Grande Bretagne : l’artisan des lois sur l’avortement met en garde l’Irlande contre la légalisation

Lord David Steel fut l' »architecte », puisqu’il est convenu de l’appeler ainsi, du corps de lois autorisant, en 1967, l’avortement en Grande-Bretagne. Alors que l’Irlande s’apprête à légiférer sur l’avortement, afin de l’autoriser dans les cas exceptionnels mettant la vie de la mère en danger, il vient lui-même mettre en garde contre une telle légalisation : « Je n’avais jamais envisagé qu’il y aurait autant d’avortements », regrette-t-il en effet à propos de la loi britannique dont il est l’artisan.

« Je crois que ce serait une erreur d’essayer de fixer une loi pour l’avortement pour les catégories comme le suicide ou le viol », déclare encore Lord Steel en faisant allusion au projet de loi en préparation en Irlande. « Il semblerait qu’on soit en train de faire l’erreur en Irlande d’essayer de définir les circonstances où chaque avortement pourra être pratiqué et c’est là un chemin à parcourir qui est sans espoir », confie-t-il à l’Irish Independent.

Niamh Ui Bhriain, responsable du Life Institute en Irlande, commente ses propos, soulignant que « ce que l’expérience britannique nous apprend, c’est que la légalisation de l’avortement pour cause de (risque) de suicide conduirait à l’abus massif de la loi. En Grande-Bretagne, la plupart des avortements sont pratiqués pour des raisons sociales – mais la justification officielle de la mise à mort de l’enfant est le risque pour la santé mentale de la mère. »

Il faut bien sûr se satisfaire d’une prise de conscience naissante dans l’âme de celui qui fut bel et bien un artisan de mort. La loi naturelle, gravée dans le cœur de chacun et accessible à tous les hommes de bonne volonté, peut difficilement être totalement ignorée. Il reste que ce ne sont pas les abus qu’il faut combattre, mais l’avortement lui-même qui est toujours la mise à mort d’un innocent. Car n’en déplaise aux idéologues, l’embryon n’est pas un amas de cellule, mais un être humain en gestation, une vie humaine qui a été conçue et qui traverse les premiers moments de son existence…

Chaville : à 94 ans, elle est expulsée de sa maison de retraite !

Une femme de 94 ans, qui séjournait dans la résidence médicalisée privée de Chaville, dans les Hauts-de-Seine, a été renvoyée vendredi de cet établissement parce qu’elle n’avait pas payer son loyer.

La direction de l’établissement a posé ses affaires dans une ambulance, et a payé le trajet jusqu’à Brou, dans l’Eure-et-Loir, où vit son fils. Ce dernier étant absent, et la chambre de la maison de retraite ayant déjà été réattribuée, la vieille dame a été conduite aux urgences de l’hôpital de Châteaudun. C’est l’hôpital qui a fait le signalement à la gendarmerie, la direction se scandalisant et soulignant que «c’est honteux et complètement illégal en pleine trêve hivernale qui interdit les expulsions, y compris des établissements de santé». Ce lundi, la préfecture des Hauts-de-Seine a saisi  l’Agence régionale de santé (ARS) pour enquêter sur cette expulsion.

Rappelons que selon l’enseignement social de l’Église, la doctrine de la destination universelle des biens admet la propriété privée comme gérance de biens qui appartiennent en premier lieu à toute l’humanité : en un mot, et contre les doctrines individualistes, l’usage de la propriété privée, parce que l’homme est marqué dans sa nature par une dimension sociale, doit s’exercer en relation au bien commun, et ne jamais exclure les plus vulnérables de l’usage de ces biens. Une société qui n’a plus le souci des plus fragiles, ici de ses anciens envers lesquels elle est pourtant débitrice, est une société malade et en perte de sens.

Rappelons que les bénéficiaires du droit d’asile coûtent chaque année à l’Etat plus de 140 millions d’euros… Quand l’Etat ne s’occupe pas d’abord des siens, surtout quand ils sont les plus faibles, il manque au premier de ses devoirs !

