Conchita Wurst en concert devant le Parlement européen !

Capture d’écran 2014-09-11 à 21.26.01

La victoire de Conchita Wurst à l’Eurovision avait été célébrée par le président autrichien Heinz Fisher comme une victoire « pour la diversité et la tolérance en Europe». Il est évident que ce drag queen barbu n’avait gagné que pour le combat homosexualiste qu’il incarnait. Et le combat continue…

Il a été invité à se produire le 8 octobre prochain sur l’esplanade du Parlement européen à Bruxelles, par des eurodéputés issus de cinq groupes parlementaires différents, dont le PPE qui s’affiche fièrement sur l’affiche du concert et dans lequel s’inscrit… l’UMP. Parmi les organisateurs, l’écologiste autrichienne et co-présidente de l’intergroupe du Parlement Européen pour les droits LGBT Ulrike Lunacek, qui avait fait adopter en février un rapport contre l’homophobie et les discriminations liées à l’orientation sexuelle… Ce n’est évidemment pas l’éventuel talent de Conchita qui est ici mis en avant.

Conchita Wurst, enchanté, a déclaré : « Quand on s’engage pour l’amour, le respect et la tolérance, on s’inscrit nécessairement dans un très large mouvement, soutenu par les gens en Europe et au sein du monde politique, même s’il est malheureusement aussi combattu par certaines forces ».

Qu’il compte bien sur ces dernières pour ne rien lâcher de leur combat contre la décadence de l’Europe.

Dictature homofolle : le Chili condamné au nom des droits de l’homme

La Cour interaméricaine des droits de l’homme vient de condamner le Chili pour une décision de justice rendue en 2004. La Cour suprême avait alors préférer confier la garde de trois filles à leur père plutôt qu’à leur mère lesbienne et son amante, qui vivaient ensemble.

La haute cour avait jugé qu’en choisissant ce mode de vie, Karen Atala avait « fait passer ses intérêts propres avant ceux de ses filles ». Poursuivant dans ses observations de bon sens, la juridiction précisait «Outre les effets que cette vie commune peut causer sur leur bien-être psychique et émotionnel (…), l’éventuelle confusion des rôles sexuels que peut produire sur eux la carence d’un père de sexe masculin et son remplacement par une autre personne de genre féminin au foyer constitue une situation à risque pour le développement général des mineures

Mais l’idéologie droit-de-l-hommesque est passée par là :
Continuer la lecture de « Dictature homofolle : le Chili condamné au nom des droits de l’homme »