EuroGendFor : une force paramilitaire au service de l’UE, pour mater les peuples !

Une information grave et inquiétante, même si elle n’est pas très surprenante, suivant la logique européiste que nous subissons.

Pour ne pas devoir utiliser leurs propres armées contre les citoyens du pays, la troupe paramilitaire « Force de gendarmerie européenne » a été fondée en secret – ni vu, ni connu.

En théorie, on peut faire appel à la FGE partout où l’Union européenne voit une crise. C’est fixé ainsi dans le Traité de Velsen qui règle les interventions d’EuroGendFor. La devise dans les armoiries est la suivante : « Lex paciferat » – ce qui peut être traduit par : « Le droit apportera la paix ». Il souligne « le principe du rapport étroit entre l’imposition des principes de droit [la démocratie et ce qui va avec – NDCI] et le rétablissement d’alentours sûrs et protégés ».

Un « conseil de guerre », sous forme de comité interministériel composé des ministres de la Défense et de la Sécurité des pays membres de l’UE participants, décide de la stratégie d’intervention. La troupe peut être mise en marche soit sur demande, soit après décision de l’UE.

Dans l’article 4 du Traité constitutif concernant les missions et les engagements on peut lire : « On peut recourir aux FGE pour protéger les personnes et les biens et maintenir l’ordre en cas de troubles publics. »
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François Brigneau est décédé.

François Brigneau

« François Brigneau, de son vrai nom Emmanuel Allot, est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Il est décédé dimanche près de Paris.
C’est sous les pseudonymes de Julien Guernec et surtout François Brigneau qu’il participa, toute sa vie durant, au combat nationaliste. Né dans une famille plutôt de gauche et anticléricale, la rumeur disait qu’il fut baptisé clandestinement contre la volonté de son père. Il n’hésita pas, en juin 1944 à s’engager pour défendre l’Etat français.
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C’était un 26 mars 1944 : l’attaque du maquis des Glières

Ce jour-là, les Allemands et la Milice française lancent une opération destinée à reprendre en main le plateau des Glières. D’après l’histoire officielle, une poignée de maquisards ont tenu tête à l’armée allemande.

« La bataille des Glières » du 26 mars 1944, haut symbole de la Résistance commémoré chaque année par Nicolas Sarkozy, ne serait-elle qu’une légende créée de toutes pièces ? Cette thèse, soutenue par de nouvelles recherches historiques, suscite la polémique en Haute-Savoie.

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Résistance nationale en Grèce

Le reportage que vous pouvez visionner en cliquant ici est issu de Canal +, donc au menu : mauvaise foi, manipulations (comme insérer un plan avec une croix gammée, taguée sur un mur par on ne sait qui, entre deux séquences) et malhonnêteté.
Toutefois, d’intéressantes images et informations sur le courant de résistance nationale qui anime la Grèce face à l’invasion et à la destruction économique du pays.
Quelques séquences sur des « milices » populaires en ville (assez peu effrayantes au demeurant), ou sur le parti « Aube dorée » (5% aux dernières municipales à Athènes). Pour info, ce dernier envoie presque chaque année une délégation au Congrès nationaliste français.
Un mouvement nationaliste radical dont l’emblème (ci-contre à droite) n’est pas une allusion au svastika (contrairement à ce qu’avait écrit sottement ou vicieusement Roland Machefer sur NPI), mais est un emblème hellénique des plus anciens. On peut d’ailleurs le trouver comme motif décoratif dans presque tous les restaurants grecs de France…

Note pour les ignares de Canal + : en Grèce, y compris et surtout chez les nationalistes, le salut bras tendu devrait être appelé « salut olympique » (voire européen) plutôt que « salut nazi ».

Merci à Josselin