvoort) et les affaires régulièrement étouffées.

« Aujourd’hui à Baltimore s’ouvre une conférence, avec la participation de chercheurs venant de différents milieu universitaires Etats Uniens, qui se propose de débattre des moyens pouvant amener la légalisation de la pédophilie. Ces savants vont réfléchir sur les moyens de convaincre l’Association Américaine de Psychologie de la nécessité de retirer la pédophilie de la liste des troubles psychiques, tout comme cela fut fait pour l’homosexualité . L’organisateur de la conférence est un groupe de militants pédophiles de l’institution B4U-ACT. Elle regroupe des psychiatres qui contestent le fait que les penchants sexuels d’adultes pour des enfants relèvent d’un trouble psychique devant etre soigné. Participent à cette conférence un certain nombre de représentants du monde universitaire, notamment d’Harvard et de la Johns Hopkins University ainsi que d’écoles supérieures de Louisville et de l’Illinois.