JdR

Le gouvernement veut dérembourser la pilule…pour des raisons sanitaires

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, soulignant les risques sanitaires que présentent l’usage des pilules contraceptives de troisième et quatrième génération, a lancé une concertation afin d’en limiter la prescription. Aussi, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a-t-il indiqué que les pilules de dernières générations ne doivent désormais être prescrites qu’à titre exceptionnel car, dit-il, « la pilule contraceptive ne saurait être considérée comme un danger« . Ces pilules, en effet, ne seront plus remboursées à partir du 31 mars prochain.

On pourrait croire a priori que cette mesure va dans le bon sens. Factuellement, c’est vrai. Mais si l’on interroge les motifs de ce déremboursement, on reste sur sa faim… « Il faut éviter de donner le sentiment que la pilule serait un danger. C’est un médicament. Et à ce titre elle ne peut pas être banalisée« , a déclaré Marisol Touraine à la presse, à l’issue du conseil des ministres. Si donc le ministre veut éviter la banalisation de la pilule, c’est au titre du danger sanitaire qu’elle présente, avant d’être au titre du danger moral.

Que le corps de la jeune femme lequel, selon la vulgate dominante, lui appartient, soit par conséquent considéré comme une marchandise, ou simplement un objet de jouissance, cela n’indigne pas le ministre. Que l’acte qui conditionne la transmission de la vie soit considéré, à travers l’usage de la contraception, comme anodin, cela parait tout a fait normal aux yeux du gouvernement. Ce qui ne doit pas être banalisé, ce n’est pas la contraception elle-même, au profit d’une plus grande éducation affective et d’une responsabilisation des jeunes : ce qui ne doit pas être banalisé, c’est simplement la pilule en tant qu’elle présente un danger collatéral…

Le premier bébé de l’année a deux mamans…

Sacha est né le 1er janvier au centre hospitalier de Moulins, dans l’Allier, entre minuit et minuit une. Cet auvergnat, qui est sans doute le premier bébé de l’année, a une particularité : il a deux mamans ! Et pas de papa…  En cette année qui verra peut être l’adoption du projet de loi sur le « mariage » homosexuel, cette naissance est pour certains une augure…

Ses deux mères, Maude et Delphine, sont pacsées depuis 2010 ; et Maude a dû effectuer des démarches à Bruxelles afin de recevoir une insémination artificielle : «On a passé plusieurs examens médicaux. C’est l’équipe médicale qui a choisi le donneur anonyme», explique-t-elle.

Belle augure oui, celle d’une société en perte de sens -celui de la filiation et de la transmission de la vie-, qui sombre finalement -quelle autre alternative ?- dans le consumérisme le plus abject en détournant la loi des intérêts supérieurs pour l’ordonner à la satisfaction d’intérêts égoïstes : de sujet du droit, l’enfant est définitivement devenu objet du droit. Il n’est plus un don précieux, condition d’une société pérenne, que la société a vocation à protéger pour préserver son propre avenir : il est devenu un dû auquel ont droit les adultes, quitte à le fabriquer et à le priver de son papa ou de sa maman. A vomir !

JdR

L’Irlande catholique face à l’avortement

Ceci  se passe en Irlande. Savita Halappanavar, ressortissante indienne de 31 ans, est décédée en octobre d’une septicémie : alors que le bébé qu’elle portait dans le ventre était en train de mourir et qu’elle se plaignait de douleur dans le dos,  la direction de l’hôpital lui a refusé l’IVG tant que le cœur du fœtus battait. Savita est morte quelques jours plus tard.

Le gouvernement irlandais a finalement décidé de déposer un projet de loi autorisant l’IVG dans les cas où la vie de la mère est en danger. «La législation doit définir clairement quand il est possible de mettre fin à une grossesse, c’est-à-dire quand il y a un danger réel et substantiel pour la vie – ou la santé – de la patiente et quand ce danger ne peut être écarté qu’en mettant un terme à la grossesse», a indiqué le département de la Santé. «Je sais qu’il s’agit d’une question très sensible. Mais le gouvernement veut que la sécurité des femmes enceintes en Irlande soit assurée», a également déclaré le ministre de la Santé, James Reilly, ajoutant que les consignes seront données aux professionnels de la santé, tout en «respectant le droit à la vie d’un enfant à naître».

