En guerre contre l’Etat islamique, les Occidentaux et leurs alliés arabes le reconnaissent eux-mêmes : ils ont sous-estimé la force des djihadistes (après les avoir soutenus sous d’autres noms en Syrie…), qui exercent aujourd’hui leur contrôle sur un large territoire s’étendant de l’ouest de l’Irak à l’est de la Syrie. Un document iTélé, de Peggy Bruguière.
Wassim Nasr, journaliste à France 24 et spécialiste des mouvements djihadistes et Olivier Ravanello, spécialiste iTélé des questions internationales reviennent ensuite sur les modes de fonctionnement et de communication des djihadistes de l’État islamique. Pour Wassim Nasr, ces derniers ont « des GoPro au bout de leurs kalachnikovs », afin de filmer au mieux leurs tirs et les partager ensuite dans des vidéos de propagande.
Après le « scandale » des prénoms ayant eu une mention « très bien » au baccalauréat (voir
Le site propagandes.info, avec lequel l’équipe rédactionnelle de Contre-Info ne partage pas l’ensemble de la ligne doctrinale, a le mérite de traiter certains sujets sans concession (délires historiques, propagande sioniste, etc.). Il est inaccessible depuis 24h, probablement à cause d’une censure de l’hébergeur (« This Account Has Been Suspended »).


Depuis mercredi, le film d’animation : « Le chat du rabbin » est dans nos salles de cinéma. Pour 8€ vous pourrez découvrir « le chat aider le rabbin à faire une dictée en français (langue qu’il doit maîtriser pour garder son poste) puis l’accompagner, à bord d’une vieille auto-chenille Citroën, sœur de celles de la Croisière Jaune, dans un Moyen Orient encore très colonialiste mais aussi très tribal où les conflits se réglaient souvent à coups d’épée ou de javelots et où, au détour d’une piste, on croise un Tintin bourré de préjugés racistes…. Flanqués d’un jeune peintre rescapé des pogroms de Russie, petit frère d’un Marc Chagall, d’un vieux va-t-en guerre tsariste, et d’un très sage iman, le chat (qui a la voix de François Morel) et son rabbin (Maurice Bénichou) vont découvrir que la bêtise est la chose du monde la mieux partagée, mais que tout va beaucoup mieux si l’on adopte le plus lumineux des préceptes : « aime ton prochain comme toi-même »…

