Après la trahison de De Gaulle, 20 000 familles de Harkis (musulmans pro-français) sont mises à l’abri des massacres du FLN par des officiers français, contre la volonté de leur hiérarchie.
Ces familles sont parquées dans des camps, dans des conditions indignes.
« En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des Arbres, dans le département du Gard.
Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. »
L’un d’entre eux se confie aujourd’hui à visage découvert, et nous a fait savoir l’existence de ce documentaire :