La famille Sarközy toujours pas assimilée…

Comme vous le savez, les prénoms sont des marqueurs identitaires, autant qu’ils révèlent l’état d’esprit des parents.
Ainsi, des naturalisés ayant une sincère volonté de s’assimiler à un peuple prendront pour leur progéniture des prénoms typiques.

En France, le couple présidentiel est constitué de deux personnes « issues de l’immigration ».  Nicolas Sarközy est hongrois par son père, « juif de Grèce » par sa mère. Son fils Jean (« converti » au judaïsme) a nommé symboliquement son premier enfant du prénom exotique de « Solal ».

La femme actuelle du président, l’italienne  de sulfureuse réputation Carla Bruni, vient quant à elle d’accoucher d’une petite fille.
Ses parents, méprisant ostensiblement à la fois la culture française et leur charge, l’ont nommée d’un prénom étranger : « Giulia ».
« Julie » (ou même Julia) aurait sûrement fait trop franchouillard, trop ringard ; mais nous avons échappé à Britney ou Brenda…
Car en effet Sarközy aurait voulu être américain. Ceci est notoire et les médias d’outre-Atlantique évoquent texto « Sarközy l’américain ».
La police, la démesure et le bling-bling américains l’inspirent beaucoup plus que la France (et les Bretons en particulier).
Il avait d’ailleurs déclaré à Philippe de Villiers dans un élan de sincérité :
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Mazeltov !

Extraits d’une dépêche AFP concernant la mal intégrée famille Sarközy :
« Le député-maire UMP de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) Patrick Balkany, interrogé aujourd’hui [dimanche 31 janvier] sur Radio J, a indiqué que le petit-fils de Nicolas Sarkozy, Solal, avait été circoncis selon le rite juif.

[…] « Ca s’est passé comme toutes les circoncisions avec un rabin et un mohel », (qui pratique l’acte médical), a ajouté le maire de Levallois, très proche du chef de l’Etat.
Jean Sarkozy « a épousé une séfarade très pratiquante » et Nicolas Sarkozy « n’y voit aucun problème », a aussi affirmé M. Balkany. Il a indiqué que le président de la République « retenu par les obligations dues à sa charge » n’était pas présent, mais qu' »il y avait toute sa famille, il y avait sa mère, il y avait son père, son frère », a-t-il dit.
Patrick Balkany, dont le père est d’origine hongroise comme celui du chef de l’Etat, a relaté que lorsqu’il avait rencontré pour la première fois Nicolas Sarkozy alors âgé de 29 ans, la première chose dont ils avaient parlé était « leurs origines juives ».
»