Benoît Hamon trouve qu’il y a encore « trop de Blancs » dans certaines villes de France !

Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon, s’exprimait dans les colonnes du journal de gauche « Le Télégramme » (source) en 2007, sur les raisons de son engagement politique :

De retour à Brest, quelques années plus tard, il éprouve un certain mal à se réadapter. « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique »

A travers ces propos ahurissants et violents, Hamon laisse transparaître sa haine de l’ethnie française : ce cosmopolitisme est selon lui au coeur de son engagement !

Le gauchisme est vraiment une maladie de l’esprit…

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La démocratie et le foutage de gueule

La démocratie, telle qu’on la connaît, est donnée par ses laudateurs comme un modèle universel qu’il faudrait exporter de partout. Malheur à qui la critique en faisant ressortir ses défauts, pourtant nombreux. Il est tout de suite mis au ban de la société, accusé de ne pas respecter les « valeurs républicaines » et autres poncifs. Pourtant, parfois, celle-ci connaît de graves ratés. C’en fut ainsi avec l’affaire Cahuzac : Le ministre républicain n’a pas hésité à mentir de façon effrontée devant l’assemblée nationale sur son patrimoine et notamment les comptes en Suisse qu’il détenait. Tout le monde connaît la suite, le ministre dut démissionner. Le problème est que l’image de la démocratie s’en ressent dans l’opinion alors qu’elle est censée n’avoir que des qualités, d’où la nécessité pour les « républicains » de donner des gages. Ils appellent cela la « moralisation de la vie politique ».

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« Nous avons acheté Manhattan, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne »

Il nous faut rétablir certaines vérités concernant le Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Les merdias français l’accusent parfois de délire antisémite, parce qu’il affirme par exemple que les Israéliens raflent massivement l’immobilier hongrois.
Laissons donc le président israélien Shimon Peres nous donner son avis (à l’Hotel Hilton de Tel-Aviv en 2007) :

Une étrangère antifrançaise au gouvernement

Yamina Benguigui est une présentatrice télé et une réalisatrice, adepte de la chirurgie esthétique.
C’est depuis toujours un chantre de l’« antiracisme » (mot codé désignant la haine de la race blanche).

Vraisemblablement grâce à ses qualités de femme, de people et d’étrangère, elle devient d’un coup « ministre déléguée aux Français de l’étranger et à la Francophonie ».

Sachez que pour elle, les emplois devraient être réservés aux immigrés par rapport aux « blancs de souche » (sic).

« A qualité égale, priorité au beur puisqu’il a eu plus d’obstacles à franchir qu’un blanc de souche » déclarait-elle stupidement au magazine Courrier cadre, en octobre 2004.

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Un nouveau ministre de l’éducation fanatique franc-maçon

Ca promet…
Vincent Peillon, nouveau ministre de l’éducation, semble un dinosaure maçonnique.
Dans la video ci-dessous, il nous fait part de sa « foi laïque » : un bon résumé des élucubrations qu’il a ingurgitées en Loges.

Vincent Peillon a des petits problèmes d’assimilation. Ses quatre enfants (en 2 unions) s’appellent Salomé, Maya, Elie et Isaac.

PS : pour en connaître davantage sur la « religion » maçonnique, c’est par ici.

Merci à Sébastien

Manuel Valls : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »

Manuell Valls est un cacique du Parti socialiste, immigré espagnol (marrane ?) « naturalisé » français en 1982. Il est maintenant ministre de l’Intérieur.

Le président bielorusse offense un lobby très puissant en Europe occidentale

Alexandre Loukachenko s’exprimait lors d’une compétition de ski, et a répondu aux critiques du ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski et son homologue allemand, Guido Westerwelle (qui a rendu publiques ses mœurs contre-nature).
Les merdias français parlent de « dérapage » (sic) :
« Le premier vit à Varsovie, le second à Berlin », a dit M. Loukachenko. « En ce qui concerne le second, qui crie à la dictature (…) après avoir entendu ça je me suis dit : mieux vaut être dictateur que pédé », a-t-il lancé .

Ce n’est pas sa première sortie de ce style visant M. Westerwelle. En février 2011 il avait raconté avoir dit au ministre allemand ne pas aimer « les pédés » et lui avoir conseillé « les yeux dans les yeux » de mener une « vie normale ».

21 janvier : anniversaire du régicide

Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, agé de 38 ans.
Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut une boucherie.
Revenons donc à ce triste épisode, au coeur des heures les plus sombres de notre histoire.

Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre,
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Choc : le cardinal Barbarin prononce la profession de foi islamique

Décidément, quand ce ne sont pas ses proches, c’est le « Primat des Gaules » lui-même qui nous édifie…

A l’occasion d’une conférence prononcée dans la cathédrale de Versailles le 4 janvier 2011, le cardinal Philippe Barbarin s’est vanté d’avoir appris par cœur la chahâda pour la réciter au chevet des musulmans mourants. La chahâda n’est pas une phrase banale. Elle est le premier des cinq piliers de l’Islam. C’est la profession de foi qui permet de reconnaître un musulman : « Il n’est pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète».  Pis, le pontife a incité les catholiques à faire de même.

La nouvelle religion oecuméniste issue de Vatican II progresse à bonne allure…

Source et analyse

Un ministre emblématique de la classe politique

Le repris de justice et maire de Bordeaux Alain Juppé vient d’être nommé ministre de la Défense (de qui et de quoi ?).
Juste pour rire (car nous supposons que plus personne n’accorde la moindre confiance à la parole des vertueux politiciens démocrates), voici ce qu’il déclarait encore en 2009 :
« Je lis pourtant, ici ou là, que je préparerais mon retour au gouvernement. Alors, soyons clair : ce n’est pas mon intention« .
« Je me suis engagé, vis-à-vis des Bordelais, à exercer pleinement la fonction de maire qu’ils m’ont confiée. Or, il y a, à mes yeux, incompatibilité entre cette fonction et un poste ministériel. On ne peut pas tout faire à la fois« .