C’était un 26 février 1781… Marie-Antoinette et la franc-maçonnerie

La reine Marie-Antoinette écrivit ce jour-là une lettre très significative à sa sœur Marie-Christine, dans laquelle apparaissait toute l’ignorance que la cour de France avait de la dangerosité de la Franc-maçonnerie :
« je crois que vous vous frappez trop de la Franc-maçonnerie… Ici, tout le monde en est ; on sait ainsi tout ce qui s’y passe ; où est donc le danger ?
Ces jours derniers, la princesse de Lamballe a été nommée grande maîtresse d’une loge ; elle m’a raconté toutes les jolies choses qu’on lui a dites. »

Une naïveté et une méconnaissance de la structure et du fonctionnement réels de la secte, que paieront cher la monarchie et l’aristocratie.

La princesse de Lamballe, amie de la reine, sera atrocement mise à mort par la maçonnerie 11 ans plus tard (voir ici).

C’était un 22 février…

Émile Driant 1.jpg1916 : mort, pendant la bataille de Verdun, de l’héroïque lieutenant-colonel Emile Driant, à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs.
Officier saint-cyrien brillant, il fut à plusieurs reprises sanctionné pour des articles publiés sans autorisation dans lesquels il défend la mémoire de son beau-père (le général Boulanger), ou bien dénonce vigoureusement l’affaire des fiches (fichage des officiers catholiques sur ordre du ministre franc-maçon, le général André).
En 1905, sa carrière étant définitivement compromise, il se lance en politique avec l’appui de Déroulède et Barrès et est élu député à Nancy (1910-1916).
En 1907, il signa une Protestation contre la présence des francs-maçons aux fêtes de Jeanne d’Arc.
Il avait écrit sous le pseudonyme de Capitaine Danrit des romans militaires d’anticipation souvent prophétiques (La guerre de demain, L’invasion noire, L’invasion jaune) qui connurent un grand succès.
Militant antimaçon, il fonda également la Ligue antimaçonnique pour les hommes et la Ligue Jeanne d’Arc pour les femmes.

1945 : près du lac de Constance, en Allemagne, deux avions attaquent en rase-mottes une Mercedes portant un drapeau tricolore peint à l’arrière. Jacques Doriot est tué sur le coup, et son chauffeur grièvement blessé.
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C’était un 18 novembre…

L’amiral Koltchak, au centre, inspectant des troupes. DR

1918 : coup d’État à Omsk qui porte au pouvoir, contre sa volonté, l’amiral Koltchak, élu Régent de Russie et chef suprême des armées blanches, fonction fictive qu’il ne pourra jamais exercer. Dans le Sud, le général Denikine reconnaîtra son autorité le 30 mai 1919.

1936 : mort de Roger Salengro, né en 1890, politicard socialiste et franc-maçon. De nombreuses rues et avenues portent son nom.

Il devint ministre de l’Intérieur sous le très néfaste Léon Blum.
C’est Salengro, ce corrompu, qui a totalitairement dissous les puissantes « Ligues » patriotiques en 1936, portant un rude coup au camp national et donc à la France.
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C’était un 5 août…

1884 : pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre du piédestal de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York.
Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

1895 : mort de Friedrich Engels, philosophe communiste et mécène de Marx.
Coauteur de la plupart  de ses ouvrages, il ne travailla quasi jamais, étant le fils d’un très riche industriel luthérien du textile.
Il mena une existence schizophrénique, se séparant entre action révolutionnaire et exploitation de ses prolétaires.

Résultat de recherche d'images pour "jules lemaitre"1914 : décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).
Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre « Ligue des droits de l’homme », dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle il ne survécut d’ailleurs pas (tout comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissout en 1904.
Lemaître était toutefois surtout antimaçon.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une œuvre diverse et solide dont Les contemporains (4 volumes), des contes et histoires de Noël et une biographie de Chateaubriand.

L’étrange symbolique présentée dans le bureau d’Emmanuel Macron

Au delà de la question du goût… une étrange symbolique, particulièrement sur le tableau de gauche.

« Dimanche soir, la décoration du bureau élyséen dans lequel a eu lieu  l’interview télévisée d’Emmanuel Macron faisait partie intégrante de la communication du président.

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Victoire électorale de l’oligarchie : Emmanuel Macron y va fort en symbole !

Pour fêter avec ses troupes son accession à la présidence, le candidat banquier a choisi le Carrousel du Louvre.