Contrairement à ce que certains commentateurs semblent suggérer, l’avortement ne va pas être légalement reconnu comme une norme en Irlande : il aura valeur d’exception, lorsque une autre vie que celle du bébé sera également en jeu, à savoir celle de la mère. Aucun déni par conséquent de la vie humaine porté dans le sein de la mère. Et par conséquent aucune position de principe en faveur de l’avortement, reconnu en tant que tel comme un « droit » fondamental. Chaque mot, reporté ci-dessus, exprimé par le département ou le ministre de la Santé sont pesés et donne son sens à la démarche entreprise : à noter que cette position a d’ailleurs toujours été celle de l’Église.

Philippe de Villiers : le président doit demander pardon à la Vendée, au nom de la République

Dans une interview accordée à l’hebdomadaire Minute, Philippe de Villiers, le président du MPF, présente son livre sur François-Athanase Charette de La Contrie, le général vendéen qui incarna l’âme de la Vendée Militaire durant le soulèvement contre-révolutionnaire entamé en 1793.

Villiers va-t-il s'excuser auprès des Vendéens pour ses années de défense acharnée (cf affiche ci-dessus, parmi d'autres) de la République, des "valeurs républicaines", etc. ?

L’occasion pour le député européen de revenir sur le génocide vendéen. Il rappelle en effet dans les colonnes de l’hebdomadaire que « les trois caractéristiques du génocide sont réunies : un plan d’extermination, contre un groupe ethnique et religieux, par des moyens de masse. » Et Philippe de Villiers de solliciter « que le chef de l’Etat – celui-là ou un autre – vienne demander pardon au nom de la République. Comme l’a fait Alain Decaux en tant qu’historien républicain, aux Lucs-sur-Boulogne, le 25 septembre 1993« .

Il est curieux en effet d’entendre le président de la République faire repentance au nom de la France à tout bout de champ, quitte à la discréditer complètement aux yeux du monde, mais ne pas reconnaître le crime ignoble et avéré, commis par la République durant la Révolution. Il est certain qu’admettre que la République est née dans le sang des français, ça dérange. Comme mythe fondateur, on fait mieux… En attendant, l’extermination de la population vendéenne a été délibérée et planifiée, en effet. Et elle a été commise au nom de l’homme nouveau, régénéré par le contrat social, que les révolutionnaires ont voulu construire, et que les vendéens ont refusé de devenir…

Procréation médicalement assistée : les socialistes ont voté l’amendement !

Hier matin, les députés socialistes ont finalement voté favorablement, malgré quelques réserves émises par certains, pour inscrire un amendement sur la procréation médicalement assistée dans le texte sur le « mariage » homosexuel.

Les députés socialistes déposeront donc un amendement autorisant les couples de femmes mariées à accéder à la procréation médicalement assistée, ainsi que l’avait déjà annoncé Bruno Le Roux, le président du groupe PS. Cette décision a été prise lors de l’examen du projet de loi sur le mariage et l’adoption par les couples homosexuels. Rappelons que le débat à l’Assemblée Nationale débutera le 24 janvier.

François Hollande n’ayant prévu que le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels dans ses engagements de campagne, Bruno Le Roux est resté ouvert à l’issu de la réunion : «Nous pensons que c’est dans ce texte qu’il [l’amendement] sera le mieux mis en œuvre, mais si le gouvernement nous propose un autre texte avec un échéancier, nous sommes prêts à continuer le dialogue»a-t-il en effet déclaré.

Notons que toutes ces gesticulations d’apprentis sorciers étaient prévisibles, dès lors que le gouvernement a décidé d’affranchir la politique des exigences du droit naturel, sous le prétexte fallacieux de l’émancipation. Tous les principes sur lesquels reposent la civilisation sont aujourd’hui bousculés : la loi, détournée du bien commun, a été confisquée par les politiques pour servir des intérêts consuméristes -chacun revendique son droit, l’objet dusse-t-il être l’enfant. On marche sur la tête !

Le rapport Sicard sur l’euthanasie dit « oui » à une aide à mourir !

Le professeur Didier Sicard a rendu, mardi, un rapport sur la fin de vie au président de la République. Ce rapport doit orienter le débat sur la question de l’euthanasie qui sera entamé en juin.

