C’était un 27 septembre…

– 52 : date approximative de la reddition de Vercingétorix à César, à l’issue du siège d’Alésia. Début de la domination romaine sur la Gaule, naissance de la Gaule romaine, malgré quelques révoltes gauloises.
César sera à l’origine de nombreux massacres, durant la guerre des Gaules, et les Éburons, les Carnutes, le groupe d’Arioviste ou les Vénètes par exemple, furent victimes de véritables tentatives de génocide.
Durant les dix années que dura cette campagne, entre 500 000 et 1 million de Gaulois furent tués (combattants et civils).
Il faut ajouter le même nombre de Gaulois déportés dans toute l’Italie pour y être vendus comme esclaves.
Les Romains transmettront leur organisation, leur droit, combattront et feront disparaître la religion des druides, mais ne modifièrent pas la composition ethnique de la Gaule.

Vercingétorix jette ses armes aux pieds de César – par Lionel Royer (1899)

1736 : mort, à Paris, du corsaire René Duguay-Trouin. La hardiesse et le courage de ce Malouin, qui devait s’emparer de Rio de Janeiro, firent de lui une des figures de la marine française.
À sa mort, il était chef d’escadre, commandeur de l’ordre de saint Louis et lieutenant général.
Ses lettres de noblesse, délivrées par Louis XIV, disaient qu’« il avait pris vingt vaisseaux de guerre et de plus de trois cents navires marchands. »

1964 : la Commission Warren remet son rapport d’enquête sur l’assassinat du président américain Kennedy, en concluant étrangement que Lee Harvey Oswald est l’unique assassin et qu’il a agi sans complice.
Les soupçons sur le rôle de la CIA au centre de ce meurtre d’État persistent…

C’était un… 26 septembre :

-52 : point culminant de la bataille d’Alésia.
Jules César, à la tête des légions romaines, assiège la forteresse gauloise d’Alésia, où Vercingétorix, le chef ayant réussi la difficile union des Gaulois, s’est retranché avec ses forces (environ 80 000 combattants).
Ce jour-là, les Gaulois, affaiblis par le siège et la famine, subissent une défaite décisive, malgré l’arrivée d’une armée de secours d’environ 240 000 Gaulois : des chiffres extraordinaires pour l’époque.
Vercingétorix tente une sortie désespérée pendant que l’armée de secours attaque les fortifications romaines, mais les défenses de César, composées de doubles lignes de retranchements (circumvallation et contrevallation), tiennent bon. Le siège continue et les assiégés devront se rendre dans les jours suivants.

326 : fondation, par l’empereur romain Constantin, de la ville de Constantinople. Elle deviendra la capitale politique, intellectuelle et religieuse de l’empire byzantin et de l’Europe orientale en général, pendant plus de mille ans.

996 : mort du roi de France Hugues Capet, qui était monté sur le trône en 987, installant une dynastie qui règnera plus de 800 ans.

1480 : ayant obtenu l’aval du pape Sixte IV deux ans plus tôt, Isabelle la Catholique décide l’expulsion des 200 000 Juifs d’Espagne (où se trouvent déjà environ 3 millions de Juifs plus ou moins convertis, sur une population de 20 millions d’habitants), à moins qu’ils ne se convertissent. 50 000 le feront. De nombreux incidents avaient précédé cette mesure : heurts entre chrétiens et Juifs à Tolède le 21 juillet 1467, à Cordoue le 14 mars 1472, à Ségovie le 16 mai 1474, etc.

1575 : rentrant en Espagne à bord de la galère Le Soleil, Cervantès, patron de la littérature espagnole avec notamment Don Quichotte, est fait prisonnier par des pirates barbaresques. Il restera cinq ans dans les bagnes d’Alger, d’où il sera libéré contre une rançon

1687 : au cours du siège d’Athènes par les Grecs, une bombe fait éclater la réserve de poudre que les Turcs avaient entreposée dans le Parthénon (qui était alors une mosquée). Toute la partie centrale de cette merveille dédiée à Athéna est détruite.

