Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon, s’exprimait dans les colonnes du journal de gauche « Le Télégramme » (source) en 2007, sur les raisons de son engagement politique :
De retour à Brest, quelques années plus tard, il éprouve un certain mal à se réadapter. « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique »
A travers ces propos ahurissants et violents, Hamon laisse transparaître sa haine de l’ethnie française : ce cosmopolitisme est selon lui au coeur de son engagement !
Le gauchisme est vraiment une maladie de l’esprit…
La démocratie, telle qu’on la connaît, est donnée par ses laudateurs comme un modèle universel qu’il faudrait exporter de partout. Malheur à qui la critique en faisant ressortir ses défauts, pourtant nombreux. Il est tout de suite mis au ban de la société, accusé de ne pas respecter les « valeurs républicaines » et autres poncifs. Pourtant, parfois, celle-ci connaît de graves ratés. C’en fut ainsi avec l’affaire Cahuzac : Le ministre républicain n’a pas hésité à mentir de façon effrontée devant l’assemblée nationale sur son patrimoine et notamment les comptes en Suisse qu’il détenait. Tout le monde connaît la suite, le ministre dut démissionner. Le problème est que l’image de la démocratie s’en ressent dans l’opinion alors qu’elle est censée n’avoir que des qualités, d’où la nécessité pour les « républicains » de donner des gages. Ils appellent cela la « moralisation de la vie politique ».
Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, agé de 38 ans.
Le repris de justice et maire de Bordeaux Alain Juppé vient d’être nommé ministre de la Défense (de qui et de quoi ?).