A Amiens les racailles s’en sont pris aux forces de l’ordre suite à un contrôle d’identité. Bilan : 5 policiers blessés (chevrotine, mortier et pierre), des bâtiments incendiés, des vols avec violence (lire un article plus complet ici).
A Toulouse se sont des affrontements entre bandes rivales qui causent des dégâts :
Un quartier sensible de Toulouse est le théâtre depuis quelques nuits d’incidents graves entre jeunes de cités rivales qui règlent désormais leurs comptes à l’arme à feu et mobilisent d’importantes forces de police. Cette « succession d’incidents graves », ainsi que les décrit un haut responsable de la police, ont fait un blessé grave et au moins trois blessés plus légers depuis jeudi soir à Bagatelle, quartier du vaste ensemble populaire du Mirail. Dans la nuit de dimanche à lundi, alors qu’environ 150 policiers et CRS avaient été déployés pour empêcher un dérapage, un ou plusieurs individus ont à nouveau tiré à l’arme à feu.
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Les meurtres des soldats « français » et des juifs de Toulouse sont absurdes et brutaux. Qui en est l’auteur ? L’avenir nous le dira certainement. Plutôt que de spéculer sur l’appartenance de l’individu à un quelconque groupe ( Islamiste, « néo-nazi », anarchiste etc…) nous pouvons déjà remarquer la différence de traitement médiatique entre cette affaire et d’autres plus ou moins similaires. Les paras assassinés étaient des allogènes, l’école où a eu lieu le massacre d’hier est juive, il est logique que la presse oriente le canon vers « l’extrême droite ». Depuis quelques heures les journalistes ressortent les vieux dossiers.
A l’approche de la présidentielle et de la probable victoire de François Hollande au scrutin, la gauche se sent toute puissante. Ainsi, à Toulouse, le député-maire socialiste Pierre Cohen a pris la décision de rebaptiser le pont Bayard en « Pont du 19 mars 1962 ». Cette date marque, selon les porteurs de valises, la fin de la guerre d’Algérie au lendemain de la signature des accords d’Evian (18 mars). Pourtant de nombreux harkis et Pieds-noirs furent sauvagement assassinés par le FLN après ce « cessez-le-feu » non respecté de mars 1962. Les traîtres communistes de la FNACA se réjouissent du changement de nom du pont, voir
Samedi soir, c’est environ 1500 personnes qui se sont réunies pour manifester contre la christianophobie et dénoncer la pièce de théâtre « Golgota Picnic ». Une manifestation qui a rassemblé des catholiques de tous horizons, sous les bannières du Sacré-Cœur. Après un discours vigoureux d’Alain Escada Place de la Daurade, le cortège s’est mis en marche en direction de la place Saint-Cyprien, en passant par le Pont-Neuf. Les manifestants ont pu scander des slogans tels que «christanophobie ça suffit », et entonner de beaux cantiques en l’honneur du Christ et de la Sainte Vierge, sous les yeux étonnés des passants. Arrivés place Saint-Cyprien, à quelques mètres du théâtre, le cortège a été bloqué par les CRS qui retenaient également les contre-manifestants nous attendant de l’autre côté de la place. Un face à face d’une petite heure durant lequel les chrétiens se sont mis à genoux pour réciter le chapelet sous les bruitages et les insultes des contre-manifestants. Après un discours de l’abbé de Caqueray s’adressant personnellement aux journalistes de la désinformation, la manifestation s’est terminée sans incidents, mis à par une altercation dans le métro et des provocations telles la traversée du cortège par un homme nu, qui s’est rapidement fait mettre dehors, ou le déshabillage provocateur de jeunes filles aux abords du cortège.
19h30 mercredi 16 novembre: les manifestants contre la pièce Golgota Picnic se rassemblent près de théatre Garonne à Toulouse. Ils sont près de 300, une grand succès pour la région et ce premier jour.