1917 : mort, à Paris, du peintre, sculpteur et graveur français, aux multiples facettes, Edgar Degas.
Il fut, comme d’autres artistes et intellectuels éminents de son époque, membre de la Ligue de la patrie française, mouvement nationaliste, et antidreyfusard modéré.

« Le foyer de la danse », 1872.

Source : Ephémérides nationalistes

Le centriste Gabriel Attal veut inscrire le gauchisme dans la Constitution (video)

« Je propose d’inscrire dans notre Constitution un principe de non-régression sociétale.
Pour qu’aucune loi ne puisse revenir sur des droits, des progrès [sic], des conquêtes obtenues de haute lutte. »

Gabriel Nissim Attal, éphémère Premier ministre apprécié des éternels cocus de la droite du portefeuille, notoirement inverti, actuellement dirigeant du parti macroniste mal-nommé « Renaissance », donne dans la surenchère de gauche (pour ne pas dire l’hystérie).

Il veut triturer encore cette pauvre Constitution pour verrouiller les dernières lois de décadence et de perversion. Entre nous, elles ne sont pour l’instant guère menacées, la quasi-totalité du spectre politicien leur étant acquis ou étant trop peureux pour s’en prendre à la pseudo-morale de gauche.
Cette démarche de l’étranger Attal est toutefois caractéristique du totalitarisme de la gauche (gauche au sens large).
Ces gens n’ont depuis longtemps que le mot « tolérance » à la bouche, mais ils ne supportent pas qu’on pense autrement qu’eux, qu’on s’exprime autrement qu’eux, qu’on vote démocratiquement des lois différentes des leurs…
Quelle hypocrisie!

Emblématique : le viol ignoble d’un adolescent français par un Arabe en Ile-de-France

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Une affaire ignoble, dont chaque détail est révoltant, et montre à quel point nous ont mené les hommes politiques, les juges, les journalistes, le monde médiatique, la gauche et la fausse droite en général.

Pour un public averti :

« Un Algérien en situation irrégulière, très connu de la justice et sous OQTF a agressé sexuellement et violé un adolescent de 15 ans à Persan.
Le jeune garçon se trouvait dans un train de la ligne H lorsque l’homme s’est approché de lui pour l’agresser sexuellement. Sous le choc, la victime est descendue en gare de Persan et a tenté d’alerter un chauffeur de bus. Mais celui-ci n’a pas pris ses déclarations au sérieux et lui a demandé de quitter le véhicule. L’horreur a continué : l’Algérien sous OQTF avait suivi l’adolescent, l’a emmené de force dans un endroit isolé et l’a violé, avant de prendre la fuite. L’individu a été interpellé grâce aux investigations menées par les enquêteurs. Il devait être placé dans un centre de rétention administrative (CRA) mais aucune place n’a été trouvée. Il a été déféré ce mercredi devant le tribunal de Pontoise en vue de sa mise en examen. » (source Bastion)

Le chauffeur de bus mérite lui aussi une lourde condamnation (comme les juges impliqués dans le suivi de ce criminel étranger). Et pourquoi n’a-t-il pas agi ? Par mépris pour un jeune Français ? Quand on connaît leur nationalité habituelle, la question est légitime.

En tout cas, que les Français supportent des crimes comme celui-ci (fréquents mais pas souvent médiatisés) sans rébellion ou représailles populaires restera probablement aux yeux des historiens du futur un phénomène un peu incroyable.

C’était un… 25 septembre :

1597 : après avoir repoussé les Espagnols à Amiens, Henri IV est enfin maître de son royaume.

Montesquiou Fezensac, Leon.jpg1915 : l’écrivain comte Léon de Montesquiou-Fezensac, secrétaire général de la Ligue d’Action française, qui a rejoint comme lieutenant le 2e de marche du 2e Etranger, tombe « glorieusement » sur le front de Souain, sur le terrain même de la fameuse bataille des champs catalauniques, à l’âge de 42 ans.