Cet endroit avait été défiguré, pour ne pas dire profané, par François Mitterrand en 1988 : le défunt président avait fait installer, avec un culot monstre, une laide pyramide de verre qui pourrait paraître totalement incongrue si, évidemment, elle ne relevait pas d’une démarche ésotérique dont Mitterrand – initié – était féru.

Emmanuel Macron est donc venu ce dimanche soir tard, se placer devant la pyramide, et les photos ne manquent pas de sel :

Il y a même l’oeil lumineux, rouge, au sommet !

Calais : Le Drian ordonne la mise à la retraite du général Piquemal pour opposition à l’immigration clandestine

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense socialiste et membre du Grand Orient de France, a ordonné la mise à la retraite du général 4 étoiles Christian Piquemal, ancien commandant de la Légion Étrangère.

Les Échos rapportent :

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite. Le ministre a saisi l’armée de Terre afin qu’un conseil de discipline exclut le gradé.

Jean-Yves Le Drian, fils d’un père communiste de Lorient, membre du club oligarchique “Le Siècle”et fervent soutien de l’Otan, avait déjà procédé à la purge idéologique de l’école Saint-Cyr Coëtquidan. Il avait fait exclure le professeur africaniste Bernard Lugan, en raison de ses idées non conformes avec l’idéologie socialo-marxiste (lire ici).

Le Drian est également lié à la politique de soutien aux djihadistes en Syrie aux côtés des services de renseignement saoudiens. Il avait reçu l’architecte du djihadisme international, le prince Bandar Ben Sultan, en 2013 à l’Hôtel de Brienne (lire ici). Le Drian est particulièrement impliqué dans les contrats d’armement négociés entre le Parti Socialiste Français et la dictature wahhabite des Al Saoud.

Source

Chute du patron de la PJ parisienne : on reparle de franc-maçonnerie

« Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.

Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »

Il avait débuté sa carrière comme inspecteur, et avait gravi les échelons (grâce au copinage maçonnique?), devant notamment en 2007 « le patron de la Division des relations internationale (DRI) de la police nationale, la nouvelle dénomination du SCTIP, le Service de coopération technique international de la police, une responsabilité traditionnellement attribué à un haut gradé franc-maçon. » [sic]
Il devint ensuite n°3 de la PJ puis, « au terme d’une lutte de pouvoir sans merci au sein des couloirs du ministre, Bernard Petit est choisi en décembre 2013 par Manuel Valls, alors à l’Intérieur [et lui-même franc-maçon – NDCI], pour remplacer le patron de la PJ parisienne, Christian Flaesch. Celui-ci, coupable (déjà !) d’avoir conseillé sous le manteau l’ancien ministre Brice Hortefeux, avant son audition par ses services dans l’affaire de l’éventuel financement libyen de Nicolas Sarkozy, venait d’être démis de ses fonctions. »

Le journaliste du Nouvel Obs poursuit : « Chevelure impeccablement cranté, costume bien coupé, fines lunettes et voix douce, Bernard Petit, policier réputé de gauche, avait coiffé sur le poteau plusieurs concurrents moins bien introduits. Premier patron de la PJ parisienne qui n’était pas issu du sérail du « 36 », Petit pouvait également compter sur ses relations maçonniques pour s’imposer dans une maison où, selon les spécialistes, au moins un quart des officiers sont affiliés à une loge. »

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« Mgr » Georges Pontier, président des évêques de France : franc-maçon et gauchiste !

Les évêques français sont généralement, de fait, des militants de gauche, mondialistes et invasionnistes, etc.

Georges Pontier est l’un des pires.
Généralement considéré comme franc-maçon (du Grand Orient !), il avait fait parler de lui en appelant au boycott du film de Mel Gibson, La Passion du Christ, car pouvant attiser l’antisémitisme…

Le numéro actuel de la lettre confidentielle Faits & Documents (disponible ici), d’Emmanuel Ratier, lui consacre un portrait aussi détaillé qu’accablant. En voici l’introduction :

Président de la Conférence des évêques de France (CEF) depuis avril 2013, Mgr Pontier, a su, en un an, très discrètement, imposer un prêchi-prêcha droit-de-l’hommiste de stricte observance.
Partisan du sacro-saint « dialogue inter-religieux », immigrationniste radical, antinational rabique, ardent défenseur des Roms, ce « souverain poncif » se pare des atouts de l’« Évangile du Christ » pour se faire l’apôtre de sa vision systématique, tout en arguant que ce n’est pas le rôle de l’Église de faire de la politique.
Ainsi Georges Pontier, sur son « ton chantant et volubile » (Trombinoscope des évêques, de Golias 97), distille-t-il à merveille un discours qui ferait passer l’EHESS ou le parti radical de gauche pour des officines réactionnaires.

