Lu sur 7sur7.be : Selon « The New York World », ce bus est exploité par une entreprise privée dans deux quartiers hassidiques. Or, d’après les règles du judaïsme hassidique, tout contact physique entre les deux sexes est interdit, les hommes sont donc assis à l’avant du bus et les femmes à l’arrière.
« The New York World » a voulu tester l’expérience faisant monter une jeune femme à l’intérieur du bus afin qu’elle s’asseye à l’avant. Il n’aura pas fallu plus de quelques secondes pour que la demoiselle soit rappelée à l’ordre par les passagers du bus, lui ordonnant d’aller s’asseoir plus loin sur le champ.
Merci à Miserecord
Jean-Baptiste Malet est un petit journaliste pour la revue gauchisante Golias. Pendant un an, il a enquêté sur « l’extrême droite ». Dans un livre paru ces récemment,
Pour la première fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de Juifs marocains seront reconnus en tant que survivants de la Shoah. En tant que tels, ils recevront une compensation financière du gouvernement allemand.
Samedi soir, deux hommes ont aspergé d’essence un conducteur de bus à Gennevilliers (92) avant de tenter de l’enflammer.
Christian Denisot, l’homme de 45 ans qui a pris ce matin en otage (avec un pistolet factice) la directrice et le sous-directeur d’une agence parisienne de « Pole emploi », avant de se rendre en début d’après-midi, explique que son geste a pour but de faire passer un double message :
Le 14 août 2011, lors de l’émission C Dans L’air, Philippe Dessertine (professeur d’économie à l’université de Nanterre) expliquait : « On est dans un enchaînement avec une accélération absolument démentielle. Les Français vont bientôt comprendre qu’il n’y a pas trente-six voies… c’est dans quelques semaines qu’il va falloir prendre des décisions fondamentales… Il va falloir discuter avec l’Allemagne. Jean-Claude Trichet a dit que cette crise est probablement aussi grave, voire même plus grave que la crise de 1929, c’est-à-dire la plus grave crise depuis la Première Guerre mondiale. A un moment donné, les politiques vont devoir expliquer à leur population que c’est ça ou le chaos, un chaos qui est absolument inimaginable ».

Le ministre des finances belge, Didier Reynders, a accordé un entretien à 