1956 : un rapport secret de Nicolas Podgorny, au comité central du Parti communiste d’Union soviétique, indique que, dans la période 1944-1955, plus de 150 000 membres de l’OUN (Organisation des nationalistes ukrainiens, dirigée par Stéphane Bandera) et de l’UPA (« Armée insurectionnelle ukrainienne » sa branche militaire) ont été tués, 103 828 membres arrêtés et 60 000 familles « de nationalistes et de leurs complices », soit 203 662 personnes, ont été déportées à titre de « mesures de rigueur ». Les pertes soviétiques dans la même période s’élèvent à 23 000 hommes, donnant une idée de l’ampleur de la résistance anti-communiste.

Source : Ephémérides nationalistes

C’était un… 24 septembre

768 : mort, à Saint-Denis, de Pépin le Bref, fils de Charles Martel et père de Carloman (qui ne régna que quatre ans) et de Charlemagne. Issu d’une lignée de maires du palais (véritables détenteurs du pouvoir sous les derniers Mérovingiens), il s’était fait proclamer roi des Francs en 751, envoyant au monastère dernier roi mérovingien Childéric III. Il est le fondateur de la dynastie carolingienne.

Gisant de Pépin le Bref et sa femme Bertrade de Laon (dite Berthe aux grands pieds) à la Basilique de Saint-Denis.

1715 : mort, près d’Epernay, du moine bénédictin Dom Pérignon, inventeur du procédé de champagnisation.

1852 : l’ingénieur français Henri Giffaud réalise le premier vol en ballon dirigeable, reliant Paris à Trappes.

1853 : la France prend officiellement possession de la Nouvelle-Calédonie, avec l’arrivée du contre-amiral Febvrier Despointes. Une précédente expédition avait été conduite en 1850, pour compléter l’hydrographie de l’île, mais l’équipage avait été dévoré par les Canaques, hormis trois marins faits prisonniers. La colonie prendra son essor avec l’arrivée des proscrits et des Communards. En 1878, les Canaques massacrèrent 128 Blancs et brûlèrent leurs maisons.

1871 : création, par le marquis de la Tour du Pin et Albert de Mun (tous deux avaient été camarades de captivité en 1870), de l’Œuvre des cercles catholiques ouvriers, fer de lance du catholicisme social. Considéré comme le maître du corporatisme, La Tour du Pin fut l’un des premiers à rejoindre, en 1899, l’Action française. Il a exposé sa doctrine dans un ouvrage fameux : « Vers un ordre social chrétien ».

► pour des livres de la Tour du Pin ou sur lui, voir ici. Sur le catholicisme social en général, voir le livre de Léo Imbert.

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Les enfants européens attaqués de plus en plus sauvagement par de jeunes étrangers

 

« L’horreur dans un parc de Rome en Italie : un petit garçon de 8 ans qui fêtait son anniversaire a été attaqué à la barre de fer et défiguré par 3 migrants âgés de 7 à 11 ans.
Alors que la fête touchait à sa fin, l’enfant a été frappé à coups de pieds, de poings et de barre en fer au visage, dans le jardin public du quartier de Fidene. Hospitalisé en urgence absolue, la victime souffre de multiples fractures faciales et devra subir de nombreuses opérations de reconstruction du visage. Les agresseurs sont 3 frères d’origine étrangère vivant avec leurs parents dans des logements sociaux. Ils ne seront pas poursuivis par la justice, étant âgés de moins de 14 ans. » (Le Parisien via Bastion)

23 septembre 1939 : mort de Freud

Ce darwiniste forcené et cocaïnomane invétéré, génial fumiste, aura été le fondateur d’une pseudo-science psychologique : la « psychanalyse », qui a la particularité de rendre névrosés ceux qui ne l’étaient pas avant de l’approcher.

Charlatanerie mêlant le vrai et l’absurde, le fatras monté par Freud et ses compères (presque uniquement ses coreligionnaires) tourne principalement autour du sexe – véritable obsession –, auquel tout est ramené.

En fait, Sigmund Freud a largement plagié le docteur Jean-Martin Charcot (un peu comme Einstein a plagié le Français Poincaré) concernant l’hystérie, l’inconscient, la suggestion par l’hypnotisme, le « ça », le « moi », etc., mais a ajouté ses délires pansexualistes.