L’élection à la tête de la CEF de cet homme aussi habile que discret fut surtout la traduction d’un rétropédalage de l’épiscopat français par rapport à la Manif pour tous. Une mise au diapason idéologique de l’Église de France sur ce que le PS compte de plus à gauche, alors que les entrées en séminaire ne cessent de baisser (moins de 100 ordinations par an). Mais cela ne semble pas inquiéter outre mesure notre homme, qui déclare, sans rire, « nous vivons une époque où massivement, le christianisme perd de son influence, mais où qualitativement, il devient plus signifiant. »

Gilbert Collard en plein délire maçonnique, ou la haine de la France chrétienne

nonne copieIl faut défendre « l’espace républicain malmené par les tiraillements confessionnels », d’après Gilbert Collard, franc-maçon revendiqué.

Dans une intervention en commission des lois mercredi 29 mai 2013, sur la neutralité religieuse dans l’espace public, le député « Rassemblement Bleu Marine » ajoute :
« Quand on est dans un espace où on est en contact avec le public, on n’exprime pas sa religion. »
« le seul moyen de pacifier ce pays, c’est qu’on dise aux cornettes de ne plus apparaître, aux voiles de ne plus se montrer, aux croix de ne plus s’exhiber. »

Gilbert Collard est en cohérence avec son appartenance à la secte maçonnique et son engagement ultra-républicain.
Mais c’est cela, la nouvelle droite nationale ?!

NI LAÏQUE NI ISLAMIQUE, LA FRANCE EST CATHOLIQUE !

PS : en revanche pas de problème avec la kippa, comme le déclarait en 2012 Gilbert Collard : « Pour moi, la kippa ne pose pas problème. Elle n’a pas la même visibilité ostentatoire que le voile ».

Un nouveau ministre de l’éducation fanatique franc-maçon

Ca promet…
Vincent Peillon, nouveau ministre de l’éducation, semble un dinosaure maçonnique.
Dans la video ci-dessous, il nous fait part de sa « foi laïque » : un bon résumé des élucubrations qu’il a ingurgitées en Loges.

Vincent Peillon a des petits problèmes d’assimilation. Ses quatre enfants (en 2 unions) s’appellent Salomé, Maya, Elie et Isaac.

PS : pour en connaître davantage sur la « religion » maçonnique, c’est par ici.

Merci à Sébastien

Décidément, ils sont partout…

ces franc-maçons !

Rivarol, reprenant une révélation du Point, nous en apprend une belle sur Paul-Marie Coûteaux, figure de proue du souverainisme français depuis des années, et aujourd’hui conseiller de Marine Le Pen.

Ainsi, selon l’hebdomadaire, M. Coûteaux fait partie de la « Confraternelle initiatique universelle », dont les objectifs sont les suivants : « Nous accueillons des frères et soeurs de toutes origines : membres d’institutions initiatiques, de clubs, services, d’ordres religieux, chevaleresques ou professionnels, penseurs, savants, militaires de haut rang qui se joignent à nous parce qu’ils représentent une élite agissante déterminée à se mettre vaillamment au service d’une fraternité humaine universelle. »
En termes de souverainisme, on a vu mieux…

Nous attendons toujours un démenti cinglant de Paul-Marie Coûteaux.

Nicolas Dupont-Aignan chez les francs-maçons au Grand Orient de France

Suite à notre billet sur le faux rebelle Dupont-Aignan, voici la vidéo diffusée par le GODF après l’entretien entre le candidat à la présidentielle et les ennemis de la France et de l’Eglise.

Merci à Josselin

Mélenchon : franc mac assumé

Il y a encore quelques mois le « frère » Melenchon (Front de gauche) feignait de ne pas connaitre le diner du « siècle ». Désormais c’est officiel (Mélenchon le plébéien, une biographie fouillée, écrite par les journalistes Lilian Alemagna de Libération et Stéphane Alliès de Mediapart) il appartient au Grand Orient de France.
Il est donc « frère » avec les grands capitalistes qu’il fait semblant de combattre. Comment justifie-t-il cette appartenance ? C’est simple, la maçonnerie est la colonne vertébrale de la république. Extrait : « J’y suis entré en 1983 après le tournant de la rigueur qui l’a mis K.O. debout ». « Quand tout s’est cassé la figure, que reste-t-il? La République. Donc, in fine, la liberté et l’égalité », souligne l’ex-trotskiste, dont le père était également maçon.

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