Avec prudence, le rapport suggère, dans certaines conditions et dans les cas de maladies incurables, que soit accordée la possibilité d’un geste médical «accélérant la survenue de la mort». Il s’agit donc d’ouvrir la possibilité d’une aide à mourir. Ce geste médical est préconisé lorsque la personne en situation de fin de vie  «demande expressément à interrompre tout traitement susceptible de prolonger sa vie, voire toute alimentation et toute hydratation» et qu’il serait «cruel de la ‘laisser mourir’ ou de ‘la laisser vivre’».

Un pas est donc fait dans la direction de l’euthanasie. Il s’agit, quelque soient les bons sentiments dans lesquels se drapent les promoteurs de cette odieuse démarche, de conférer à l’homme le pouvoir de donner la mort à un innocent. Sous prétexte d’humanité. Cynique. C’est l’histoire de l’homme qui a voulu se faire Dieu, maître de la vie et de la mort. L’apprenti sorcier finit cependant toujours par retourner son arme contre lui…

« Mariage » homosexuel : Baudis dénonce le vice contenu dans le projet de loi

Hier, lors d’une audition devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, le défenseur des Droits Dominique Baudis a signalé de « nombreuses incertitudes juridiques préjudiciables » à « tous les enfants » dans le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels.

Dominique Baudis a précisé que « La réserve qu’ [il] formule porte sur la méthode d’élaboration du projet de loi ». En effet, il observe que dans ce projet, « on part de revendications exprimées par les adultes » et « la question des enfants n’est traitée que par voie de conséquence ». Cette démarche « fait surgir de nombreuses interrogations » souligne-t-il.

Car enfin, la loi doit protéger la filiation et l’enfant ! Elle doit garantir les droit de l’enfant, et non promouvoir le droit à l’enfant ! Car l’enfant n’est pas un dû ; il est un don. C’est tout le problème d’un projet de loi qui postule que la loi doit être ordonnée à la satisfaction des intérêts égoïstes et individuels, et non au bien commun qui passe par la filiation et la transmission.

« De cette confusion, résultent de nombreuses incertitudes juridiques préjudiciables aux enfants. À tous les enfants » poursuit Dominique Baudis. Le Défenseur des Droits a souhaité que la commission parvienne par conséquent « à dissiper ces incertitudes afin que la future loi apporte toute la clarté nécessaire, dans l’intérêt des familles et principalement des enfants ». A notre avis, l’intention originelle de la loi étant viciée, c’est tout le projet qu’il faut abandonner…

Charente : un sujet de rédaction qui incite au suicide…

A Montmoreau-Saint-Cybard, en Charente, deux classes de 3e  ont reçu, voici un mois, un sujet de rédaction assez singulier. Voyez-vous-mêmes :   « Vous venez d’avoir 18 ans. Vous avez décidé d’en finir avec la vie. Votre décision semble irrévocable. Vous décidez dans un dernier élan de livrer les raisons de votre geste. En dressant votre autoportrait, vous décrivez tout le dégoût que vous avez de vous-même. Votre texte retracera quelques événements de votre vie à l’origine de ce sentiment. »

Ou comment apprendre à justifier son propre suicide. Cynique. Surtout à un âge où le jeune se construit, en recherche de repères. L’éducation, n’est-ce pas d’abord aider l’enfant, en quête de sens, à découvrir et à aimer le Vrai, le Bien, le Beau ? Quelles valeurs pouvait donc véhiculer un tel sujet, en phase il est vrai avec une société de consommation déshumanisée et en perte de sens ?

En attendant, ce devoir n’était accompagné d’aucun cours de sensibilisation à la problématique du suicide : lequel demeure la deuxième cause de mort chez les jeunes de 15 à 24 ans.

« Un sujet comme ça, c’est quasiment de l’incitation !« , a déclaré le président des parents d’élève du collège à La Charente libre. Faut-il d’ailleurs souligner ce commentaire du professeur, à côté de la note d’un élève : « Pas assez précis » ?

Le professeur, un enseignant de lettres d’une trentaine d’années, a été « suspendu à titre conservatoire, le temps que l’enquête administrative soit diligentée » a annoncé le rectorat.

Le Nouvel Obs s’engage dans le combat pro-vie !