La « théorie » fondamentale de la psychanalyse est basée sur le « complexe d’Œdipe » défini en l’occurrence comme le désir inconscient qu’aurait tout enfant de tuer son père pour entretenir des rapports sexuels avec sa mère…
Pour Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe »…

Il n’est pas précisé, dans la pourtant très copieuse fiche wikipedia de Freud, que ce dernier a lui-même connu l’inceste dans sa jeunesse.
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23 septembre 1940 : l’agression britannique sur Dakar

Vue du pont arrière du croiseur Georges Leygues

Un article de José Castano :

« Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.

En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.

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C’était un 22 septembre…

1711 : parti de France le 9 juin et ayant débarqué le 12, le corsaire René Duguay-Trouin se rend maître de Rio de Janeiro, la plus riche colonie portugaise au Brésil. Cette victoire fit grand bruit en Europe, tant par la hardiesse de l’entreprise que par la vigueur de l’exécution.

1793 : défaite des Bleus (les républicains) à Saint Fulgent face à Lescure et Charette. Westermann doit s’enfuir à la Châtaigneraie. En 5 jours, la Vendée a remporté cinq éclatantes victoires et rompu le cercle des 115 000 hommes, qui, d’après le plan de Canclaux, devaient l’écraser.

Description de l'image Bataille de Saint-Fulgent 1793.jpg.
Bataille de Saint-Fulgent, 1793.

1862 : tentant d’arrêter l’avancée sudiste, le président yankee Abraham Lincoln proclame l’émancipation partielle et conditionnelle des esclaves noirs, « chez les États rebelles seulement » !

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« En interdisant les étrangers, la piscine de Porrentruy explose sa vente d’abonnements »

Tel est le titre explicite d’un article d’un gros média suisse.

Une piscine en Suisse

« La piscine de Porrentruy a fait polémique cet été. Après plusieurs incidents impliquant des baigneurs français […], elle a interdit l’accès aux étrangers, réservant ses portes aux seules personnes résidant ou travaillant en Suisse.
[…] Une interdiction globale de baignade pour les personnes étrangères est problématique et irritante», a écrit la Commission fédérale contre le racisme (CFR).
[…] Malgré la controverse, le bilan de la saison est jugé positif. «Les locaux se sont réapproprié leur piscine, nous y retrouvons maintenant le calme et la sérénité», déclare Lionel Maitre dans «Le Quotidien Jurassien». Lionel Maitre est le responsable politique du secteur des loisirs au Syndicat intercommunal du district de Porrentruy (SIPD). Le SIPD relève en effet une forte hausse du nombre d’abonnements […] » (Blick)

Evidemment, tout le monde sait que ces « Français », qui viennent mettre le bazar en Suisse, ne sont que citoyens de la République, et nullement de véritables Français.
Cette mesure suisse, si elle porte aussi préjudice à de vrais Français qui ne pourront pas fuir l’enfer multiethnique français pour aller jouir d’une société civilisée, donne l’idée de ce que nous avons perdu en France, et quel bonheur la remigration génèrerait.

15e dimanche après la Pentecôte (textes et commentaire)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.
Aujourd’hui l’Église nous rappelle l’épisode si touchant de la résurrection du fils d’une veuve par le Christ. L’Épître mérite d’être lu, relu et médité.

« Le Christ nous arrache à la mort du péché, comme il a autrefois arraché le jeune homme de Naïm à la mort naturelle, et en cela il obéit à la compassion que lui inspire notre mère l’Église qui pleure sur les pécheurs, comme il s’était laissé touché par la pauvre veuve désolée qui pleurait son fils. – Il faut que cette vie surnaturelle, qui est celle de l’Église, demeure toujours en nous et porte ses fruits qui consistent à pratiquer l’amour du prochain et la défiance de nous-mêmes, puisque nous ne sommes quelque chose que par Jésus-Christ. (Ép.) »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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Video virale : au Royaume-Uni, un homme rattrape le voleur de son téléphone

Certains internautes notent qu’un autre homme blanc vient à son aide (est-ce le début d’un changement des mentalités?) mais qu’en revanche, les personnes non blanches – comme le voleur – ne bougent pas, sinon pour inviter les victimes à se « calmer » vis-à-vis du voleur.
Beaucoup d’Occidentaux ignorent les dynamiques et solidarités raciales, qui expliquent pourtant beaucoup de choses.

