L’étrange symbolique présentée dans le bureau d’Emmanuel Macron

Au delà de la question du goût… une étrange symbolique, particulièrement sur le tableau de gauche.

« Dimanche soir, la décoration du bureau élyséen dans lequel a eu lieu  l’interview télévisée d’Emmanuel Macron faisait partie intégrante de la communication du président.


Situé au premier étage de l’Elysée, ce bureau n’est pas son bureau principal mais un « salon d’angle » qui lui sert de second bureau. « Une pièce traditionnellement occupée par des conseillers – Henri Guaino sous Nicolas Sarkozy puis Aquilino Morelle sous François Hollande », a expliqué  Le Journal du Dimanche. Complètement redécoré par Brigitte Macron, ce bureau est rempli de symboles.
A commencer par la Marianne, placée juste derrière le chef de l’Etat, entre deux fenêtres. Sur un fond bleu blanc rouge et entourée par la devise « Liberté, égalité, fraternité », elle a attiré les regards de nombreux téléspectateurs. Elle est signée de l’Américain Shepard Fairey, graffeur et street-artiste créateur du mouvement « Obey Giant » devenu mondialement célèbre en 2008 après avoir créé la fameuse affiche « Hope » représentant Barack Obama.
Ce tableau de Marianne est la reproduction d’une fresque géante installée depuis juin 2016 sur le mur d’un immeuble du XIIIe arrondissement de Paris.
Cette fresque a été inspirée à Fairey par les attentats du 13 novembre 2015, expliquait en juillet dernier Le Parisien. » (source)

Marianne (Isis?) avec un pentacle sur fond de la rune de mort

« L’œuvre sous laquelle Emmanuel Macron s’est mis en scène comporte plusieurs symboles inquiétants : le pentagramme sur fond de symbole de la paix, entouré des fleurs à cinq pétales qui sont une représentation plus « douce » de l’étoile à cinq pointes.

Sur l’image derrière Macron, on note donc immédiatement ce pentagramme avec la pointe en haut : ce n’est pas la stylisation de la tête de bouc que l’on trouve couramment dans la symbolique sataniste, mais un symbole fortement présent dans les représentations franc-maçonnes, souvent adopté par l’iconographie de la république américaine naissante. Pouvant symboliser les cinq plaies du Christ comme ce fut le cas aux origines du christianisme, il a pourtant été bien davantage utilisé dans des temps plus récents par l’occultisme kabbalistique chrétien [ou plutôt prétendu chrétien – NDCI] et au sein de la tradition gnostique.

Shepard Fairey inclut habituellement dans ce pentagramme, omniprésent dans son œuvre, un visage : celui d’« André the Giant » dont il avait fait un autocollant a placardé partout pour – selon un discours bavard de philosophie phénoménologique – interpeller les passants afin qu’ils renouvellent leur regard conscient sur ce qui les entouraient, justement parce que le dessin n’a pas de signification. Souvent accompagné du mot « Obey » (« Obéis ! »), l’image est censée faire réfléchir également sur le pouvoir et le symbole a été adopté par les anti-gouvernement. Mais comment ne pas voir qu’il illustre en même temps, de manière dialectique, une volonté de toute-puissance, dès lors qu’il est utilisé par le pouvoir lui-même.

Surmontant le visage, un triangle comme celui que l’on voit sur le dollar américain. Sans vouloir chercher les explications occultistes partout, on se demande ce que vient faire cette symbolique sur une représentation du drapeau français complétant, d’ailleurs, le drapeau réel que Macron a choisi de placer à sa gauche, s’il n’y a pas de message…

A l’arrière-plan du pentagone, le symbole pacifiste bien connu des années 1970 est également révélateur. Croix ou plutôt arbre de vie inversé, son utilisation date de la première campagne pour le désarmement nucléaire en 1958 à l’initiative d’un athée, Bertrand Russell. D’aucuns y ont vu une rune de la mort dans la symbolique teutonique, associée au culte sataniste, d’autres le présentent comme « la croix de Néron ». Nous nous contenterons d’observer qu’il s’agit en tout cas d’un symbole gauchiste adopté à l’origine par les compagnons de route du communisme – telle Peggy Duff, ancienne secrétaire de la CND et opposante à la guerre contre le Vietnam communiste. Selon elle, ce signe de la paix est composé par le symbole runique de l’homme mort – la croix aux bras descendants – et la représentation de l’enfant à naître : le cercle qui l’entoure. » (source Reinformation.tv)

1 commentaire concernant l'article “L’étrange symbolique présentée dans le bureau d’Emmanuel Macron”

  1. En regardant la photo, la première chose à laquelle j’ai pensé était la position sur cette « œuvre » du pentacle sur le symbole de paix. Il se situe pile sur le chakra de la gorge du portrait féminin. Hasard ?

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