On a cru un instant que le Nouvel Obs avait été touché par la grâce ! Dans le dernier numéro de l’hebdomadaire, le supplément TéléObs, une pleine page de publicité prend ouvertement parti contre l’avortement en offrant une tribune à l’association pro-vie, la Fondation Jérôme Lejeune.

« On arme des bateaux pour défendre les baleines alors qu’on laisse l’embryon sans défense », peut-on lire sur cette publicité :

Mais l’éclair de lucidité des journalistes du Nouvel Obs aura été de courte durée. Dimanche, en fin d’après-midi, le directeur de la rédaction, Renaud Dély, a exprimé ses regrets sur twitter : « C’est une erreur déplorable. La pub de ce lobby aux engagements contraires a nos valeurs n’aurait pas du être publiée« …

On en attendait pas moins de ce journaliste. Pour lui, l’embryon n’est définitivement qu’un amas de cellules, surtout pas un être humain en gestation. C’est tellement plus commode de cacher la vérité pour promouvoir l’idéologie : puisqu’on vous dit que le corps des femmes leur appartient !

La République confisque la responsabilité parentale

Le gouvernement a proposé, l’Assemblée a disposé : le projet de budget de la Sécurité sociale est désormais doté, depuis hier, d’un nouvel amendement relatif à  « la délivrance et la prise en charge de contraceptifs [qui] sont protégées par le secret pour les personnes mineures« . Il s’agit d’une « garantie de confidentialité« , proposé par le ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et qui vient compléter ainsi la gratuité de la contraception pour les mineures.

« Cet amendement est nécessaire afin que les jeunes filles puissent avoir recours à la contraception si elles le souhaitent sans que l’information qui serait faite à leurs parents sur ce point, notamment par les informations issues du remboursement par l’assurance maladie, ne pèse dans leur décision et vienne entraver leur volonté« , a tenu à souligner Madame le Ministre.

En clair, la République confisque aux parents l’éducation de leurs enfants et ne reconnaît plus leur responsabilité. L’ado doit s’émanciper, c’est vrai ! L’autorité -surtout parentale- est insupportable. Son corps lui appartient après tout ! Ou comment déresponsabiliser les jeunes en préférant la banalisation de la contraception à l’éducation à une affectivité authentique…

Le cannabis a encore tué…

C’était un bébé de sept mois. Le petit bonhomme est mort samedi, après qu’un jeune conducteur de 20 ans, sous l’emprise du cannabis,  ait percuté la voiture de ses parents sur une route de l’Hérault.

La prise de drogue, et plus particulièrement de cannabis, multiplie par deux les risques d’accident, et «par 14 si elle est associée à l’alcool», révèle le rapport annuel 2011 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Ce même rapport souligne qu’en 2010, 3,1 % de l’ensemble des accidents mortels sur la route étaient dus à la consommation de drogue.

Hé oui, le cannabis altère le discernement, diminue la maîtrise de soi, et s’attaque au cerveau. Sur les 511 accidents corporels enregistrés où au moins un conducteur avait subi un test positif au cannabis en 20110, 110 étaient mortels, provoquant 122 décès. Et il est des politiques qui veulent légaliser cette drogue…

Un enfant tué par un couple de lesbiennes, car il ne voulait pas appeler l’une d’elles « papa »

Engeline De Nysschen, reconnue coupable par le tribunal.

C’est une histoire horrible, qui s’est déroulée en Afrique du Sud en 2006, mais qui se produira probablement bientôt en France, vu le vent de folie qui souffle sur le pays.

Après que les parents du petit Jandre Botha ont divorcé, sa mère obtint sa garde auprès d’un tribunal.
Puis, elle se mit en « couple » avec une femme…

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Au bout d’un moment, celle-ci ne supporta pas que le petit garçon de 4 ans refuse de l’appeler « papa », malgré ses injonctions.

Elle finit par battre le petit, sans que sa mère ne réagisse ni ne proteste, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Les deux mégères tentèrent sans succès de faire croire que le garçonnet avait glissé dans sa baignoire.

Mais les médecins comprirent vite que cette version n’était pas crédible, au vu des terribles blessures subies par l’enfant : fracture du crâne et lésions cérébrales, jambes, clavicules, mains et bassin cassés…

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