C’était un 20 septembre : la bataille des champs catalauniques

En l’an 451, les Huns connurent une défaite lourde de conséquences.

Cette confédération de barbares européens et asiatiques menée par Attila, dont le gigantesque empire était basé en Pannonie (Hongrie), entendait conquérir la Gaule.
Après avoir franchi le Rhin, les Huns détruisirent Metz. Mais ils se détournèrent de Paris suite à l’opposition menée par Sainte Geneviève, avant de se casser le nez sur la résistance d’Orléans. Quinze jours après, près de Chalons-en-Champagne se déroula la bataille des Champs catalauniques où les Huns furent battus par une coalition.

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C’était un… 19 septembre

1793 : à Torfou, victoire des Vendéens, commandés par Charette, face à l’armée dite « de Mayence », des soldats républicains commandés par Kleber.

► pour des livres, bandes dessinées et DVD sur la chouannerie et les guerres de Vendée, voir ici.

1812 : mort à Francfort, de Meyer Amschel Rothschild, le fondateur de la puissance financière de la famille.
Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permit de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
Il gagna la confiance du Landgrave de Hesse et devait rendre des services à l’Angleterre en lutte contre la France.
Il laissa cinq fils, anoblis par l’empereur Habsbourg d’Autriche en 1815 et faits barons en 1822. Son fils Nathan se constitua une énorme fortune en manipulant les cours de la bourse à l’occasion de la bataille de Waterloo.

1826 : disparition de William Morgan, ancien franc-maçon qui menaçait de dévoiler les secrets de la maçonnerie américaine. Le 10 septembre précédent, l’imprimerie qui devait publier son ouvrage fut incendiée. Le lendemain, Morgan fut arrêté sous un prétexte fallacieux. Rapidement disculpé, il fut à nouveau arrêté pour une dette de 2,68 dollars remontant à plus de cinq mois. Un inconnu régla sa dette le 12 septembre et emmena Morgan.
Il disparut finalement le 19 et ne fut jamais retrouvé vivant, ayant été très certainement tué par des « frères ». En octobre 1827, son corps fut repêché dans le lac Ontario. Le scandale fut énorme.
Dès 1828 fut fondé le « Parti anti-maçonnique ». Son candidat obtint, aux élections de 1832, plus de 1 300 000 suffrages et le parti compta jusqu’à 25 représentants à la Chambre, l’année suivante.
Entre 1827 et 1830, le nombre de loges de New York passa de 480 à 30 et celui de leurs membres de 20 000 à 3 000. Les loges ne reprirent leur essor qu’à partir de 1840.

1846 : apparition de la Sainte Vierge à la Salette (Isère), devant Maximin Giraud (11 ans) et Mélanie Calvat (14 ans).

« On ne respecte plus le dimanche, jour du Seigneur, on jure sans cesse en ne respectant pas le nom de mon Fils. Si mon peuple ne se convertit pas, il lui arrivera de grands malheurs. Je ne peux plus retenir le bras de mon Fils »

► pour des livres sur la Salette, voir ici.

1870 : début du siège de Paris par l’armée prussienne.

1914 : bombardement de la cathédrale de Reims par l’artillerie allemande.
Le toit, la charpente et le clocher de l’ange sont détruits. Le retentissement est mondial et Reims, déjà bombardée plusieurs fois, acquiert le statut de ville martyre.

la cathédrale de Reims en feu après le bombardement.

1946 : appel de Churchill, à Zurich, pour une union européenne. Ce jour peut être considéré comme la date de lancement de l’UE.

Source : Ephémérides nationalistes